Trickster@Lac-Simon: Des pas de souris, comme des géants...

Par Jani Greffe Bélanger, Coordonnatrice terrain Trickster

(c) Exeko

Déjà une semaine que l’équipe Trickster est au Lac-Simon. Déjà une semaine de retrouvailles, d’émotions, de fierté de voir son nom dans le recueil Terres de Trickster et de nouveaux visages qui à chaque jour nous font découvrir leurs talents.

Dès leur arrivée, Bruno, Alessia et Jani sont accueillis par un groupe tout en féminité et en humour. C’est en majorité des filles, certaines de l’an passé, qui se joignent de nouveau à l’aventure. Rapidement, chacune trouve sa place et son clown pour naturellement nous offrir des moments de grands fous rire et de partage d’une belle, simple, mais charmante folie. Dans le gymnase de l’école secondaire Amik-Wiche, c’est dans la simplicité enfantine d’une création basée sur l’utilisation d’un drap blanc que la magie commence et que les esprits se rencontrent. Avec un rien, on peut faire un tout.

 

(c) Exeko

De temps à autres, un visage connu de l’an passé passe la porte pour venir jaser ou montrer l’évolution de leur talent de jongleur depuis un an. Ils ont grandis, ils se rappellent et bien que, pour certains, ils soient rendus ailleurs et ont la tête dans d’autres projets, la curiosité est encore présente. Ils gravitent autour les yeux pleins de souvenirs, intéressés de voir comment évoluent les jeunes de cette année.

 

(c) Exeko

Encore une fois, le personnel de l’école Amik-Wiche, du Centre de santé, du Conseil de bande et les membres de la communauté du Lac-Simon sont accueillants et acceptent de laisser place à cette folie que déploie le Trickster. Tout cela serait impossible sans leur grande ouverture et confiance. 

 

(c) Exeko

C’est à pas de souris que le projet avance. Des pas de souris, où chacun apprend à connaître l’autre, à faire confiance, à être déçu et à retrouver sa motivation. La création jumelée à la rencontre, c’est fragile, fébrile, mais grand… Et la grandeur ça donne parfois le vertige, autant aux jeunes qu’aux médiateurs. On avance, à pas de souris, mais vers l’avant et ce sera tous ensemble, à s’attendre à chaque tournant, parce que ce qui importe c’est la rencontre et la création. Le résultat sera beau qu’il soit visible ou simplement perceptible, il sera grand à donner un petit vertige… 

 

(c) Exeko

Découvrez le programme Trickster!

Le projet Trckster@Lac-Simon et programme Trickster sont soutenus par notre partenaire inclusif Telus Rimouski.

Trickster@Lac-Simon: Des pas de souris, comme des géants...

Par Jani Greffe Bélanger, Coordonnatrice terrain Trickster

(c) Exeko

Déjà une semaine que l’équipe Trickster est au Lac-Simon. Déjà une semaine de retrouvailles, d’émotions, de fierté de voir son nom dans le recueil Terres de Trickster et de nouveaux visages qui à chaque jour nous font découvrir leurs talents.

Dès leur arrivée, Bruno, Alessia et Jani sont accueillis par un groupe tout en féminité et en humour. C’est en majorité des filles, certaines de l’an passé, qui se joignent de nouveau à l’aventure. Rapidement, chacune trouve sa place et son clown pour naturellement nous offrir des moments de grands fous rire et de partage d’une belle, simple, mais charmante folie. Dans le gymnase de l’école secondaire Amik-Wiche, c’est dans la simplicité enfantine d’une création basée sur l’utilisation d’un drap blanc que la magie commence et que les esprits se rencontrent. Avec un rien, on peut faire un tout.

 

(c) Exeko

De temps à autres, un visage connu de l’an passé passe la porte pour venir jaser ou montrer l’évolution de leur talent de jongleur depuis un an. Ils ont grandis, ils se rappellent et bien que, pour certains, ils soient rendus ailleurs et ont la tête dans d’autres projets, la curiosité est encore présente. Ils gravitent autour les yeux pleins de souvenirs, intéressés de voir comment évoluent les jeunes de cette année.

 

(c) Exeko

Encore une fois, le personnel de l’école Amik-Wiche, du Centre de santé, du Conseil de bande et les membres de la communauté du Lac-Simon sont accueillants et acceptent de laisser place à cette folie que déploie le Trickster. Tout cela serait impossible sans leur grande ouverture et confiance. 

 

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C’est à pas de souris que le projet avance. Des pas de souris, où chacun apprend à connaître l’autre, à faire confiance, à être déçu et à retrouver sa motivation. La création jumelée à la rencontre, c’est fragile, fébrile, mais grand… Et la grandeur ça donne parfois le vertige, autant aux jeunes qu’aux médiateurs. On avance, à pas de souris, mais vers l’avant et ce sera tous ensemble, à s’attendre à chaque tournant, parce que ce qui importe c’est la rencontre et la création. Le résultat sera beau qu’il soit visible ou simplement perceptible, il sera grand à donner un petit vertige… 

 

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Trickster@Lac-Simon: Des pas de souris, comme des géants...

Par Jani Greffe Bélanger, Coordonnatrice terrain Trickster

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Déjà une semaine que l’équipe Trickster est au Lac-Simon. Déjà une semaine de retrouvailles, d’émotions, de fierté de voir son nom dans le recueil Terres de Trickster et de nouveaux visages qui à chaque jour nous font découvrir leurs talents.

Dès leur arrivée, Bruno, Alessia et Jani sont accueillis par un groupe tout en féminité et en humour. C’est en majorité des filles, certaines de l’an passé, qui se joignent de nouveau à l’aventure. Rapidement, chacune trouve sa place et son clown pour naturellement nous offrir des moments de grands fous rire et de partage d’une belle, simple, mais charmante folie. Dans le gymnase de l’école secondaire Amik-Wiche, c’est dans la simplicité enfantine d’une création basée sur l’utilisation d’un drap blanc que la magie commence et que les esprits se rencontrent. Avec un rien, on peut faire un tout.

 

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De temps à autres, un visage connu de l’an passé passe la porte pour venir jaser ou montrer l’évolution de leur talent de jongleur depuis un an. Ils ont grandis, ils se rappellent et bien que, pour certains, ils soient rendus ailleurs et ont la tête dans d’autres projets, la curiosité est encore présente. Ils gravitent autour les yeux pleins de souvenirs, intéressés de voir comment évoluent les jeunes de cette année.

 

(c) Exeko

Encore une fois, le personnel de l’école Amik-Wiche, du Centre de santé, du Conseil de bande et les membres de la communauté du Lac-Simon sont accueillants et acceptent de laisser place à cette folie que déploie le Trickster. Tout cela serait impossible sans leur grande ouverture et confiance. 

 

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C’est à pas de souris que le projet avance. Des pas de souris, où chacun apprend à connaître l’autre, à faire confiance, à être déçu et à retrouver sa motivation. La création jumelée à la rencontre, c’est fragile, fébrile, mais grand… Et la grandeur ça donne parfois le vertige, autant aux jeunes qu’aux médiateurs. On avance, à pas de souris, mais vers l’avant et ce sera tous ensemble, à s’attendre à chaque tournant, parce que ce qui importe c’est la rencontre et la création. Le résultat sera beau qu’il soit visible ou simplement perceptible, il sera grand à donner un petit vertige… 

 

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Ma première fois à bord de idAction Mobile

Photo en-tête: Gaetan Nerincx 

Une fourgonnette, deux médiateurs, trois peintures, des dizaines de livres, de carnets et de crayons. Muni de nos "armes" de médiation, nous sommes prêts pour une demie-journée à bord d'idAction Mobile.

Je suis arrivé à Exeko la semaine dernière. J'avais évidemment entendu parler de ce projet incontournable de l'organisme. Son objectif : parcourir les rues de Montréal pour aller à la rencontre des personnes en situation d'itinérance et leur offrir des voies d'accès à l'art et à la culture. Il y a quelques jours, un article publié sur le blogue Nightlife présentait justement idAction Mobile et d'autres initiatives de ce type dans la ville. Mais hier, c'était la première fois que j'y prenais part directement. Embarqué avec Fred, médiateur, et Émily, artiste invitée en résidence, j'observe alors au plus près ce qu'est idAction Mobile : des histoires, des rencontres, des échanges.

"When I do art, I come alive"

Nous devons distribuer trois oeuvres d'art dans des lieux dédiés à l'accueil des personnes en situation d'itinérance, à Open Door, à la mission St. Michael du "Red Roof" (en référence à l'église St. John et son toit rouge atypique) ainsi qu'au Centre d'amitié autochtone de Montréal. Distribuer la "nourriture de l'esprit" comme le dit Fred. Dans ces centres d'accueil, les personnes en situation d'itinérance ont déjà accès au dîner et à des boissons chaudes ; nous partageons avec ces personnes la possibilité de penser, de rêver devant l'exposition d'une oeuvre artistique. Ici, les trois peintures sont issues du tout premier projet de résidence artistique à bord d'idAction Mobile, coordonné par Fred et réalisé par plus de 300 personnes en co-création à l'aide de voitures téléguidées.

Dans chacun de ces lieux, nous profitons des arrêts pour aller à la rencontre des participants. Certains demandent spontanément des livres, d'autres des cahiers et des crayons pour écrire ou dessiner. Pendant l'un des moments forts de la journée, Fred s'assoit avec un participant à Open Door. Ils partagent un biscuit chinois et Fred lui demande de dessiner la prédiction sur le petit morceau de papier à l'intérieur de la confiserie : "Vous allez avoir du succès dans votre vie professionnelle". Quelques minutes après, on le retrouve sur le dessin, propriétaire de son restaurant. "Qu'est-ce que tu sers?" demande Fred. "Des pancakes et du lait". Le déjeuner idéal sans doute, pour celui qui n'en a pas eu depuis longtemps. Ils dessinent et discutent tous deux pendant une petite demie-heure, l'échange entre les deux protagonistes est sincère, les sourires aussi. 

(c) Exeko

C'est une histoire parmi d'autres au cours de cette journée forte en échanges et en co-création. Au "Red Roof", nous retrouvons George, le directeur de la mission St. Michael. L'organisme apporte un soutien quotidien aux personnes en situation d'itinérance : de la nourriture, des vêtements, une douche chaude... et de l'art. George nous remercie pour le tableau et souligne l'importance des créations artistiques pour les populations accueillies au centre. "When I do art, I come alive" (quand je fais de l'art, je me sens vivant), lui a dit un jour un participant. On ne pourrait pas mieux résumer la journée et le projet idAction Mobile.

Cela fait dix jours que je travaille à Exeko mais ce n'est qu'hier que j'ai vraiment compris ce qu'était idAction Mobile, et plus largement la médiation intellectuelle et culturelle. D'un concept théorique abstrait écrit noir sur blanc sur une feuille de papier, la médiation pratiquée par Exeko est devenue une démarche explicite à mes yeux, dont l'ambition est de nourrir les esprits affamés avec un peu d'art et de culture. Nous sommes tous capables de ressentir des émotions devant un livre ou une peinture, idAction Mobile en assure l'accessibilité aux populations les plus marginalisées pour continuer à penser et à rêver. C'était une bonne journée.

 

Plus d'infos sur idAction Mobile sur notre site web.

La caravane idAction Mobile roule 4 fois par semaine avec le soutien de nos partenaires Intact et L’Œuvre Léger 

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral