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Dans les bureaux d'Exeko, Fred et Dan, médiateurs pour idAction Mobile, préparent leur première soirée de co-médiation. Elaboration du plan d'action: Fred présente des approches artistiques à Dan, qui lui même dissèque le raisonnement de Fred en lui posant des énigmes. Le point de ralliement se fait naturellement lorsque, ensembles, ils trouvent des représentations visuelles des énigmes. C'est parti...!
 
La soirée débute, une belle énergie à bord, une fois de plus. Tandis que je prend place à l'arrière, la synergie des médiateurs continue d'opérer, l'un conduit, l'autre prend en charge la fiche de suivi, l'itinéraire se dessine au fil des discussion et suggestions de chacun. Gilbert est le premier à se voir confier une énigme, dessinée à la craie devant ses yeux. Ce soir la, Gilbert n'est pas d'humeur bavarde. "Laissez moi une semaine, je vous reviens avec la réponse". Challenge accepté. "Vous devriez aller voir du côté de Plein Milieu, il y a un barbecue la bas, vous allez voir du monde qui veut réfléchir". Sur ce beau référencement, nous quittons Gilbert... Un petit coup d'oeil par dessus mon épaule me permet de le voir deja profondément absorbé par le casse tête, traçant des traits imaginaires du bout des doigts.
 
enigme des allumettes (C) Exeko

Le conseil de Gilbert nous permet effectivement d'accéder ce soir la à un beau bourdonnement de méninges, d'assister à un travail collectif pour résoudre des dizaines d'énigmes, et de nous en voir proposer de nouvelles. "think out of the box", comme le résume Corinne... Nous restons jusqu'à ce que nos craies soient réduites en poussière. C'est le signal, le temps de voler vers d'autres participants. Chaque enigme résolue est un petit succès, et en appelle une nouvelle. Le raisonnement fuse, la logique fait son chemin parmi les ruses dissimulées dans les énoncés...

De Atwater à Ste Catherine, nous répandons des énigmes ce soir la. "Au prochain arrêt il faut qu'on fasse celle des vaches"! Mêmes aux arrêts éclairs, lorsque les feux de circulation sont rouges et que quelques squeedgees s'approchent, Fred se range, Daniel lance des énigmes dans les quelques secondes que la circulation nous laisse :
 
XI + I = X  
Comment rendre cette équation vraie, sans en changer un seul trait...?
Cogitation sur fond de bonne humeur (C) Exeko

Devant Réjean, nous dessinons cette même énigme. Daniel et Fred interpellent des passants, pour les inviter eux aussi à réfléchir. Tandis que deux demoiselles se prètent à l'exercice, Réjean m'explique, d'un ton oscillant entre le sérieux et la malice : " Moi ce qui m'intéresse chez une fille, ce n'est pas qu'elle soit jolie, c'est qu'elle soit intelligente!". Je ris avec lui. Belle philosophie!

(C) Exeko Nous terminons notre soirée au Projets Autochtones du Québec. Si les lieux sont plutôt tranquilles ce soir la, les énigmes continuent d'en faire cogiter plus d'un. Là encore, l'entraide est de mise entre les participants...   (C) Exeko
 
A votre tour maintenant...! 
 
 
reliez les 9 points par seulement 4 lignes droites, sans lever votre crayon!  
A votre tour, devenez bénévoles!
 
 
 
idAction Mobile est un projet soutenu par les Locations Jean Légaré et le FRIJ
 
 
 
Dans le cadre de 100 en 1 jour @ Montréal, idAction Mobile héberge à bord des "créatoires", séances de réflexion collectives autour d'actions citoyennes à mettre en place le 5 octobre prochain... Voici le témoignage de Caroline Durand, à propos de sa soirée du 17 septembre dernier, premier créatoire mobile!
 
Hier soir, dans le cadre de l’initiative 100 en 1 jour, j’ai participé à une activité d’éducation citoyenne avec l’organisme montréalais Exeko. L’activité s’inscrivait dans un projet en médiation culturelle et intellectuelle, idAction mobile. Chaque semaine, une bibliothèque roulante circule dans les rues de Montréal et s’arrête à des endroits stratégiques pour interagir avec des jeunes autochtones en situation d’itinérance. Ces gens-là partagent un espace public : la rue, les parcs, les ruelles, les trottoirs.
 
(C) Caroline Durand
 
Hier soir, j’ai vu des gens rire, jouer, réfléchir, donner leurs idées, changer le monde à leur façon. Hier soir, j’ai parlé à des gens qui ont les deux pieds sur terre, la tête un peu dans les nuages pour certains, mais surtout, le cœur à la bonne place.
 
Hier soir, j’ai regardé l’humain en face. J’ai croisé son regard, j’ai observé ses mains, sa peau, ses cheveux, qui me racontaient une réalité différente de la mienne.
 
Hier soir, j’ai réalisé que j’étais chanceuse d’avoir un lit, des fois même 2, d’avoir de quoi à manger, d’avoir tout ce qui me faut pour vivre et même pas mal plus.
 
(C) Caroline Durand

Hier soir, une femme de la rue m’a dit que la vie c’est juste un point sur une page blanche, que c’est juste toi pis moi, pis nous, avec notre âme pis notre capacité à aimer et à s’aimer soi-même.

 
La femme m’a dit que tout part de soi, pis qu’il y a juste le présent qui compte. La femme m’a fait réfléchir. Je me suis dit que la vie passe vite quand on regarde trop en arrière, pis qu’on passe trop de temps à anticiper le futur qui n’existe pas encore.  
(c) Caroline Durand
Je me suis dit que la vie peut être triste aussi quand on prend pas le temps de s’intéresser à l’humain ou qu’on essaie d’être quelqu’un d’autre.
(C) Exeko
Alors j’ai eu envie de m’arrêter pour prendre le temps d’écrire et de dire merci à cette femme-là et aux personnes extraordinaires que j’ai croisées hier dans la rue, mais à qui on n’accorde pas vraiment d’importance en général.
 
La prochaine fois que je vais voir une itinérante, un junkie, une femme qui quête ou un gars qui bum, je vais prendre le temps de le regarder dans les yeux, lui faire un sourire et je vais surement lui envoyer la main. Parce que dans le fond, on a des choses en commun. On partage le présent, on partage un espace public et surtout, on partage la vie, qui se construit dans nos interactions.
 
A votre tour, devenez bénévoles!
 
 
 
idAction Mobile est un projet soutenu par les Locations Jean Légaré et le FRIJ
 
 
 
 
Un océan ne suffirait pas à nous priver de bénévoles d'exception. Certains ne le sauraient pas, si on ne les faisait pas réaliser que depuis des heures, des jours, des mois, ils ont rejoint inconsciemment les rangs des bénévoles d'Exeko. C'est le cas d'Hubert, alias papa Corazon, le géniteur en personne de la chargée des bénévoles! (Elle n'en loupe pas une, vous direz vous!)
 
Vous avez vu des photos de bénévoles sur le terrain, dessinant au sol avec des craies, servant de la kombucha sur nos évènements, distribuant sourires et carnets,  bravant la pluie, le froid, la nuit... Vous avez vu ces perles cachées entre des piles de livres idAction Mobile, étiquetant consciencieusement les ouvrages, ces bénévoles qui cuisinent des cupcakes, qui cousent des cocardes fleuries, qui habillent nos sockmonkeys, qui prennent en note les citations des participants, montent des films, prennent de magnifiques portraits... Mais on n'oublie pas de remercier ceux qui pianotent sur leur clavier, à plus de 6000 km de distance, les yeux rivés sur des formules excel, inintelligibles pour le commun des mortels :
 
 =SOMME.SI('calculs intermédiaires'!$G$3:$G$5001;B9;'calculs intermédiaires'!K$3:K$5001)
 
Notre bénévole a vu sa fille s'escrimer en cours de mathématiques, luttant contre l'incapacité à vouloir comprendre l'intérêts des racines carrées, des exponentielles, des logarithmes et autres abstractions de la nature, patiemment penché sur les cahiers rageusement gribouillés de chiffres, de courbes, pour que la logique cartésienne se fasse une place, aussi minime soit elle, dans la tête de sa fille... 
 
Le maitre des chiffres rencontre l'outil de travail sur le terrain (c) Exeko
 
Des années plus tard, revoilà les démons de sa petite dernière qui refont surface. La voilà partie sur un autre continent, en prise aux bilans, aux chiffres, aux pourcentages de participants, de jeunes, d'Autochtones, au nombre d'heures passées par arrêt, ou de soirs en moyenne effectués par médiateur...  A coup de Skype,  de textos, de chats, de courriels, d'appels, mais surtout avec une patience et un acharnement incroyable, il vole à son secours, poussant Excel et google Drive à leur paroxysme, bravant le sommeil et la distance, pour nous permettre de prouver précisément l'impact de nos projets, d'illustrer concrètement nos actions auprès de nos bailleurs de fonds...   Inspection au Québec des formules et chiffres! (c) exeko
 
Quel autre mot choisir que tout simplement... merci?

 

A votre tour, devenez bénévoles!

 

 

 

 

 

Par Jani Greffe Bélanger, Coordonnatrice terrain Trickster@La Tuque

 

Le 14 septembre, en début d’après-midi, Cyril, Bruno et Jani, équipe Trickster, quittaient Montréal vers La Tuque pour un projet de 14 jours en collaboration avec le Centre d’amitié autochtone de La Tuque. Pour une deuxième fois cette année, c’est en milieu urbain que Trickster se fait accueillir afin de monter un spectacle de cirque et théâtre inspiré d’un conte des membres des communautés autochtones qui y sont installées.

Cyril et Bruno donnent des cours de jonglerie (c) Jani Greffe Bélanger

C’est avec une bonne soupe chaude et de la bannique que nous sommes accueillis au Centre d’amitié autochtone de La Tuque (CAALT). C’est l’heure du dîner, la place fourmille de jeunes et moins jeunes venus manger avant de retourner à leurs occupations. L’ambiance est chaleureuse et l’humour au rendez-vous.

Cyril tente de déconcentrer les statues (c) Jani Greffe Bélanger

Quelques heures plus tard, on rencontre Jayme et Alanis, les deux stagiaires, devant le local où les ateliers seront donnés. Alanis nous dit avoir déjà participé plus jeune au même genre de projet et avoir adoré cela. Juste le temps de faire connaissance et la salle se remplit rapidement de 7, 10, puis plus de 15 jeunes !

Dans la salle, au fil des minutes, les jeunes apprennent à jongler, faire des débuts de personnages ou travailler leur écoute. Pendant ce temps, les stagiaires se joignent au groupe ou prennent des photos, sautant pieds joints dans le projet et se révélant d’une grande aide. À un autre coin, sur une table, Karine et Laurianne, animatrices en activités communautaires du CAALT, concoctent de petite collation de fruits frais, yogourt et céréales. La vue panoramique de la situation est à faire sourire. Ça bouge de partout et chacun trouve rapidement sa place.

Puis, surprise, apparaît dans le cadre de porte Sasha, troisième stagiaire qui vient d’arriver, doucement elle se mêle à la ruche pour les dernières minutes.

 La salle se vide aussi vite qu’elle s’est remplie en se disant à demain. 

Fin d'atelier et cri d'aurevoir ! (c) Jani Greffe Bélanger

 

En plus du Centre d’amitié autochtone de La Tuque, nous aimerions remercier le Secrétariat à la jeunesse du Québec et Patrimoine Canadien pour leur soutien rendant possible ce projet.

 

Découvrez le programme Trickster ici

 

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral