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@Dorothée de Collasson

La Maison des amis du Plateau-Mont-Royal est un endroit où plusieurs personnes du quartier aiment se rencontrer. En plus d’offrir des repas tous les midis de la semaine, cet organisme est aussi un lieu où on peut créer des liens et socialiser. Exeko, a eu la chance d’être invité à y réaliser un cycle idAction à l’automne 2019, ce qui nous a permis de découvrir ce bel organisme et les personnes qui le fréquentent.

 

Pendant six rencontres, les médiatrices et médiateur Valérie Richard, Dorothée De Collasson et Jose Fuca ont créé un espace de parole où plusieurs sujets ont été abordés : les préjugés, l’esprit critique, les besoins, le leadership et même le quartier idéal.

 

Ces ateliers ont suscité beaucoup d’intérêt parmi les gens qui fréquentent l’organisme et ont donné lieu à des discussions parfois passionnées. Les personnes qui ont participé et alimenté les réflexions ont été généreuses de leurs idées, perceptions et expériences de vie. Les sujets discutés n’ont pas toujours faits l’unanimité, mais ont tout de même provoqué des réflexions et une envie d’action collective. 

Forts de leur expérience, deux participants partagent avec nous leurs impressions de ces rencontres.

 

À la Maison des amis (c)Dorothée de Collasson

 

Par Richard Lahaie 

Lorsque l’on m’a parlé de l’atelier d’Exeko, je ne savais pas à quoi m’attendre. En fait, je me suis présenté avec mes préjugés personnels face à une situation inconnue. Comme je fréquente la Maison des amis en tant que ressource alimentaire et non pour participer aux activités, je me suis présenté avec de grands questionnements face à cette activité. 

L’atelier était l’avant-dernière des six séances. Malgré le fait d’avoir manqué les premières, je me suis laissé prendre au jeu qui consistait à faire le cheminement en soi pour mener d’une vision personnelle à une vision collective à travers l’expression des besoins de chaque participant. C’est à ce moment qu’une personne de l’extérieur est intervenue sans respecter la dynamique de groupe. Au lieu d’amener des problèmes collectifs, elle n’a parlé que de problèmes personnels et elle est repartie. Cette situation m’a permis de comprendre le besoin de chaque participant d’exprimer son opinion. 

C’est lors du dernier atelier que j’ai pris conscience de la force du groupe dans la parole. J’ai alors proposé la création d’outils pour régler des enjeux sur le quartier ressortis par le groupe, défendre ses besoins ou lutter contre les préjugés négatifs. Par exemple, un comité de citoyens restreints, soutenu par un travailleur communautaire, peut aider un groupe à cheminer et à se doter d’outils pour agir. C’est ce que l’on appelle « empowerment » car les personnes visées sont les plus aptes à solutionner leurs problèmes. 

Par Raymond Brosseau

Selon moi, le prétexte de commencer la série d’atelier en parlant de nos préjugés a été une très bonne amorce parce que tout le monde a su reconnaître qu’il avait des préjugés. Il est par contre difficile de cristalliser les efforts pour que les gens travaillent dans le même sens. 

L’enjeu dans le groupe formé à la Maison des amis : l’écoute.

Dans un groupe, si on fait des choses dans un but sérieux, il faut rester sérieux. Pour organiser la parole dans un groupe, il faut créer une formule de communication. Ça donne à chaque personne la capacité de prendre sa place.

C’est la raison pour laquelle j’ai proposé, vers le troisième atelier, l’idée d’inclure un micro de la parole pour permettre à chacun de s’exprimer. Cette idée, même si elle n’est pas parfaite, a permis de créer un espace de parole qui apporte à chaque individu un endroit pour être écouté. 

Les participants aimeraient que les ateliers continuent. Je me demande dans quelle direction ça va aller.

 

Plus d'infos exeko.org/idaction

 

Nous voulons vous partager des mots, prises de paroles poétiques ou politiques de plusieurs femmes rencontrées au Chaînon, un milieu chaleureux et ouvert qui accueille et accompagne les femmes en difficulté, et où nous avons posé nos valises le temps de quelques ateliers idAction, cet été.  

Plutôt que de faire le récit de notre expérience, nous voulons faire résonner leurs mots.

Nous vous invitons donc à découvrir ce document, qui compile leurs écrits et leurs pensées. Et, pour vous donner le goût de parcourir ces quelques pages, voici À ma mère 

 

À MA MÈRE

Camara Laye

Femme noire, femme africaine,

Ô toi ma mère, je pense à toi...

Ô Daman, ô ma Mère,

Toi qui me portas sur le dos,

Toi qui m’allaitas, toi qui gouvernas mes premiers pas,

Toi qui la première m’ouvris les yeux aux prodiges de la terre,

Je pense à toi...

Ô toi Daman, Ô ma mère,

Toi qui essuyas mes larmes,

Toi qui me réjouissais le cœur,

Toi qui, patiemment, supportais mes caprices,

Comme j’aimerais encore être près de toi,

Etre enfant près de toi !

Femme simple, femme de la résignation,

Ô toi ma mère, je pense à toi.

Ô Daman, Daman de la grande famille des forgerons,

Ma pensée toujours se tourne vers toi,

La tienne à chaque pas m’accompagne,

Ô Daman, ma mère,

Comme j’aimerais encore être dans ta chaleur,

Etre enfant près de toi...

Femme noire, femme africaine,

Ô toi ma mère,

Merci, merci pour tout ce que tu fis pour moi,

Ton fils si loin, si près de toi.

Femme des champs, femme des rivières

femme du grand fleuve, ô toi, ma mère

je pense à toi...

Un témoignage de Mathilde Carignan et Maude Talbot, deux étudiantes en médecine en stage chez Exeko.  

Arrivées dans les locaux d’Exeko depuis un peu plus d’une heure, nous avions peine à nous imaginer l’expérience qui nous attendait dans les prochaines heures. Nous avions beau avoir eu une présentation sur l’organisme et ses différents programmes, rien n’égale l’expérience sur le terrain.

Un peu fébriles, c’est maintenant le moment d’embarquer pour la première fois dans la caravane d’IdAction mobile en compagnie d’Isabelle, la médiatrice. Premier arrêt : un refuge pour femme où nous allions animer un atelier sur la thématique du bonheur. Nous sommes rapidement déstabilisées par l’accueil chaleureux qui nous y attend. Les femmes se mettent à fouiller parmi les livres et c’est pour nous une occasion d’initier la conversation avec elles. On rencontre alors 3 femmes d’horizon différent, mais qui partagent toutes ce même intérêt pour la lecture. Puis, on les questionne sur le bonheur, ce qu’il représente pour elles. Leurs réponses sont d’une spontanéité désarmante : c’est un état d’esprit, c’est quelque chose qui se travaille, c’est personnel, mais c’est encore plus fort lorsque partagé avec les autres. La discussion va de bon train. On réfléchit, on rit, on connecte. Avant notre départ, l’une de nos participantes nous lance : « du bonheur, j’en ai maintenant plein dans les poches pour continuer ! »

Quelle belle façon de briser la glace! Dans les jours qui ont suivi, IdAction mobile nous a permis de rencontrer une vingtaine de personnes toutes différentes les unes des autres. Des gens qu’on côtoie au quotidien, avec qui on partage les mêmes lieux, mais pour qui on ne s’était jamais vraiment arrêtées. Des gens avec une histoire à raconter et des opinions diverses.

Pour nous, Exeko, ce fut une expérience qui nous a sorti de notre zone de confort et qui nous a fait grandir. Elle nous a ouvert les yeux sur la réalité des populations marginalisées et nous a permis de réfléchir sur des moyens pour déconstruire nos préjugés afin d’aller de l’avant vers un système de santé et une société plus inclusifs. 

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Intéressé.e par le bénévolat chez Exeko? C'est par ici que ça commence! 

Photo © Ducakis Désinat

Le sept août dernier, j’ai fait ma première sortie avec Idaction Mobile. J’accompagnais Dukakis, médiateur. Par un heureux hasard (pour moi), la sortie fut précédée d’un Atelier Photo d’environ deux heures en compagnie des participant-e-s du Club Ami du quartier Côte-des-Neiges.

Ce projet, en plusieurs étapes, consiste en photos prises par chaque participant.e lors de promenades dans ce quartier qu’ils et elles connaissent si bien. Bien que la journée soit d’une chaleur presque insoutenable, une dizaine de personnes sont venues, un appareil-photo en main. Quelques-un-e-s s’inquiètent de ne pas savoir utiliser l’appareil. D’autres demandent la permission de photographier tel lieu ou édifice.     

Sydney, -un passionné de son quartier et de l’histoire de celui-ci-, connaît la date de construction des immeubles classés historiques ou non. Est-il ingénieur, concepteur, historien? Je ne le sais pas et cela m’importe peu. C’est sa passion qui m’intéresse et ce sentiment d’appartenance qui, en fait, est celui de chacun-e. Élisabeth cherche le bon angle pour mettre en valeur l’église sur la rue Côte-des-Neiges.    

Youssef, quant à lui, me fait découvrir son quartier par ses commerces et en oublie de prendre des photos. Il connaît le nom de chaque commerçant et même l’ancien. Je réalise que j’accompagne des personnes qui habitent dans ce quartier depuis trente ans ou plus. Racines, liens, communauté, appartenance : tout cela relègue au second plan le reste. Moi-même suis avec eux et nulle part ailleurs. Dans le temps réel qui est le présent.

J’étais avec un petit groupe. L’autre partie était avec Dukakis et une intervenante du Club Ami. Sur la fin de cette sortie, nous nous sommes tous retrouvés autour d’une crème glacée.

Catherine, bénévole.

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Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral