D'un œil différent remplit l'Écomusée du fier monde !

Par Marie Nowak, assistante de projet

Ça y est ! Après des mois et des mois de préparation, D'un œil différent 2014 a débuté mercredi dernier à l'Écomusée du fier monde après un vernissage éclatant par le nombre de sourires qu'on a pu y rencontrer. Merci aux 650 personnes présentes à cette magnifique soirée : 650 envies d'être là ensemble, 650 curieux, merci pour votre chaleur et votre bonne humeur!

Ce vernissage, en résumé, a été le moment où l'on a pu se rencontrer, écouter l'histoire, la technique et l'inspiration des différents artistes, celui aussi de la remise des prix Janine Sutto remportés par Gabrielle Marion-Rivard, comédienne professionnelle et par le projet Oîkos des Compagnons de Montréal. Ça a aussi été le temps de prendre une des délicieuses bouchées concoctées par l'équipe du Café Jarry 2ème (on en salive encore!) tout en écoutant D’une oreille différente, une expo dans l’expo sous forme de douches sonores mettant à l'honneur les différents artistes. Entre temps, La Gang à Rambrou et les bonimenteurs ont animé la soirée dans une bonne humeur communicative. 

 

Gabrielle reçoit le Prix Janine Sutto (c) Aurélien Chartendrault

Dans tout ça, je retiens notamment la rencontre d'une artiste que j'avais déjà croisée lors de la prise de son de D'une oreille différente avec Edon, dans son atelier. Devant sa toile, nous discutons et elle me confie : 

" Vous savez, l'artiste ce n'est pas moi.

- Ah bon ? Pourquoi ça ?

- L'artiste c'est le pinceau, je pense à la chose que je veux peindre et le pinceau le fait. L'artiste, c'est le prolongement de moi-même"

De belles rencontres lors de cette soirée qui est passée trop vite au goût de tout le monde et que Frédéric Péloquin a brillamment clôturée du souffle rassembleur de son accordéon.

 

Les danseurs improvisés de Frédéric Péloquin (c) Aurélien Chartendrault

Ce n’est pas la fin des festivités, bien au contraire : les jours suivants ont été très riches et le seront plus encore :

Jeudi, une création de broderie d'art s'est faite l'après-midi devant nos yeux, tandis que le matin Edon Descollines offrait une visite guidée inclusive tout en performance. Vendredi, Sans Oublier le Sourire et la Bibliothèque Père Ambroise nous ont offert un conte des plus participatifs autour de la Différence d'Anatole. Traduit en langue des signes et joué par une comédienne en simultané, le conte a plu aux petits comme aux grands. 

 

Anatole (c) Aurélien Chartendrault

Samedi, ça bougeait à l'Écomusée ! L'atelier d'improvisation de danse a fait grand succès, une vingtaine de personnes sont venues se défouler au rythme de la musique de la Gang à Rambrou et des techniques d’Au nom de La Danse, alors que Dimanche, l'Association des arts-thérapeutes sans frontières proposait deux ateliers en simultané. Les percussions, le didgeridoo et le yukulélé se sont accordés et ont donné le la aux danseurs tandis que d'autres créaient une fresque géante.

Une première semaine déjà bien chargée et remplie de bonheur est passée, mais D’un œil différent se poursuit! Prochain rendez-vous demain avec les classes ouvertes du cours de danse, pensez à venir partager ce bonheur avec nous au Studio Bizz des Muses !

À ne pas manquer:

- L'avant-première d'AVALe de Joe Jack et John au Théâtre Aux Écuries, demain soir.

- La projection du film Gabrielle de Louise Archambault, au Centre de loisirs Ste-Catherine d'Alexandrie, au profit de la Gang à Rambrou, ce mercredi,

- Et bien sûr d’autres activités à retrouver sur dunoeildifferent.com

Envie de voir tout cela en images? Visionnez les premières photos ici!

Un immense merci à tous nos bénévoles, du bar à la photo, de l'accompagnement des visiteurs jusqu'au sondage pendant le vernissage, nos bénévoles qui sont, nous ne le répèterons jamais assez, des membres de l'équipe à part entière, et sans qui nos programmes, projets, événements ne pourraient être ce qu'ils sont aujourd'hui et seront demain.

 

D'un œil différent remplit l'Écomusée du fier monde !

Par Marie Nowak, assistante de projet

Ça y est ! Après des mois et des mois de préparation, D'un œil différent 2014 a débuté mercredi dernier à l'Écomusée du fier monde après un vernissage éclatant par le nombre de sourires qu'on a pu y rencontrer. Merci aux 650 personnes présentes à cette magnifique soirée : 650 envies d'être là ensemble, 650 curieux, merci pour votre chaleur et votre bonne humeur!

Ce vernissage, en résumé, a été le moment où l'on a pu se rencontrer, écouter l'histoire, la technique et l'inspiration des différents artistes, celui aussi de la remise des prix Janine Sutto remportés par Gabrielle Marion-Rivard, comédienne professionnelle et par le projet Oîkos des Compagnons de Montréal. Ça a aussi été le temps de prendre une des délicieuses bouchées concoctées par l'équipe du Café Jarry 2ème (on en salive encore!) tout en écoutant D’une oreille différente, une expo dans l’expo sous forme de douches sonores mettant à l'honneur les différents artistes. Entre temps, La Gang à Rambrou et les bonimenteurs ont animé la soirée dans une bonne humeur communicative. 

 

Gabrielle reçoit le Prix Janine Sutto (c) Aurélien Chartendrault

Dans tout ça, je retiens notamment la rencontre d'une artiste que j'avais déjà croisée lors de la prise de son de D'une oreille différente avec Edon, dans son atelier. Devant sa toile, nous discutons et elle me confie : 

" Vous savez, l'artiste ce n'est pas moi.

- Ah bon ? Pourquoi ça ?

- L'artiste c'est le pinceau, je pense à la chose que je veux peindre et le pinceau le fait. L'artiste, c'est le prolongement de moi-même"

De belles rencontres lors de cette soirée qui est passée trop vite au goût de tout le monde et que Frédéric Péloquin a brillamment clôturée du souffle rassembleur de son accordéon.

 

Les danseurs improvisés de Frédéric Péloquin (c) Aurélien Chartendrault

Ce n’est pas la fin des festivités, bien au contraire : les jours suivants ont été très riches et le seront plus encore :

Jeudi, une création de broderie d'art s'est faite l'après-midi devant nos yeux, tandis que le matin Edon Descollines offrait une visite guidée inclusive tout en performance. Vendredi, Sans Oublier le Sourire et la Bibliothèque Père Ambroise nous ont offert un conte des plus participatifs autour de la Différence d'Anatole. Traduit en langue des signes et joué par une comédienne en simultané, le conte a plu aux petits comme aux grands. 

 

Anatole (c) Aurélien Chartendrault

Samedi, ça bougeait à l'Écomusée ! L'atelier d'improvisation de danse a fait grand succès, une vingtaine de personnes sont venues se défouler au rythme de la musique de la Gang à Rambrou et des techniques d’Au nom de La Danse, alors que Dimanche, l'Association des arts-thérapeutes sans frontières proposait deux ateliers en simultané. Les percussions, le didgeridoo et le yukulélé se sont accordés et ont donné le la aux danseurs tandis que d'autres créaient une fresque géante.

Une première semaine déjà bien chargée et remplie de bonheur est passée, mais D’un œil différent se poursuit! Prochain rendez-vous demain avec les classes ouvertes du cours de danse, pensez à venir partager ce bonheur avec nous au Studio Bizz des Muses !

À ne pas manquer:

- L'avant-première d'AVALe de Joe Jack et John au Théâtre Aux Écuries, demain soir.

- La projection du film Gabrielle de Louise Archambault, au Centre de loisirs Ste-Catherine d'Alexandrie, au profit de la Gang à Rambrou, ce mercredi,

- Et bien sûr d’autres activités à retrouver sur dunoeildifferent.com

Envie de voir tout cela en images? Visionnez les premières photos ici!

Un immense merci à tous nos bénévoles, du bar à la photo, de l'accompagnement des visiteurs jusqu'au sondage pendant le vernissage, nos bénévoles qui sont, nous ne le répèterons jamais assez, des membres de l'équipe à part entière, et sans qui nos programmes, projets, événements ne pourraient être ce qu'ils sont aujourd'hui et seront demain.

 

D'un œil différent remplit l'Écomusée du fier monde !

Par Marie Nowak, assistante de projet

Ça y est ! Après des mois et des mois de préparation, D'un œil différent 2014 a débuté mercredi dernier à l'Écomusée du fier monde après un vernissage éclatant par le nombre de sourires qu'on a pu y rencontrer. Merci aux 650 personnes présentes à cette magnifique soirée : 650 envies d'être là ensemble, 650 curieux, merci pour votre chaleur et votre bonne humeur!

Ce vernissage, en résumé, a été le moment où l'on a pu se rencontrer, écouter l'histoire, la technique et l'inspiration des différents artistes, celui aussi de la remise des prix Janine Sutto remportés par Gabrielle Marion-Rivard, comédienne professionnelle et par le projet Oîkos des Compagnons de Montréal. Ça a aussi été le temps de prendre une des délicieuses bouchées concoctées par l'équipe du Café Jarry 2ème (on en salive encore!) tout en écoutant D’une oreille différente, une expo dans l’expo sous forme de douches sonores mettant à l'honneur les différents artistes. Entre temps, La Gang à Rambrou et les bonimenteurs ont animé la soirée dans une bonne humeur communicative. 

 

Gabrielle reçoit le Prix Janine Sutto (c) Aurélien Chartendrault

Dans tout ça, je retiens notamment la rencontre d'une artiste que j'avais déjà croisée lors de la prise de son de D'une oreille différente avec Edon, dans son atelier. Devant sa toile, nous discutons et elle me confie : 

" Vous savez, l'artiste ce n'est pas moi.

- Ah bon ? Pourquoi ça ?

- L'artiste c'est le pinceau, je pense à la chose que je veux peindre et le pinceau le fait. L'artiste, c'est le prolongement de moi-même"

De belles rencontres lors de cette soirée qui est passée trop vite au goût de tout le monde et que Frédéric Péloquin a brillamment clôturée du souffle rassembleur de son accordéon.

 

Les danseurs improvisés de Frédéric Péloquin (c) Aurélien Chartendrault

Ce n’est pas la fin des festivités, bien au contraire : les jours suivants ont été très riches et le seront plus encore :

Jeudi, une création de broderie d'art s'est faite l'après-midi devant nos yeux, tandis que le matin Edon Descollines offrait une visite guidée inclusive tout en performance. Vendredi, Sans Oublier le Sourire et la Bibliothèque Père Ambroise nous ont offert un conte des plus participatifs autour de la Différence d'Anatole. Traduit en langue des signes et joué par une comédienne en simultané, le conte a plu aux petits comme aux grands. 

 

Anatole (c) Aurélien Chartendrault

Samedi, ça bougeait à l'Écomusée ! L'atelier d'improvisation de danse a fait grand succès, une vingtaine de personnes sont venues se défouler au rythme de la musique de la Gang à Rambrou et des techniques d’Au nom de La Danse, alors que Dimanche, l'Association des arts-thérapeutes sans frontières proposait deux ateliers en simultané. Les percussions, le didgeridoo et le yukulélé se sont accordés et ont donné le la aux danseurs tandis que d'autres créaient une fresque géante.

Une première semaine déjà bien chargée et remplie de bonheur est passée, mais D’un œil différent se poursuit! Prochain rendez-vous demain avec les classes ouvertes du cours de danse, pensez à venir partager ce bonheur avec nous au Studio Bizz des Muses !

À ne pas manquer:

- L'avant-première d'AVALe de Joe Jack et John au Théâtre Aux Écuries, demain soir.

- La projection du film Gabrielle de Louise Archambault, au Centre de loisirs Ste-Catherine d'Alexandrie, au profit de la Gang à Rambrou, ce mercredi,

- Et bien sûr d’autres activités à retrouver sur dunoeildifferent.com

Envie de voir tout cela en images? Visionnez les premières photos ici!

Un immense merci à tous nos bénévoles, du bar à la photo, de l'accompagnement des visiteurs jusqu'au sondage pendant le vernissage, nos bénévoles qui sont, nous ne le répèterons jamais assez, des membres de l'équipe à part entière, et sans qui nos programmes, projets, événements ne pourraient être ce qu'ils sont aujourd'hui et seront demain.

 

La Tuque, terre de tous les possibles : IdAction et Trickster s’entremêlent dans un projet pilote

Qu’est-ce qui caractérise Exeko, si ce n’est l’innovation? Toujours prête aux nouveaux défis, l’équipe s’est lancée dans un projet pilote où IdAction et Trickster marchent non seulement côte-à-côte, mais tentent de métisser leurs approches respectives et de relier leurs démarches. Pour ce faire, aucun repère: la création est présente à chaque instant et une nouvelle page de l’histoire d’Exeko s’écrit en ce moment même sur le terrain.

 

Marie-Paule d’IdAction donne des ateliers auprès du groupe Amiskw du Centre d'Amitié Autochtone de La Tuque, regroupant des jeunes adultes atikamkw en voie d’intégration au marché du travail ou à un retour aux études. Cyril et Kena de Trickster travaillent avec une vingtaine d’enfants autochtones (sauf un) de 10 à 14 ans au La Tuque High School. Comment faire pour que les deux projets se rapprochent au maximum? Est-ce possible? Tout est à découvrir.  

 

Mais La Tuque et son Centre d’amitié autochtone nous offrent un accueil idéal et fertile pour cette nouvelle aventure. Trickster y était en septembre dernier pour une première collaboration et l’expérience a laissé d’excellents souvenirs à tous. Les intervenantes et animatrices du Centre d’amitié sont passionnées, enthousiastes et très investies dans le projet. Les jeunes sont merveilleux. Les petits du groupe Trickster sont excités à l’idée de faire partie d’un spectacle, soit parce que c’est une deuxième expérience pour eux, ou parce qu’ils ont assisté au premier. Les plus vieux d’Amiskw sont intéressés et intéressants, et ont beaucoup à offrir et plein de potentiel à déployer. L’un d’entre eux a d’ailleurs décidé de faire un stage en accompagnant complètement l’aventure Trickster. Après trois jours, son implication est déjà remarquable. S’il y a une part d’inconnu pour la médiatrice et les artistes-intervenants, tous les ingrédients sont réunis pour vivre le projet en beauté.

 

Premiers exercices d'initiation pour Trickster (c) Exeko    

Mardi le 25 février, l’équipe de trois arrive en fin d’après-midi, trop tard pour rencontrer le groupe d’Amiskw, mais en étant bien attendue au La Tuque High School par les enfants impatients et très heureux de retrouver Cyril qui y était en septembre. À peine débarqués, on se lance dans des exercices dans le pur esprit de Trickster, connus par la majorité des enfants. L’atelier est plus court, l’idée est tout simplement de plonger. Laurianne, Mélanie et Karine du Centre d’amitié sont présentes et partagent leurs attentes face au projet. Dana, l’intervenante d’Amiskw, prend de son propre temps pour rencontrer Marie-Paule et s’assurer que tout est arrimé pour débuter les ateliers IdAction dès le lendemain en début d’après-midi. Ensuite, l’équipe prend ses quartiers au centre-ville de La Tuque, à un pas du Centre d’Amitié et appréhende le mercredi, première vraie journée du projet.

 

Pratique du Cup Song à Trickster (c) Exeko

 

Dans l’esprit de collaboration qui anime celui-ci, Cyril et Kena assistent donc à la première partie de l’atelier d’IdAction. Porteur de l’énergie Trickster, leur présence dynamise l’atelier avec le groupe Amiskw. Ces jeunes se connaissent très bien, mais on prend le temps de placer l’espace IdAction (inclusion, égalité des intelligences, respect, écoute, la recherche et non la performance) et de se présenter les uns aux autres, en partageant une de ses caractéristiques, quelque chose qu’on aime et quelque chose qui nous révolte. La discrimination, le racisme et l’injustice sont au centre des préoccupations de tous. Le groupe sait qu’il évoluera en parallèle de la création du spectacle Trickster, proposant des thèmes et un conte, analysant le projet et prêtant main forte à la production éventuellement. Pour ce premier atelier, on aborde donc l’idée des préjugés, du multiculturalisme et des perceptions. Celles qu’on a des autres, de soi et celles qu’on croit que les autres ont de soi. On se penche sur l’Egypte, très éloignée pour le groupe, et qui nous permet par la bande d’aborder le Printemps arabe et érable… On parle de la différence entre identité individuelle et culturelle, de l’auto-discrimination, du moyen de modifier ses perceptions, de l’importance d’apprendre à connaître avant de juger et que parfois, pointer le racisme est un acte de racisme en soi. Le groupe ne manque pas d’idées à proposer aux enfants pour le spectacle!

 

Préparation d'un atelier IdAction avec Amiskw au Centre d'amitié autochtone (c) Exeko

 

Pour le premier vrai atelier de Trickster, l’enjeu est principalement de créer des liens, de rassembler, se découvrir, apprendre à jouer ensemble, à s’exprimer et à s’écouter. À travers différents jeux et des initiations au théâtre et au cirque, les enfants développent une multitude de compétences. Ils apprennent à jongler ou s’y perfectionnent, et font le jeu du miroir, approche élémentaire pour le jeu scénique qui développe la concentration et l’écoute. La pratique du «Cup Song» s’avère aussi inévitable, bien connue de tous. Avec la présence de Kena, comédienne, Trickster prend une tendance un peu plus théâtre, au bonheur des enfants habités par un grand enthousiasme et une fébrilité à l’idée du spectacle. Marie-Paule rejoint le groupe à la mi-temps, s’amuse avec eux et aide à le rassembler, tout en cherchant à susciter le questionnement chez les enfants dès que l’occasion se présente à travers les rires et l’excitation. Le groupe est fort de la présence de trois stagiaires, deux anciens participants de Trickster et le participant d’Amiskw, qui comprennent parfaitement les visées de Trickster, qui aident à régulariser le groupe et qui alimentent la création. Leur présence est précieuse et leur apport inestimable.

 

Jeu du miroir à Trickster. Qui mène? (c) Exeko

 

Le jeudi, du côté d’IdAction-Amiskw, on parle d’art et changement social, en se demandant à quoi sert l’art et en faisant des distinctions entre l’art pour l’art, l’art thérapie, l’art activiste et l’art communautaire en passant par de nombreux exemples qui feront à nouveau voyager le groupe. Théâtre de l’opprimé, street art, art de crise en Espagne, photos à Gaza, sensibilisation-choc à la protection des animaux, les Impatients, un slam de Natasha Kanapé Fontaine, le documentaire l’Erreur boréale et l’ATSA (permettant d’aborder les mêmes questions qu’à l’automne dans d’autres ateliers IdAction et le phénomène de l’itinérance) sont au menu, mais on écoute aussi la vidéo de soutien à Idle No More réalisée par le Centre d’amitié à La Tuque l’an passé. Le groupe trouve que l’art est partout, qu’il a un impact sur le monde et comprend bien le projet Trickster. De leur côté, les enfants continuent l’apprentissage de soi et des autres dans l’espace de création, l’autonomie et l’autogestion du groupe, et au-delà du plaisir, Kena et Cyril miroitent le pourquoi de chaque exercice, et en discutent avec les enfants. Les stagiaires s’affirment de plus en plus comme leaders, et proposent de parler du pow-wow dans le spectacle, désireux de transmettre des traditions. En théâtre, Kena propose l’exercice «Vie et mort de la chèvre» qui permet d’expérimenter physiquement la narration d’une histoire, de voir comment chacun la décline, touchant sans y paraître aux grands thèmes de la condition humaine. Toutefois, l’heure n’est pas encore à la réflexion mais surtout à installer une base qui permettra aux enfants et à la création de s’épanouir.

 

Question type d'IdAction: À quoi ça sert l'art? (c) Exeko

 

Trois petits jours, déjà tout ça, et tant de possibles en vue, tant de chemins à trouver et à inventer. À suivre!!!     

"Vie et mort de la chèvre" à Trickster (c) Exeko

Pour en savoir plus : exeko.org/tricksterexeko.org/idaction

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • «  I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost. »

    Participant @PACQ

  • « Why use paper when it is as beautiful as this? »

    One of the co-creator for Métissage Urbain

  • « I Have my own identity ! »

    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain

  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects

  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability.  »

    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal

  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists.  »

    Julie Laloire @AMDI

  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged. »

    Bulletin des YMCA

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • « ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community. »

    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future

  • « We are not higher, we are not lower, we are equal. »

    Simeoni, participant idAction Mobile

  • « Receving is good, but giving is better »

    Participant idAction@Kanesatake

  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery »

    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle

  • «  I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer »

    A participant, idAction Mobile

  • «  By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • «  ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • «  I was completely alone today, thanks for talking to me »

    Elie, participant @idAction Mobile

  • «  They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • «  Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself. »

    André Frossard

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged.»
    Bulletin des YMCA
  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists. »
    Julie Laloire @AMDI
  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability. »
    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal
  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects
  • « I Have my own identity !»
    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain
  • « Why use paper when it is as beautiful as this?»
    One of the co-creator for Métissage Urbain
  • « I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost.»
    Participant @PACQ
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself.»
    André Frossard
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « We are not higher, we are not lower, we are equal.»
    Simeoni, participant idAction Mobile
  • « I was completely alone today, thanks for talking to me»
    Elie, participant @idAction Mobile
  • « Receving is good, but giving is better»
    Participant idAction@Kanesatake
  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery»
    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle
  • «  ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News
  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community.»
    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future
  • « ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News