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Lettre de Danielle Aznavourian, bénévole depuis plus de 4 ans chez Exeko.

À idAction Mobile, notre caravane culturelle et philosophique qui sillonnne les rues de Montréal 4 fois semaine depuis 7 ans, à la rencontre des citoyen.ne.s de Montréal et particulièrement ceux et celles en situation d'exclusion.

 

Vanou,

Je te connais depuis bientôt quatre ans. J’avais entendu parler de toi lorsque j’étais encore dans mon pays natal. Ton nom m’avait intriguée la ‘Caravane philosophique’. Je t’imaginais comme une sorte d’agora ambulante où du haut de ton marchepied l’on pouvait s’adonner à des tirades de bon.ne citoyen.ne en quête d’idéal. Je ne m’étais pas trop trompée. Sur ton flanc s’affichait fièrement un slogan ‘La pensée en mouvement’. Ton géniteur t’avais bien conçue, accueillante pour s’y entasser en rigolant, toute finement garnie de livres, carnets et crayons. Inspirante. C’était un mardi d’octobre 2014. Je venais d’arriver à Montréal. Fred, artiste et médiateur, Dorothée, Maxime, Marine d’Exeko s’étaient rendus à l’Open Door où je les attendais pour les ‘Voies du Hasard’. Une création artistique collaborative orchestrée par Fred. Après quelques coups de pinceaux et d’échanges avec les gens de là-bas, c’est à bras ouverts que je me suis engouffrée dans ton havre de pensée et d’expression libres. Je te découvrais émerveillée par la magie de ce qui se tramait ; la recherche d’une destination où les ‘Voies du Hasard ‘ se poseront une nouvelle fois. Direction place des Festivals, où des passants se sont pris au jeu des rencontres et de l’art.

 

(c) Audrey Lise Mallet pour Exeko

 

Au fil de nos escapades, j’ai appris à écouter, à comprendre l’histoire de la ville que tu sillonnes et celles des hommes et des femmes qui habitent ses rues à même le bitume. Avec toi, j’ai côtoyé la générosité et la précarité, grandi en humilité, goûté à la poésie, ouvert mon cœur et mon esprit à l’autre toujours animée par la ‘présomption de l’égalité des intelligences’. Tellement inclusif.ve, toi ! Que de questionnements avec réponses ou sans avons-nous discuté adossé.es à ta portière ! Je me souviens de cette sortie l’hiver passé. La première de la nouvelle année. Un jeudi de janvier 2018. Il faisait bien frette et tes roues étaient enlisées sous un manteau blanc. T’avais la gorge sèche si bien qu’il fallait laisser ronronner ton vieux moteur pour que tu ne prennes pas froid et que tu ne nous lâches pas en plein élan de déambulation philosophique. Fred était au volant, Maxime devant – une autre Maxime. Hasard ou pas, on s’est arrêté à l’Open Door en branle-bas de pré-déménagement. Plus tard, à la place Emilie Gamelin, des jeunes t’ont aperçue et se sont vite dirigés vers nous. Autour de tuques, gants, livres et kombucha , nous avons jasé. L’esprit éveillé et le cœur chaud, nous nous sommes quittés.

Sacré.e Vanou,

Je t’écris parce que cela fait un bout que je te vois un peu magané.e. Je sais que bientôt tu t’en iras te refaire une beauté. Tu le mérites bien. À tous ces moments, à celles et ceux qui m’ont accueillie dans ta famille, à Toi, je lève mon verre.

Danielle .

 

P.S. Reviens-nous vite. Ici, on ne lâche pas

 

Plus d'infos sur idAction Mobile ici.  

Lancement officiel de notre nouvelle van le 18 octobre. Restez connectés à nos réseaux pour plus de détails.

Fatima Errady, stagiaire à Exeko, a récemment participé aux ateliers donnés à l'Auberge Madeleine, un organisme qui a pour mission d’accueillir, d’héberger et de supporter des femmes seules en situation d’itinérance âgées de 18 ans et plus. Voici un bref témoignage de son expérience.

Dans le mois d'août, j’ai pu participer à trois ateliers d’écriture qui ont eu lieu à l’Auberge Madeleine. Chaque rencontre était différente de l’autre car le thème de la conversation changeait chaque semaine et les participantes n’étaient pas les mêmes.

Ce que j’ai beaucoup apprécié de ces ateliers est l’exercice qu’on fait vers la fin de chaque séance. En effet, pour chaque thème, les médiatrices nous invitent à écrire en fonction du genre littéraire qu’elles proposent notamment rédiger des lettres personnelles ou composer de la poésie. Cet exercice permet de nourrir les esprits et surtout de se plonger dans le passé. En effet, plusieurs participantes ont confié que depuis le secondaire, voire le primaire pour certaines, elles n’ont plus écrit de lettres ou de poésie.

Avec cet atelier, les médiatrices proposent uniquement des pistes. Toutefois, les participantes peuvent s’approprier de ces pistes de manière très subjective car l’objectif, comme l’ont bien précisé les deux médiatrices au début de l’atelier, est de rester critique peu importe la situation, de faire une sorte « de gym de la pensée ».

À la fin de chaque atelier, je suis vraiment étonnée de la richesse de nos conversations. En effet, dans chaque atelier, je me rends compte que tout le monde a des savoirs, des connaissances peu importe leurs milieux d’origine ou/et leur condition de vie. Il est important de les valoriser et d’écouter toute la richesse que chacune a emporté de son passé.

Voici le récit d’une participante qui remercie les médiatrices pour la mise en place de cet atelier.

Une participante : « Vous savez, ça aide beaucoup surtout quand on est des personnes marginalisées ou dans des situations un peu difficiles parce que ça réveille des intérêts et puis, on élargit l'horizon. Quand on a beaucoup d'intérêts, c’est plus facile remonter la pente, quand le cœur et le corps sont occupés… »

La médiatrice : « Ça nous fait plaisir d’entendre ça car nous, on offre et puis les gens en font ce qu’ils veulent. Nos activités c’est un peu comme un déclencheur et puis les gens peuvent s’approprier de ça de manière très personnelle. Des fois, ça pourrait être juste pour se changer les idées. »

Richard Sabeh

Texte: Richard Sabeh

Tous les mercredis, depuis le mois de juin et pour tout le reste de l'été, Exeko anime des ateliers idAction aux Jardins Gamelin. Il s'agit d'une opportunité de libérer l'expression des participant.e.s en les engageants dans des discussions philosophiques, des débats d'actualités et des activités artistiques. Situé à l'ouest du parc, le cabanon partagé de la Société de Développement Social s'est transformé en une véritable agora où l'ouverture et la parole sont mises au service d'une meilleure compréhension de notre société.

Au fil des semaines, les participant.e.s ont contribué à l'élaboration d'une réflexion collective prenant racine dans leur quotidien à commencer par le lieu même où elle s'est déroulée. Les Jardins Gamelin ont en effet subi de profondes transformations dans les dernières années, ce qui nous a semblé suggérer une réflexion sur l'identité et la possibilité du changement. Les habitué.e.s du parc ne manquaient pas de chose à dire à ce sujet et n'ont pas hésité à faire le lien entre l'identité du parc et la leur.

L’un des participants qui le fréquente assidûment, comme les archives de la BAnQ, nous replonge dans l'histoire du parc et de la religieuse de qui il tire son nom. La Bienheureuse Émilie Gamelin a voué sa vie à améliorer le destin des femmes les plus démunies, des personnes âgées sans famille, des personnes souffrant de graves déficiences, des mésadapté.e.s, des sans-emplois, des immigrant.e.s frappé.e.s du choléra ainsi que des insurgé.e.s de la rébellion de 1837 incarcéré.e.s à la prison du Pied-du-Courant. Pour lui, les Jardins Gamelin qui occupent l'ancien site de l'Asile de la Providence qu'elle a fondé, tiennent leur identité de cette femme, mère des causes sociales de Montréal, ayant tout donné pour aider les autres. Il souhaite que son héritage y soit préservé et reconnait que malgré les changements, plusieurs des ressources qu'on y offrait, comme les distributions alimentaires, le sont toujours. Toutefois, il pense que la transformation du parc aurait dû favoriser davantage la mixité sociale. « Un ami, c'est comme vous, quelqu'un qui écoute, quelqu'un qui te parle. C'est un être humain, pas un objet, pas quelqu'un qui te traite comme un objet. Mais parfois, comme ici, on donne une concession, on nettoie le gazon, c'est beau. Et je comprends les commerçants qui pensent à leur portefeuille mais quand on considère les gens comme un problème parce qu'ils ne sont pas des clients, c'est les traiter comme des objets. Ce n’est pas ça être un ami. » Pour lui, on ne peut pas changer d'identité, qu'il s’agisse d'un lieu ou d'une personne, mais on peut devenir la meilleure version possible de soi-même.

Ces inquiétudes ont trouvé échos chez un autre participant, résident du quartier qui vient moins régulièrement au parc depuis l'aménagement de la terrasse et de scènes de spectacle. « Il y a trop d'activités. Je préférais quand c'était plus tranquille. Je me sentais moins sollicité. Il y a un sentiment de liberté qui émane d'un terrain vague. Maintenant avec toutes les animations, c'est comme si je devais venir pour y faire quelque chose. Je venais juste pour être tranquille. Ce n’est pas quelque chose ça. »

Un troisième participant, qui est ici pour l'été et se promenait dans le parc avec son sac à dos d'expédition, croit pour sa part fermement au changement. « Avant je buvais beaucoup, mais là j'ai arrêté et c'est sûr que ma personnalité a changé. » S'il ne connaissait pas le parc avant de nous rencontrer, il ne doute pas qu'il soit possible d'en faire un lieu où tout le monde se sentirait accueilli.

À la volée, nous entendons une femme qui discutait avec ses ami.e.s sur le côté du cabanon se lever et s'écrier en riant : « De temps en temps on meure, pis de temps en temps on ressuscite. » À plusieurs reprises nous avons recueilli les récits de ces hauts et de ces bas que vivent régulièrement la population en situation d'itinérance. On nous confie parfois aussi que l'aide reçu d'organismes, de la famille, mais surtout de leur réseau de support social contribue à leur donner la force nécessaire pour faire des changements positifs et s'aimer davantage. « On ne peut pas faire le travail à la place de quelqu'un. On peut lui offrir notre aide, notre écoute et les ressources pour lui donner une chance. Mais on ne peut pas forcer quelqu'un à changer. » Ces mots semblent faire consensus puisqu'ils nous sont parvenus sous une forme ou sous une autre de plusieurs participant.e.s.

La communauté des Jardins Gamelin est à l'image de Montréal, hautement diversifiée. Mais à l'heure actuelle, on voit dans le parc des groupes cantonnés en deux grandes sections : l'avant, donnant sur les restaurants de Sainte-Catherine et l'arrière, bordant la gare d’autobus du boulevard de Maisonneuve, dessinent les contours de deux mondes qui se côtoient sans se rencontrer. On se prend à rêver que cette frontière imaginaire se transforme en point de contact. Peut-être qu’il s’agit de sa vocation.

L'avis de notre participant historien : « Je pense qu'on doit travailler à raffermir le tissu social, il est blessé. Je pense que ça règlerait bien des problèmes, peut-être même une partie de la criminalité. Si les gens se connaissaient plus, se saluaient et se parlaient. Je pense qu'il y aurait moins de crime, moins de souffrance ; ils auraient moins peur. »

Juste avant de partir, au moment où nous fermions le cabanon, un homme qui saignait de la joue et sa copine sont venu.e.s nous demander de l'aide. Un médiateur de la SDS leur a remis de l'alcool et des pansements et nous leur avons installé deux chaises. Une fois qu'elle eut nettoyé et pansé la plaie, elle chuchota à son patient : « Si j'avais plus d'équipement je t'aurais guéri au complet. »

 

Le gouvernement du Québec fier partenaire du programme idAction

Lourdes Rodriguez del Barrio est professeure titulaire à l’École de Travail social de l’Université de Montréal. Elle dirige l’Équipe de Recherche et d’Action en Santé Mentale et culture (ERASME) ainsi que l’Alliance de Recherche internationale Université-Communauté Santé Mentale et Citoyenneté (ARUCI-SMC) qu’elle a fondée. Finalement, depuis juin 2017, elle est directrice scientifique à la recherche sociale du CIUSSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal (NIM).

Ses recherches ont contribué à la création de nouvelles approches d’intervention et d’évaluation; elles ont ainsi eu des impacts sur le plan de l’élargissement de la capacité d’agir des personnes vivant des expériences de souffrance et des situations d’exclusion, en améliorant leur qualité de vie, leur mieux-être et leur participation citoyenne. Elles ont aussi conduit au changement de politiques et de pratiques des organisations communautaires et publiques. Sur le plan méthodologique, ses recherches ont donné lieu à une réflexion critique et à un approfondissement des méthodes en recherche qualitative, en recherche-action participative de même qu’en évaluation pluraliste et formative. Ce type de recherche, engagée dans le changement, a exigé à ce que les planificateurs, intervenants et usagers des services soient impliqués dans toutes les étapes de ses projets : de la définition des questions de recherche à la mobilisation des connaissances acquises. Au-delà de ses propres expertises, Lourdes est une chercheure toujours désireuse d’apprendre de ceux et celles venant d’autres horizons. Le travail interdisciplinaire et intersectoriel est, pour elle, une passion et une pratique courante.

Bienvenue Lourdes!

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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

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  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral