Nutashkuan, il fait bon se retrouver!

Si tu roules encore et encore sur la 138, tu arrives, presque à bout de route, à la charmante Natashquan. Bien connue pour sa mer, ses paysages, son patrimoine et ses charmantes maisons colorées. Elle est pittoresque la Natashquan, mais à quelques mètres de là, longeant la mer se trouve Nutashkuan, une communauté innue qui veille sur le bout de la Côte-Nord. Entre Nustashkuan et Trickster, c’est loin d’être une nouvelle histoire, c’est la cinquième fois qu’une équipe se fait accueillir chaleureusement par cette magnifique communauté.

Cette fois, c’est Manu, Cyril et Jani qui débarquent pour 3 semaines afin de créer un spectacle avec les jeunes, mais aussi partager et échanger des outils d’animation, médiation, cirque, théâtre et création, dans le but d’une formation à l’approche Trickster. Pour Manu, c’est sa quatrième visite et Cyril sa deuxième, on retrouve de vieux amis.

Déjà entrée dans l’école, l’équipe se fait saluer et  reconnaître autant par le personnel que les adolescents. Une traversée de corridor se résume à plusieurs highfives, des sourires, des rires et des questions à savoir où sont Anne et Lili, les artistes-médiatrice de l’an passé. Tout le monde se souvient et autant pour les Tricksters que les jeunes, c’est une joie de se retrouver.

(c) Exeko

Ce n’est pas avec les jeunes que nous commencerons notre aventure, mais avec des professeurs, intervenants en loisirs et anciens participants qui souhaitent en apprendre plus sur l’approche, les jeux, les techniques d’animation et « le pourquoi du comment du quessé » d’un Trickster. Avec eux, on joue, on rie, on leur fait vivre un atelier vitesse grand V en leur partageant, en toute transparence, les raisons des jeux choisis et de la manière de les animer. Déjà, l’équipe revient à son camp de base, la tête pleine de nouvelles idées et d’apprentissages. Le projet de formation étant un pilote, les participants sont nos phares dans cette expérience.

En pleine formation Trickster! (c) Exeko

Enfin, mercredi, on rencontre une quinzaine de jeunes qui savent très bien ce qu’ils sont venus faire avec nous.

(c) Exeko

« On joue au chasseur innu !?! »

« On fait du trapèze !?! »

« T’es qui toi ? »

« Toi, qu’est-ce que tu vas nous apprendre ? » (Très bonne question, j’avoue que celle-ci m’a laissée bouche bée !)

« C’est quand le spectacle ? »

« Je peux faire du diabolo ? »

« Moi j’étais dans le spectacle l’an passé, tu me reconnais ? »

(c) Exeko

Ce qu’il y a de magique c’est qu’il reste encore deux semaines. Deux semaines de magnifiques rencontres. Deux semaines à travailler avec les jeunes, mais aussi les enseignants et le personnel de soutien de l’école qui nous épaulent merveilleusement. Sans eux, rien ne serait possible. Participants à la formation, ils nous apprennent continuellement sur les jeunes, sur leurs techniques, sur la communauté, sur nous-mêmes et bien plus encore. Ces deux semaines promettent d’être riches en rencontres, partages et échanges. Nutashkuan, encore une fois, tu nous charmes et fais grandir les projets.

Cynthia s'amuse avec le tissu! (c) Exeko

Un grand merci à l'École Uauitshitun et au Centre de santé Tshukuminu Kanani pour leur accueil.

Merci aussi à la Fondation Québec Jeunes, Telus Rimouski et au Secrétariat des affaires autochtones pour leur soutien financier au projet.

Pour en savoir plus sur Trickster, c'est ici!

Nutashkuan, il fait bon se retrouver!

Si tu roules encore et encore sur la 138, tu arrives, presque à bout de route, à la charmante Natashquan. Bien connue pour sa mer, ses paysages, son patrimoine et ses charmantes maisons colorées. Elle est pittoresque la Natashquan, mais à quelques mètres de là, longeant la mer se trouve Nutashkuan, une communauté innue qui veille sur le bout de la Côte-Nord. Entre Nustashkuan et Trickster, c’est loin d’être une nouvelle histoire, c’est la cinquième fois qu’une équipe se fait accueillir chaleureusement par cette magnifique communauté.

Cette fois, c’est Manu, Cyril et Jani qui débarquent pour 3 semaines afin de créer un spectacle avec les jeunes, mais aussi partager et échanger des outils d’animation, médiation, cirque, théâtre et création, dans le but d’une formation à l’approche Trickster. Pour Manu, c’est sa quatrième visite et Cyril sa deuxième, on retrouve de vieux amis.

Déjà entrée dans l’école, l’équipe se fait saluer et  reconnaître autant par le personnel que les adolescents. Une traversée de corridor se résume à plusieurs highfives, des sourires, des rires et des questions à savoir où sont Anne et Lili, les artistes-médiatrice de l’an passé. Tout le monde se souvient et autant pour les Tricksters que les jeunes, c’est une joie de se retrouver.

(c) Exeko

Ce n’est pas avec les jeunes que nous commencerons notre aventure, mais avec des professeurs, intervenants en loisirs et anciens participants qui souhaitent en apprendre plus sur l’approche, les jeux, les techniques d’animation et « le pourquoi du comment du quessé » d’un Trickster. Avec eux, on joue, on rie, on leur fait vivre un atelier vitesse grand V en leur partageant, en toute transparence, les raisons des jeux choisis et de la manière de les animer. Déjà, l’équipe revient à son camp de base, la tête pleine de nouvelles idées et d’apprentissages. Le projet de formation étant un pilote, les participants sont nos phares dans cette expérience.

En pleine formation Trickster! (c) Exeko

Enfin, mercredi, on rencontre une quinzaine de jeunes qui savent très bien ce qu’ils sont venus faire avec nous.

(c) Exeko

« On joue au chasseur innu !?! »

« On fait du trapèze !?! »

« T’es qui toi ? »

« Toi, qu’est-ce que tu vas nous apprendre ? » (Très bonne question, j’avoue que celle-ci m’a laissée bouche bée !)

« C’est quand le spectacle ? »

« Je peux faire du diabolo ? »

« Moi j’étais dans le spectacle l’an passé, tu me reconnais ? »

(c) Exeko

Ce qu’il y a de magique c’est qu’il reste encore deux semaines. Deux semaines de magnifiques rencontres. Deux semaines à travailler avec les jeunes, mais aussi les enseignants et le personnel de soutien de l’école qui nous épaulent merveilleusement. Sans eux, rien ne serait possible. Participants à la formation, ils nous apprennent continuellement sur les jeunes, sur leurs techniques, sur la communauté, sur nous-mêmes et bien plus encore. Ces deux semaines promettent d’être riches en rencontres, partages et échanges. Nutashkuan, encore une fois, tu nous charmes et fais grandir les projets.

Cynthia s'amuse avec le tissu! (c) Exeko

Un grand merci à l'École Uauitshitun et au Centre de santé Tshukuminu Kanani pour leur accueil.

Merci aussi à la Fondation Québec Jeunes, Telus Rimouski et au Secrétariat des affaires autochtones pour leur soutien financier au projet.

Pour en savoir plus sur Trickster, c'est ici!

Nutashkuan, il fait bon se retrouver!

Si tu roules encore et encore sur la 138, tu arrives, presque à bout de route, à la charmante Natashquan. Bien connue pour sa mer, ses paysages, son patrimoine et ses charmantes maisons colorées. Elle est pittoresque la Natashquan, mais à quelques mètres de là, longeant la mer se trouve Nutashkuan, une communauté innue qui veille sur le bout de la Côte-Nord. Entre Nustashkuan et Trickster, c’est loin d’être une nouvelle histoire, c’est la cinquième fois qu’une équipe se fait accueillir chaleureusement par cette magnifique communauté.

Cette fois, c’est Manu, Cyril et Jani qui débarquent pour 3 semaines afin de créer un spectacle avec les jeunes, mais aussi partager et échanger des outils d’animation, médiation, cirque, théâtre et création, dans le but d’une formation à l’approche Trickster. Pour Manu, c’est sa quatrième visite et Cyril sa deuxième, on retrouve de vieux amis.

Déjà entrée dans l’école, l’équipe se fait saluer et  reconnaître autant par le personnel que les adolescents. Une traversée de corridor se résume à plusieurs highfives, des sourires, des rires et des questions à savoir où sont Anne et Lili, les artistes-médiatrice de l’an passé. Tout le monde se souvient et autant pour les Tricksters que les jeunes, c’est une joie de se retrouver.

(c) Exeko

Ce n’est pas avec les jeunes que nous commencerons notre aventure, mais avec des professeurs, intervenants en loisirs et anciens participants qui souhaitent en apprendre plus sur l’approche, les jeux, les techniques d’animation et « le pourquoi du comment du quessé » d’un Trickster. Avec eux, on joue, on rie, on leur fait vivre un atelier vitesse grand V en leur partageant, en toute transparence, les raisons des jeux choisis et de la manière de les animer. Déjà, l’équipe revient à son camp de base, la tête pleine de nouvelles idées et d’apprentissages. Le projet de formation étant un pilote, les participants sont nos phares dans cette expérience.

En pleine formation Trickster! (c) Exeko

Enfin, mercredi, on rencontre une quinzaine de jeunes qui savent très bien ce qu’ils sont venus faire avec nous.

(c) Exeko

« On joue au chasseur innu !?! »

« On fait du trapèze !?! »

« T’es qui toi ? »

« Toi, qu’est-ce que tu vas nous apprendre ? » (Très bonne question, j’avoue que celle-ci m’a laissée bouche bée !)

« C’est quand le spectacle ? »

« Je peux faire du diabolo ? »

« Moi j’étais dans le spectacle l’an passé, tu me reconnais ? »

(c) Exeko

Ce qu’il y a de magique c’est qu’il reste encore deux semaines. Deux semaines de magnifiques rencontres. Deux semaines à travailler avec les jeunes, mais aussi les enseignants et le personnel de soutien de l’école qui nous épaulent merveilleusement. Sans eux, rien ne serait possible. Participants à la formation, ils nous apprennent continuellement sur les jeunes, sur leurs techniques, sur la communauté, sur nous-mêmes et bien plus encore. Ces deux semaines promettent d’être riches en rencontres, partages et échanges. Nutashkuan, encore une fois, tu nous charmes et fais grandir les projets.

Cynthia s'amuse avec le tissu! (c) Exeko

Un grand merci à l'École Uauitshitun et au Centre de santé Tshukuminu Kanani pour leur accueil.

Merci aussi à la Fondation Québec Jeunes, Telus Rimouski et au Secrétariat des affaires autochtones pour leur soutien financier au projet.

Pour en savoir plus sur Trickster, c'est ici!

Nutashkuan, il fait bon se retrouver!

Si tu roules encore et encore sur la 138, tu arrives, presque à bout de route, à la charmante Natashquan. Bien connue pour sa mer, ses paysages, son patrimoine et ses charmantes maisons colorées. Elle est pittoresque la Natashquan, mais à quelques mètres de là, longeant la mer se trouve Nutashkuan, une communauté innue qui veille sur le bout de la Côte-Nord. Entre Nustashkuan et Trickster, c’est loin d’être une nouvelle histoire, c’est la cinquième fois qu’une équipe se fait accueillir chaleureusement par cette magnifique communauté.

Cette fois, c’est Manu, Cyril et Jani qui débarquent pour 3 semaines afin de créer un spectacle avec les jeunes, mais aussi partager et échanger des outils d’animation, médiation, cirque, théâtre et création, dans le but d’une formation à l’approche Trickster. Pour Manu, c’est sa quatrième visite et Cyril sa deuxième, on retrouve de vieux amis.

Déjà entrée dans l’école, l’équipe se fait saluer et  reconnaître autant par le personnel que les adolescents. Une traversée de corridor se résume à plusieurs highfives, des sourires, des rires et des questions à savoir où sont Anne et Lili, les artistes-médiatrice de l’an passé. Tout le monde se souvient et autant pour les Tricksters que les jeunes, c’est une joie de se retrouver.

(c) Exeko

Ce n’est pas avec les jeunes que nous commencerons notre aventure, mais avec des professeurs, intervenants en loisirs et anciens participants qui souhaitent en apprendre plus sur l’approche, les jeux, les techniques d’animation et « le pourquoi du comment du quessé » d’un Trickster. Avec eux, on joue, on rie, on leur fait vivre un atelier vitesse grand V en leur partageant, en toute transparence, les raisons des jeux choisis et de la manière de les animer. Déjà, l’équipe revient à son camp de base, la tête pleine de nouvelles idées et d’apprentissages. Le projet de formation étant un pilote, les participants sont nos phares dans cette expérience.

En pleine formation Trickster! (c) Exeko

Enfin, mercredi, on rencontre une quinzaine de jeunes qui savent très bien ce qu’ils sont venus faire avec nous.

(c) Exeko

« On joue au chasseur innu !?! »

« On fait du trapèze !?! »

« T’es qui toi ? »

« Toi, qu’est-ce que tu vas nous apprendre ? » (Très bonne question, j’avoue que celle-ci m’a laissée bouche bée !)

« C’est quand le spectacle ? »

« Je peux faire du diabolo ? »

« Moi j’étais dans le spectacle l’an passé, tu me reconnais ? »

(c) Exeko

Ce qu’il y a de magique c’est qu’il reste encore deux semaines. Deux semaines de magnifiques rencontres. Deux semaines à travailler avec les jeunes, mais aussi les enseignants et le personnel de soutien de l’école qui nous épaulent merveilleusement. Sans eux, rien ne serait possible. Participants à la formation, ils nous apprennent continuellement sur les jeunes, sur leurs techniques, sur la communauté, sur nous-mêmes et bien plus encore. Ces deux semaines promettent d’être riches en rencontres, partages et échanges. Nutashkuan, encore une fois, tu nous charmes et fais grandir les projets.

Cynthia s'amuse avec le tissu! (c) Exeko

Un grand merci à l'École Uauitshitun et au Centre de santé Tshukuminu Kanani pour leur accueil.

Merci aussi à la Fondation Québec Jeunes, Telus Rimouski et au Secrétariat des affaires autochtones pour leur soutien financier au projet.

Pour en savoir plus sur Trickster, c'est ici!

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En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

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Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • «  I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost. »

    Participant @PACQ

  • « Why use paper when it is as beautiful as this? »

    One of the co-creator for Métissage Urbain

  • « I Have my own identity ! »

    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain

  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects

  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability.  »

    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal

  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists.  »

    Julie Laloire @AMDI

  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged. »

    Bulletin des YMCA

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • « ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community. »

    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future

  • « We are not higher, we are not lower, we are equal. »

    Simeoni, participant idAction Mobile

  • « Receving is good, but giving is better »

    Participant idAction@Kanesatake

  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery »

    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle

  • «  I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer »

    A participant, idAction Mobile

  • «  By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • «  ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • «  I was completely alone today, thanks for talking to me »

    Elie, participant @idAction Mobile

  • «  They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • «  Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself. »

    André Frossard

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged.»
    Bulletin des YMCA
  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists. »
    Julie Laloire @AMDI
  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability. »
    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal
  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects
  • « I Have my own identity !»
    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain
  • « Why use paper when it is as beautiful as this?»
    One of the co-creator for Métissage Urbain
  • « I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost.»
    Participant @PACQ
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself.»
    André Frossard
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « We are not higher, we are not lower, we are equal.»
    Simeoni, participant idAction Mobile
  • « I was completely alone today, thanks for talking to me»
    Elie, participant @idAction Mobile
  • « Receving is good, but giving is better»
    Participant idAction@Kanesatake
  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery»
    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle
  • «  ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News
  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community.»
    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future
  • « ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News