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Cette année, Trickster s'est promené dans plus de 8 communautés autochtones, de Nutashkuan à Waswanipi et les équipes sont allées à la rencontre de plus de 10 groupes et de 350 jeunes inspirants!

(c) Exeko

J'aimerais remercier les partenaires terrain et le soutien des partenaires financiers pour leur collaboration et pour l'appui aux projets Trickster durant la dernière année. 

Mais surtout, surtout, j'aimerais dire MERCI à chacun des participants Trickster, merci d'avoir participé au projet, merci de vous êtres dépassés, merci d'avoir affronté vos peurs, et d'être monté sur scène pour la première fois. 

En tant que jeune autochtone et au nom de toute l'équipe, je suis fière de tout ces jeunes et de ce qu'ils ont accompli! Vous êtes extraordinaires. Bravo! Je souhaite que vous gardiez près de vous votre courage, votre force, votre créativité, votre confiance et votre fierté, même lorsque vous aurez à faire face à des obstacles. 

Voici quelques citations de ces jeunes et qui ont marqué les derniers projets...Bonne découverte!

(c) Exeko

 

On a appris à affronter nos peurs - Participante @ Nutashkuan

 

 

(c) Exeko

 

Merci d'être venu dans ma communauté! - Participant @ Kitcisakik

 

(c) Exeko

 

Avoir eu un premier rôle m'a permis à avoir plus confiance en moi - Participant @ La Tuque

(c) Exeko

 

Aujourd'hui, j'ai réalisé un rêve. Danser en groupe devant un public. Je suis une superstar! Participante @ Lac-Simon

 

(c) Exeko

 

Everybody's talent is really beautiful ! Participant @ Waswanipi

 

(c) Exeko

 

I would'nt have even thought of coming to school on a Saturday  Participant @ Waswanipi

 

(c) Exeko

I was scared at first, but I did it. It was so awesome.  Participante @ Waswanipi, sur le spectacle

 

exeko.org/trickster

Découvrez le programme en mots et en images !

Par Claire Lattier, agente interprojet

Après quelques mois d’activité, le comité des bibliothèques inclusives, composé de deux membres du bureau et de deux bénévoles de choc, Elisa et Sarah, partaient le mois dernier faire le tour des bibliothèques déjà installées au sein de 7 refuges et centres de jour à Montréal. Objectifs : faire un bilan de ¨santé¨ du projet, rencontrer personnellement chaque partenaire de terrain ; établir un nouveau processus d’approvisionnement et bonnifier l’action en place.

Belle journée ensoleillée d’hiver, nous nous engageons vers la 1ère bibliothèque du quartier : Plein Milieu. Celle-ci n’a pas trop changée, l’échange fonctionne bien et le monde consulte régulièrement les livres sur place. Valéria, notre contact sur place, nous indique qu'un peu de philosophie serait bienvenue! Nous repartons avec quelques idées d’améliorations et pleines d’entrain vers l’Accueil Bonneau. Entre quelques dédales de couloirs, nous croisons le chemin des participants du local d’art... Qu’il fait bon jaser d’art et de livres ici, dans ce lieu habité par la musique et les couleurs de chacun! Un endroit si plein d’une belle énergie, qu’il nous vient tout de suite l’idée d’y installer une bibliothèque artistique, lorsqu’un fond suffisant sur les arts sera récolté. Une salle de détente devrait voir le jour à l’automne prochain,  qui laisse présager un futur emplacement très adéquat pour une bibliothèque!

Une belle bibliothèque nous est présentée dans la résidence pour hommes de Bonneau. Frédéric, sur place, en prend bien soin et nous dit de ne rien lâcher, voir de penser à développer de nouvelles bibliothèques pour les autres résidences. Ici c'est de poésie, dont on manque un peu.

La bibliothèque de la résidence de Bonneau (C) Exeko

Plein d’allant, on file à la Maison du Père : la haut, c’est non pas une, mais deux bibliothèques que nous trouvons ! Le projet a tellement plu, qu’une seconde a fleurie dans l’établissement d’accueil. L’autogestion de ces messieurs intéressés par la bibliothèque a permis de développer, d’arranger et d’enrichir le fond Exekien avec de nouveaux livres. Un club de lecture a vu le jour parmi les résidents et 2 ‘assistants’ se sont lancés dans l’étiquetage des livres, les demandes de nouveaux livres, de dictionnaires pleuvent. Ici,on ne nous a pas attendu pour avancer, et on aime ça !

 

 

Rencontre à la Maison du Père (C) Exeko

Avant une petite pause pour le lunch, notre comité visite la bibliothèque de PAQC, refuge pour Autochtones, premier relais des livres idAction Mobile. Les étagères sont bien remplies. Les grands gagnants demeurent les livres d'images, récits d'histoires vraies, et bien sur livres et magazines en langues autochtones.

Le café mission Old Brewery est aussi  très rempli à cette heure de la journée! Nous y retrouverons Rémy, intervenant sur place. Les livres sont partis comme des petits pains, mais nous nous promettons de revenir en remettre très bientôt sur les étagères.

Après une discussion au Pas de la Rue, bibliothèque en place et très fonctionnelle elle aussi, ("on aurait besoin d'un nouvellement des stocks, vous pouvez être surs que tous les livres ici ont deja été lus plusieurs fois!!")nous terminons notre tournée par  un arrêt au Centre d’Amitié Autochtone de Montréal. La bas, on nous conforte encore un peu plus, lorsque Maurice, intervenant nous glisse :  Y’a des gens qui font que ça, lire toute la journée! C’est mieux que l’ordinateur, ou pire, candy crush!!!”

La journée se clôt donc le sourire aux lèvres, nos quelques doutes de la matinée de voir des rayonnages abandonnés et vides sont balayés en moins de deux à la vision des initiatives d’appropriation des bibliothèques, les possibilités de développement et d’enrichissement des actions en sont reboostées.

De beaux jours s’en viennent donc pour ces petites bibliothèques, un beau printemps s’annonce!

Appel : nous recherchons des livres d’art, de musique (partitions, bio, autres), d’artisanat, de la poésie, de la littérature autochtones, des livres d'images, des bandes dessinées et de philosophie ... Contactez nous à [email protected]

http://exeko.org/idaction-mobile

Par Alessia De Salis, Artiste-intervenante

Trickster@Waswanipi

 

Mon premier Trickster terminé. Deux semaines, qui ont passé en un instant mais qui m’ont semblé être 2 mois tellement elles étaient chargées. Des rencontres marquantes, des moments d’émotions, des jeunes inspirants et d’autres plus confrontants.

John* : un garçon de 14 ans, démotivé, désintéressé de l’école, de la vie. Premier jour du Trickster il se présente comme étant celui qui ne veut rien apprendre, ni savoir et surtout qui n’a rien à retirer de nos ateliers. Assis à l’écart des cercles de discussions, seinant autour des activités sans jamais vraiment y participer, il reste pourtant jusqu’à la fin du premier jour, puis du deuxième. 

 

(c) Exeko

 

À la troisième journée d’activités, de ses grosses mains malhabiles, il prend les bâtons fleurs, surtout pour les lancer sur ses collègues, ou simplement les lancer par terre lorsqu’on le regarde,  pour s’assurer qu’on sache qu’il n’est bon à rien.  Mais plus les jours passent, plus il trouve des moyens de subtilement se rapprocher du cercle de discussions et de rester un peu plus longtemps à la fin des ateliers…  Jour 4, jour 5, les bâtons fleurs sont toujours entre ses mains, et John est allongé à côté de moi, dans le cercle de discussions :

- On a juste fait un jeu aujourd’hui...on devrait en faire un autre.

Puis le concept du spectacle arrive. Les jeunes sont invités à présenter leurs «Tricks». Cette fois-ci, John refuse de venir se joindre à nous, il garde ses bâtons fleurs serrés contre lui, et va s’allonger sur le coté du gymnase pour nous indiquer clairement qu’il ne fera aucune présentation. Mais, quelques mots d’encouragements personnalisés et les applaudissements de ses collègues l’incitent à se relever de peine et de misère et à se diriger, très lentement, derrière le paravent. Puis, malgré sa peur envahissante, John sort de derrière du paravent pour venir d’abord lancer ses bâtons fleurs au sol, mais à travers les encouragements et les applaudissements il réussit à montrer ses «tricks» et surtout à surmonter sa peur.

 

(c) Exeko

 

Les jours passent et l’idée du spectacle se concrétise de plus en plus.  John, trouve toujours une manière de se désengager du spectacle malgré qu’il soit toujours le premier arrivé et le dernier parti des ateliers. Il pratique ses bâtons fleurs assidûment et même s’implique dans les scènes que nous pratiquons avec ses collègues. Lors de la mise en scène du numéro de bâtons fleurs, il me rappelle avec insistance sa partie dans le numéro, de peur que je l’oublie peut-être ou que je le mette de côté.  Mais chaque jour il continue de nommer les raisons de l’échec de notre spectacle.

La veille des représentations, nous apprenons qu’un Aîné est décédé et que nous devrons donc annuler le spectacle du soir par respect pour la communauté. C’est dans les yeux de John que je remarque la plus grande déception.

Tout de même, 2 représentations auront lieu devant les écoles le lendemain. La journée du spectacle, John vient me voir pour me dire à quel point il a peur, et comme tous ses amis, le stress l’envahit.

Mais maintenant ils ont tous la capacité d’en parler. Les jeunes se serrent dans leurs bras en coulisse, vérifient compulsivement leur «preset» et leur ordre de passage dans le spectacle.

 - J’ai peur que tout le monde rie de nous.

- Ouain, ils vont se foutre de notre gueule.

Avec eux, en coulisse, je sens le stress du show monter en moi, comme une maman poule. Et leurs petits bras fébriles qui viennent me quêter du réconfort. Je cache mon stress pour leur donner du courage au travers de grande phrases d’espoir que je crois trop «kétaine» mais, les yeux rivés sur moi, ils acceptent mes encouragements. Ils me regardent avec toute leur confiance et d’une grande inspiration, foncent sur scène.

 

(c) Exeko

 

Notre Légende raconte une histoire de courage, et les jeunes trouvent la force de monter sur scène et d’épater leur école au grand complet ainsi que tous les professeurs.

Après le spectacle, John est encore un des derniers à partir. Il réalise lentement que c’est la fin de l’aventure Trickster.  Assis devant nous, incapable de dire les mots, on sent toute la reconnaissance de John. Comme un petit animal, il va donner un calin maladroit à Manu.

John : Au début je ne croyais pas qu’on pouvait faire un spectacle…..mais je l’ai fait…!? Quand est-ce que vous revenez….

J’ai pas pleuré mais presque….

 

Merci à la communauté de Waswanipi pour leur accueil chaleureux!

Découvrez le programme Trickster ici

*Nom fictif

Par Marie Pierre Gadoua, médiatrice idAction Mobile

 

Vous les connaissez sûrement, ces jeux de ficelles qu’on fait lorsqu’on est enfant, avec nos amis dans la cour d’école, ou simplement pour passer le temps quand on s’ennuie par les jours de pluie… C’est une pratique qui ne date pas d’hier, et on la retrouve dans diverses cultures à travers le monde. Chaque peuple a ses propres figures, ses mots pour les décrire, ses histoires qui vont avec, et ses moments et contextes où les pratiquer.

 

La semaine passée, l’équipe à bord de la caravane d’Exeko a voulu apprendre les versions inuit de ce jeu, en allant, ficelles en main, à la rencontre des participants inuit dans les rues de Montréal.  Le printemps venait de se pointer le bout du nez, et nous avions envie de le célébrer en jouant dehors, comme des enfants.

 

Mais attention ! C’est du sérieux, la version inuit des jeux de ficelles (appelée ajaraaq en Inuktitut). C’est ce que nous avons constaté dès notre premier arrêt avec Johnny, qui est originaire d’Iqaluit au Nunavut, et qui a bien voulu se prêter au jeu.  Les figures sont complexes, les mains bougent vite, la ficelle semble se multiplier entre les doigts agiles qui l’entortillent ici, l’enroulent par là, la passent dessous, dessus, tirent une dernière fois, retournent le tout d’un mouvement de poignet, et hop ! Voilà un attelage à chiens qui courent, et courent et courent… Et voici une tente ! Et par ici, un séchoir à vêtements (drying rack), et voilà un pelle à neige, des lunettes, et, ma figure préférée… le lièvre qui échappe au chasseur ! Croyez-le ou non, il court le long des ficelles. Cette figure se nomme ukaliq.

Le lièvre qui échappe au chasseur (C) Exeko

Benjamin, originaire de Pond Inlet, au Nunavut, a même « coupé le doigt » de Marie Pierre, dans une enfilade de mouvements compliqués où elle se croyait fermement entortillée, … et puis hop !  Le tout se libère comme par magie, avec une impression que la ficelle a effectivement passé au travers dudit doigt. 

Le temps de l’atelier, nous étions redevenu enfants, amusés et fascinés par ces tours de magie et ces histoires racontées par leurs mains habiles. L’envie nous a pris de les essayer nous-même, évidemment.  Mais nous aurons besoin de beaucoup d’observation et de pratique si nous voulons être capable un jour de les reproduire à notre tour. Et surtout, il nous faudra des instructeurs généreux et patients, comme Johnny et Benjamin que nous remercions grandement pour cette première initiation.

Heureusement, le beau temps ne fait que commencer et il y a désormais une grosse bobine de ficelle à bord de la caravane. Bon printemps à tous !

http://exeko.org/idaction-mobile

 

 

 

 

 

 

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral