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Lundi 15 juillet, 13h, Véronique Guay, étudiante en travail social et bénévole depuis un an me retrouve à Exeko. Cela fait près d'un an depuis sa dernière sortie à bord d'idAction Mobile, et pourtant, la souriante demoiselle n'a pas quitté des yeux et du cœur l'organisme et le projet. Aussi, lorsque j'annonce que je cherche une bénévole référente pour l'ouverture d'une nouvelle bibliothèque relais de idAction Mobile, elle saute sur l'occasion pour remettre la main à la pâte.
 
Après une mise à jour sur idAction Mobile, impliquant tous les nouveaux services proposés à bord, les équipes, etc, nous nous attelons à la tâche. En temps que référente, Véronique balaye des yeux les livres soigneusement étiquetés et classés par d'autres bénévoles et, minutieusement, elle constitue les premières caisses qui serviront à ouvrir la bibliothèque. Du bout des doigts elle parcourt les tranches des petits trésors que nous avons recu dernièrement : certains sont neufs, d'autres semblent avoir vécu de belles aventures entre les mains de leurs précédents lecteurs.
 
Une fois nos 4 caisses prêtes nous prenons la direction du P.A.S de la rue, un organisme de soutien aux personnes de 55 ans et plus sans abri ou en situation de grande pauvreté. Les participants sont affairés : certains discutent, d'autres jouent aux cartes. Nous déballons les boites sur une longue table, les remplissant aussitôt des livres déjà présents, pour les estampiller aux couleurs du projet. 
 
Véronique conseille les participants sur le nouvel arrivage (C) Exeko
Après une courte présentation du projet, je note que la configuration de la salle a changé : une dizaine d'hommes s'activent à présent autour de la table, découvrant les ouvrages qui y sont disposés. Manon, préposée à l'accueil, témoigne : "De mettre les livres pèle-mèle sur la table a créé une effervescence". Quelques requêtes sont formulées, et Noémie, intervenante du P.A.S de la Rue propose à Yvon de les consigner ensemble sur la feuille prévue à cet effet. " un Roman sur la Guerre de Sécession  mais celle des Américains hein!!C'est vraiment important!!". Yvon demande des romans policiers : il en tient déjà un sous le bras, ravi. "Il y a autre chose que j'aimerais lire", confie t il, non sans une pointe de timidité et de gène. "Mais c'est un truc pour les enfants..." hésite t il. Je l'encourage. " C'est la Légende de Zorro!" m'explique t il. Sitôt dit, sitôt consigné. Lecteurs, nous sommes donc à sa recherche!
 
Des petits gourmands de littérature! (C) Exeko
 
 
Nous repartons ravies, remerciées par les participants, qui, pour certains, ont déjà le nez plongé dans leurs trouvailles. Je recois quelques heures plus tard un message de Noémie : "Vos livres font jaser, c'est parfait!". Mission accomplie donc!
 
Voilà déjà quelques jours que la bibliothèque idAction Mobile a fait son entrée au P.A.S de la Rue, et Manon nous livre ses observations: "Denis, qui n'a pas lu depuis longtemps achève son roman Le ménage rouge". Il dit "ça me dit occupé, l'intrigue est bonne!"
 
 
 
Retrouvez l'ensemble des bibliothèques idAction Mobile ici : exeko.org/idactionmobile
 
idAction Mobile est un projet soutenu par les Locations Jean Légaré et le FRIJ
 
 
 

 

 

 

 
 

Cet été, les participants de deux des groupes idAction sont d'origine autochtone: un premier groupe à Montréal, Ka Mamukanit, et l'autre à Kanehsatake du projet Pikwadin soutenu par le Conseil de Bande de Kanehsatake, qui a décidé de remettre sur pied la radio communautaire. Le premier groupe rassemble 8 jeunes Autochtones habitant Montréal, mais d'origines fort diverses (Colombie-Britannique, grand nord québécois, les prairies) réunis dans le cadre du Projet Ka Mamukanit, un programme de pré-employabilité.  

À Montréal (c) Exeko

Le groupe du projet radio, que nous voyons depuis maintenant deux mois, nous avait demandé lors d'un atelier quelle est l'opinion des montréalais à propos de la crise d'Oka qu'ils ont vécu pour la majorité. Ainsi, avec le groupe de Montréal, nous avons visionné Kanesatake : 270 years of resistance et sommes sortis dans la rue interviewer les passants sur leurs connaissances générales à propos de la crise d'Oka. Un bel exemple de médiation inversée, l'occasion pour les participants d'informer plusieurs passants sur les événements de 1990 à Kanesatake, tel que la source du conflit, le nombre de jours de siège par l'armée canadienne ( 78 jours ), le coût total pour le gouvernement canadien ( 155 Millions !) tous des faits importants à se remémorer et qu'ils ont appris en visionnant le film. Ils sont donc munis de leurs réponses et prêts à partager leurs résultats avec les jeunes de Kanestake aujourd'hui!

 

 

 

 

"Let's make a serious picture" = le résultat À Kanesatake (c)Exeko

 

 

 

La rencontre

Une première pour le programme idAction: les deux groupes uniront leurs forces pour un jour complet lors d'une sortie du groupe de Montréal à Kanesatake! Pour vous mettre vous aussi dans le bain, visionnez le documentaire de l'ONF sur la crise d'Oka.  

 
 

 

La radio

En parallèle, le groupe de Kanehsatake a décidé de ré-ouvrir la radio communautaire. Et la question a été posée dans la communauté «Aimeriez-vous voir la radio communautaire de Kanehsatake ouvrir à nouveau?»

 

 

 

Maxime, médiateur, sait se poser les bonnes questions ! Pourquoi ré-ouvrir la radio? (c)Exeko

Voici quelques réponses: Une belle rencontre donc prévue cet après-midi! Affaire à suivre sur notre blog la semaine prochaine.

 

 

 

Découvrez les photos de idAction@Kanesatake sur notre flikr!

Pour suivre nos participants sur facebook:  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Claire Lattier Chargée de projet Métissage Urbain Coin St Laurent/Ontario, début de soirée mercredi dernier: Le temps s'arrête avec idAction Mobile et sa première escale au CAAM (Centre d’amitié Autochtone de Montréal ).

 

 

 

Fanny et un participant (c)Exeko
 
Un temps d'arrêt pour un temps de créations et de partage de savoir-faire entre Junior et Marie-Pierre, Fanny et un participant... C'est la soirée Métissage Urbain à bord de notre caravane philosophique pour les jeunes et les Autochtones en situation d'itinérance.

Devant le Centre d’Amitié Autochtone, c’est sous une chaleur assommante que nous retrouvons fraîcheur et légèreté au son des drums de la traditionnelle soirée culturelle du mercredi. Dehors, nous trouvons une poignée de personnes intriguées par notre camionnette... s’engage alors des dialogues sur les projets et l’identité de chacun durant plus d’une heure, ou ne nous arrêtons pas de distribuer livres (fictions et thriller pour un des participant, BD, mangas et poésie pour d’autres), carnets et autre matériel de dessin… 

 

 
Junior à l'oeuvre (c)Exeko
L’intérêt et l’intrigue se créent autour du projet Métissage Urbain que Stéphane Dionne, médiateur-artiste invité à bord explique aux participants. Certains d’entre eux sont artistes, comme Junior, venu de l’ouest il y a quelques dizaines d’année, ou d’autres encore ébénistes. Le savoir-faire, le talent et la fierté sont un trait commun du caractère de ces personnes rencontrées ce soir-là à bord… Des dessins et des inspirations du moment nous sont laissés, petits bouts de papiers à la valeur soudain importantes et colorés de ces parcours et histoires venues de loin ! 
 
Pas encore tatouée (à la surprise et les interrogations de mon interlocuteur), je reste pour autant bien marquée par la gentillesse et la bonhomie de ce monsieur Junior, au trait comme à la verve assurée et fleurie… 
À suivre!
 
«  Moi j’écris mes pensées dans ma tête, pas sur du papier, ainsi, ma pensée ne se perd pas. » 
 
Participant rencontré à PAQC (Projet Autochtone du Québec).
 
 
 
 
 
Par Agnès Lorgeuilleux Assistante de projet chez Exeko Six jeunes issus des Premières nations et participants au projet idAction Mobile, accompagnés de trois médiatrices et bénévoles, ont assisté le 30 mai dernier à Birds with skymirrors, un show de danse contemporaine. Parti à pieds du PACQ, nous partageons un repas en extérieur, au Cœur des sciences à l’UQAM, tout en échangeant avec Fabienne Cabado, critique journalistique et médiatrice culturelle. Ce moment est l’occasion de nous découvrir et d’introduire progressivement le spectacle.
 
Repas extérieur @Exeko
 
Vient ensuite le show ! Notre groupe, accompagné d’Amélie Côté du FTA, rejoint le théâtre Maisonneuve sur la place des Arts. Chants incantatoires et danses de corps tatoués, nous sommes immédiatement plongés dans la culture Samoane du chorégraphe Lemi Ponifasio. 
 
Cette heure trente de spectacle intense nous prend littéralement au corps, les images s’entrechoquent dans nos têtes et nous avons la sensation d’avoir perdu tout repère en sortant de la salle. Notre voyage au cœur des îles du Pacifique se poursuit avec une rencontre organisée entre les spectateurs et Lemi Ponifasio. Celui-ci revient sur son parcours et présente son travail axé sur sa volonté de mettre en lumière sa culture et la faire partager. Il explique qu’au sein des communautés samoanes, les mots « arts » et « artistes » n’existent pas : chacun est amené à créer et à devenir pourvoyeur de culture, créateur de liens et leader de sa communauté. 
 
 
À la fin du show  (c)Amélie Côté pour Exeko
 
Nous avons particulièrement apprécié cet échange qui met à l’honneur la richesse des cultures autochtones et a fait sens à nos participants. Après avoir échangé nos impressions sur le chemin du retour, nous laissons tous un petit mot sur l’affiche offerte par le FTA et la collons directement sur le mur de la grande salle du PACQ, beau souvenir qui achève notre soirée.
Le FTA offrait aussi une sortie à l’Usine C pour nos artistes de Tandem Créatif. Le 20 mai, trois artistes de Tandem, accompagnés des médiatrices ont été voir la pièce  « Ganesh versus Third Reich » du Black to Back Theatre, une troupe australienne composée d’acteur ayant une déficience intellectuelle. La pièce, très intense a retenu l'attention, et provoqué les rires, malgré quelques moments de grande colère. Plusieurs artistes de Tandem  se sont reconnus dans les acteurs sur scène.  
 "Marc is like me" 
Gino Mainella
"C'est assez métaphysique comme pièce ça ! C'est bien le mot" Jonathan Labelle Edon Descollines a été interviewer de lui-même un des acteurs de la pièce, à la sortie. Un très bon retour général donc, tout le monde étaient ravis de voir la pièce et en a compris les subtilités, même si Edon  a fait remarquer  la violence présente dans les rapports entre les personnages, il a dit "C'est bon". Après cette belle expérience, tous attendent avec impatience une nouvelle sortie culturelle. Un grand merci au FTA et plus particulièrement à Fabienne Cabado et Amélie Côté qui nous ont accueillis et accompagnés tout au long de la soirée !  
 

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral