Quand la littérature s'invite à Plein Milieu...

Mardi dernier avait lieu l'inauguration d'une nouvelle bibliothèque inclusive, relais idAction Mobile du service de prêt de livres développé depuis un an et demi.
 
Après Le Centre d'Amitié Autochtones, les Projets Autochtones du Québec, la Maison du Père, l'Accueil Bonneau, et le P.A.S de la Rue, c'est donc Plein Milieu qui héberge nos petites perles de littératures!
 
Sous la houlette de Julien, messager pour Plein Milieu, les livres prennent donc place sur les étagères, et nous profitons de l'un des soupers réflexion idAction donnés bi-mensuellement par Claude et Marie Paule, pour inaugurer la bibliothèque et couper un ruban improvisé pour marquer l'occasion! 
 
Julien coupe le ruban (C) Exeko
 
Ce soir la, je suis invitée par les participants et médiateurs à me joindre au souper. Ravie, je prends donc ma place dans l'équipe, découpe des champignons aux côtés de Pat, mélange la sauce des délicieuses pâtes Alfredo, menu du soir, tout en jasant de classiques de la littérature tels que 1984, ou encore de Fahrenheit 451 avec Julien. On fait des parallèles avec l'actualité, on s'ébahit de la clairvoyance de G. Orwell! Le repas se poursuit, l'ambiance y est à la fois très conviviale, tout le monde met la main à la pâte, et très réfléchie : Ce soir la, Bobby, participant, cherche une solution pour créer davantage de lien et faire venir plus de personnes autochtones aux soupers. Un belle exemple de réflexion inclusive!
 
au menu du souper idAction... (C) Exeko
 
Après un souper animé de belles discussions, Claude et Marie Paule proposent une activité autour des livres, testée par Alexandra, William et Nadia lors de la nuit des sans abri : chacun prend au hasard un livre, et en propose un extrait, en réponse à son voisin, ou tout simplement lorsque cela se prête bien dans le contexte! Fous rires assurés, les répliques fusent, entre le totalitarisme polonais des années 40, le bouddhisme, et les histoires d'amour passionnées! Un beau moyen de creer un premier contact avec l'oeuvre, de façon originale!
 
Bobby et Marie Paule en plein kung fu littéraire (C) Exeko
 
La citation de la soirée? "Donner accès à la culture et au savoir, c'est reconnaître des êtres pensants  qui valent la peine, qui sont des citoyens à part entière!" (Julien)
 
 
  Un partenariat rendu possible grâce à l'entente de lutte contre la pauvreté
 
 
 
 
 
 

Quand la littérature s'invite à Plein Milieu...

Mardi dernier avait lieu l'inauguration d'une nouvelle bibliothèque inclusive, relais idAction Mobile du service de prêt de livres développé depuis un an et demi.
 
Après Le Centre d'Amitié Autochtones, les Projets Autochtones du Québec, la Maison du Père, l'Accueil Bonneau, et le P.A.S de la Rue, c'est donc Plein Milieu qui héberge nos petites perles de littératures!
 
Sous la houlette de Julien, messager pour Plein Milieu, les livres prennent donc place sur les étagères, et nous profitons de l'un des soupers réflexion idAction donnés bi-mensuellement par Claude et Marie Paule, pour inaugurer la bibliothèque et couper un ruban improvisé pour marquer l'occasion! 
 
Julien coupe le ruban (C) Exeko
 
Ce soir la, je suis invitée par les participants et médiateurs à me joindre au souper. Ravie, je prends donc ma place dans l'équipe, découpe des champignons aux côtés de Pat, mélange la sauce des délicieuses pâtes Alfredo, menu du soir, tout en jasant de classiques de la littérature tels que 1984, ou encore de Fahrenheit 451 avec Julien. On fait des parallèles avec l'actualité, on s'ébahit de la clairvoyance de G. Orwell! Le repas se poursuit, l'ambiance y est à la fois très conviviale, tout le monde met la main à la pâte, et très réfléchie : Ce soir la, Bobby, participant, cherche une solution pour créer davantage de lien et faire venir plus de personnes autochtones aux soupers. Un belle exemple de réflexion inclusive!
 
au menu du souper idAction... (C) Exeko
 
Après un souper animé de belles discussions, Claude et Marie Paule proposent une activité autour des livres, testée par Alexandra, William et Nadia lors de la nuit des sans abri : chacun prend au hasard un livre, et en propose un extrait, en réponse à son voisin, ou tout simplement lorsque cela se prête bien dans le contexte! Fous rires assurés, les répliques fusent, entre le totalitarisme polonais des années 40, le bouddhisme, et les histoires d'amour passionnées! Un beau moyen de creer un premier contact avec l'oeuvre, de façon originale!
 
Bobby et Marie Paule en plein kung fu littéraire (C) Exeko
 
La citation de la soirée? "Donner accès à la culture et au savoir, c'est reconnaître des êtres pensants  qui valent la peine, qui sont des citoyens à part entière!" (Julien)
 
 
  Un partenariat rendu possible grâce à l'entente de lutte contre la pauvreté
 
 
 
 
 
 

Journée de formation et projet avec les jeunes de Kanehsatake

Par Agnès Lorgueilleux Agente de projet @Exeko

De belles équipes créatives d’artistes en vue des prochains groupes Trickster !

Plusieurs nouveaux départs en communautés sont prévus au cours des prochains mois grâce au soutien financier de Patrimoine Canadien. Un projet dans la communauté Mohawk de Kanehsatake est d’ailleurs en cours depuis début novembre en partenariat avec le Conseil de bande et se tient à l’École secondaire Ratihen:te avec un groupe de jeunes du secondaire 1 et 2!  

Dans le but d’enrichir et diversifier notre équipe Trickster, une journée de formation d’artiste-intervenants a eu lieu la semaine dernière.

Après un petit jeu d’ouverture et de présentation, échanges et partages se retrouvent au cœur de cette journée. Pour débuter, Widia Larivière, jeune femme Anishnabe et coordonnatrice jeunesse pour Femmes Autochtones du Québec, dresse un portrait socio-historique des Autochtones au Québec et de la diversité des réalités autochtones selon les contextes et les communautés. 

 

Widia et Mélanie parlent de réalités autochtones au Québec (c) Exeko
Widia s'exprime sur l’importance du bien-être chez les jeunes autochtones : « Les enfants et les jeunes représentent près de la moitié de la population autochtone. Il est primordial de miser sur eux en les outillant et en développant leur estime de soi car ils sont des porteurs d’espoir pour l’avenir de nos peuples. Et ce n’est surtout pas le potentiel ni le talent qui leur manque. » Puis, Mélanie Lumsden, chargée de projets Trickster et membre de la nation Inuvialuit, a souligné l’importance de l’intégration de la sensibilité interculturelle comme étant au cœur de l’approche du projet.
 
Puis, Jani Greffe-Bélanger, coordinatrice terrain, entourée de Maxime Lee Larose et Emmanuel Cyr, artiste-intervenants, présentent tour à tour trois récits d’expérience en 8 images : Trickster@La Tuque, Trickster@Waswanipi et Trickster@Garden Hill. Ces témoignages ont d’autant mis en avant la multitude des approches et des enjeux qui font de chaque Trickster une expérience unique. De nombreux échanges avec les artistes ayant déjà une « expérience Trickster » permettent de sensibiliser les artistes venus assistés à la formation. François-Xavier Michaux  achève cette matinée par un panorama du rôle de l’artiste-intervenant dans le projet, le soutien dont il bénéficie et l’éthique dont il doit faire preuve.
 
Maxime présente son pecha kucha sur Trickster@Waswanipi (c) Exeko
 
Les jambes commencent à s’engourdir, la faim se fait ressentir… c’est l’heure d’une pause bien méritée autour d’un souper offert et partagé tous ensemble. Tout le monde reprend des forces car l’après-midi se veut active ! Par petits groupes, les artistes sont mis en situations concrètes. 
 
Plus qu’une simple audition, Jani, Maxime et Manu leur présentent les contextes, basés sur une situation vécue en communauté, l’objectif étant de tester la mise en œuvre et la compréhension des objectifs du programme. Sous le regard aiguisé d’observateurs tel que Jan-Rok, instigateur du cirque social au Québec, un temps est systématiquement accordé pour interroger et analyser ses pratiques, mettre en lumière ses actions positives et ses limites, partager des connaissances et savoir-faire.
 
 
Mises en situations et discussions (c) Exeko
Cette journée emplie de bonne humeur créative et de plaisir s’achève déjà. Nous remercions tous les artistes qui y ont participé, Widia Larivière de Femmes Autochtones du Québec, Jan-Rok et son œil aguerri ainsi que l’équipe d’Exeko qui a formidablement bien orchestré cette formation. On vous donne rendez-vous très prochainement pour des nouvelles fraîches sur le projet Trickster@Kanehsatake ! 
 
Un grand merci à Patrimoine Canadien, au CTREQ et au Secrétariat à la jeunesse pour leur soutien à la réalisation de la formation et du projet Trickster@Kanehsatake. 
 
Merci au Conseil de bande de la Nation Mohawk de Kanehsatake et l’École secondaire Ratihen:te pour leur soutien et leur accueil chaleureux.
 
 
 

 

 

 

 
Découvrez le programme Trickster ici!

Journée de formation et projet avec les jeunes de Kanehsatake

Par Agnès Lorgueilleux Agente de projet @Exeko

De belles équipes créatives d’artistes en vue des prochains groupes Trickster !

Plusieurs nouveaux départs en communautés sont prévus au cours des prochains mois grâce au soutien financier de Patrimoine Canadien. Un projet dans la communauté Mohawk de Kanehsatake est d’ailleurs en cours depuis début novembre en partenariat avec le Conseil de bande et se tient à l’École secondaire Ratihen:te avec un groupe de jeunes du secondaire 1 et 2!  

Dans le but d’enrichir et diversifier notre équipe Trickster, une journée de formation d’artiste-intervenants a eu lieu la semaine dernière.

Après un petit jeu d’ouverture et de présentation, échanges et partages se retrouvent au cœur de cette journée. Pour débuter, Widia Larivière, jeune femme Anishnabe et coordonnatrice jeunesse pour Femmes Autochtones du Québec, dresse un portrait socio-historique des Autochtones au Québec et de la diversité des réalités autochtones selon les contextes et les communautés. 

 

Widia et Mélanie parlent de réalités autochtones au Québec (c) Exeko
Widia s'exprime sur l’importance du bien-être chez les jeunes autochtones : « Les enfants et les jeunes représentent près de la moitié de la population autochtone. Il est primordial de miser sur eux en les outillant et en développant leur estime de soi car ils sont des porteurs d’espoir pour l’avenir de nos peuples. Et ce n’est surtout pas le potentiel ni le talent qui leur manque. » Puis, Mélanie Lumsden, chargée de projets Trickster et membre de la nation Inuvialuit, a souligné l’importance de l’intégration de la sensibilité interculturelle comme étant au cœur de l’approche du projet.
 
Puis, Jani Greffe-Bélanger, coordinatrice terrain, entourée de Maxime Lee Larose et Emmanuel Cyr, artiste-intervenants, présentent tour à tour trois récits d’expérience en 8 images : Trickster@La Tuque, Trickster@Waswanipi et Trickster@Garden Hill. Ces témoignages ont d’autant mis en avant la multitude des approches et des enjeux qui font de chaque Trickster une expérience unique. De nombreux échanges avec les artistes ayant déjà une « expérience Trickster » permettent de sensibiliser les artistes venus assistés à la formation. François-Xavier Michaux  achève cette matinée par un panorama du rôle de l’artiste-intervenant dans le projet, le soutien dont il bénéficie et l’éthique dont il doit faire preuve.
 
Maxime présente son pecha kucha sur Trickster@Waswanipi (c) Exeko
 
Les jambes commencent à s’engourdir, la faim se fait ressentir… c’est l’heure d’une pause bien méritée autour d’un souper offert et partagé tous ensemble. Tout le monde reprend des forces car l’après-midi se veut active ! Par petits groupes, les artistes sont mis en situations concrètes. 
 
Plus qu’une simple audition, Jani, Maxime et Manu leur présentent les contextes, basés sur une situation vécue en communauté, l’objectif étant de tester la mise en œuvre et la compréhension des objectifs du programme. Sous le regard aiguisé d’observateurs tel que Jan-Rok, instigateur du cirque social au Québec, un temps est systématiquement accordé pour interroger et analyser ses pratiques, mettre en lumière ses actions positives et ses limites, partager des connaissances et savoir-faire.
 
 
Mises en situations et discussions (c) Exeko
Cette journée emplie de bonne humeur créative et de plaisir s’achève déjà. Nous remercions tous les artistes qui y ont participé, Widia Larivière de Femmes Autochtones du Québec, Jan-Rok et son œil aguerri ainsi que l’équipe d’Exeko qui a formidablement bien orchestré cette formation. On vous donne rendez-vous très prochainement pour des nouvelles fraîches sur le projet Trickster@Kanehsatake ! 
 
Un grand merci à Patrimoine Canadien, au CTREQ et au Secrétariat à la jeunesse pour leur soutien à la réalisation de la formation et du projet Trickster@Kanehsatake. 
 
Merci au Conseil de bande de la Nation Mohawk de Kanehsatake et l’École secondaire Ratihen:te pour leur soutien et leur accueil chaleureux.
 
 
 

 

 

 

 
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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • «  I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost. »

    Participant @PACQ

  • « Why use paper when it is as beautiful as this? »

    One of the co-creator for Métissage Urbain

  • « I Have my own identity ! »

    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain

  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects

  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability.  »

    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal

  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists.  »

    Julie Laloire @AMDI

  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged. »

    Bulletin des YMCA

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • « ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community. »

    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future

  • « We are not higher, we are not lower, we are equal. »

    Simeoni, participant idAction Mobile

  • « Receving is good, but giving is better »

    Participant idAction@Kanesatake

  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery »

    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle

  • «  I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer »

    A participant, idAction Mobile

  • «  By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • «  ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • «  I was completely alone today, thanks for talking to me »

    Elie, participant @idAction Mobile

  • «  They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • «  Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself. »

    André Frossard

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged.»
    Bulletin des YMCA
  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists. »
    Julie Laloire @AMDI
  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability. »
    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal
  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects
  • « I Have my own identity !»
    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain
  • « Why use paper when it is as beautiful as this?»
    One of the co-creator for Métissage Urbain
  • « I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost.»
    Participant @PACQ
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself.»
    André Frossard
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « We are not higher, we are not lower, we are equal.»
    Simeoni, participant idAction Mobile
  • « I was completely alone today, thanks for talking to me»
    Elie, participant @idAction Mobile
  • « Receving is good, but giving is better»
    Participant idAction@Kanesatake
  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery»
    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle
  • «  ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News
  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community.»
    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future
  • « ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News