Premiers mois d'idAction au Module du Nord Québécois

Début octobre débutait une nouvelle collaboration du programme idAction avec le Module du Nord Québécois. Dans ce contexte tout à fait particulier, un trio de médiatrices constitué d’Alexandra, Marie-Paule et Marie-Pierre ont mis en place des ateliers chaque mardi soir.

Au Module du Nord, plusieurs centaines d’Inuit sont hébergés chaque année lorsqu’ils  viennent chercher des soins médicaux. Aussi, leur séjour peut varier de quelques jours à plusieurs semaines. Beau défi pour notre trio, qui rencontrent quasiment chaque semaine une salle pleine de nouveaux visages. De ce défi est née l’idée de réaliser une grande bannière collective, sur laquelle chacun peut, tout en discutant, laisser une petite trace de son passage. Après plusieurs semaines de peinture est venu le temps de coudre, et c’est avec humilité et curiosité que nos médiatrices ont mis la main à la pâte, en apprenant les rudiments de la couture, appuyées par Jrène, une bénévole aux doigts de fée.

 

« Nous apprenons à chaque semaine à adapter notre proposition de médiation au MNQ. Il aurait été bien prétentieux de savoir ce dont les gens avaient besoin en arrivant. Notre première présence au MNQ en a été une de découverte, d'apprentissage, d'écoute du terrain et d'essais. »

Marie-Paule Grimaldi, médiatrice

Dans ces ateliers qui réunissent de 10 à 30 participants de tous âges chaque semaine, le trio de médiatrice a mis en place des projections de films portant sur divers aspects de cultures autochtones.  Ces films  et la fresque créent un référent, un objet autour duquel peuvent venir se greffer et graviter les discussions. « Rencontres intergenerationnelles et positives sur toute la ligne et beaucoup de conscientisation autour de sujets difficiles comme les déportations forcées de familles Inuit dans les années 60, sujet du film Martha of the North. », raconte Alexandra à son retour de l’atelier de cette semaine. Ainsi s’opère la magie de la médiation…  Marie-Paule  décrit l’appropriation naturelle de la bannière par les petites mains qui y contribue. Les participants ont même réussi à obtenir l’autorisation de continuer l’ouvrage après le départ de l’équipe.

 

Travail autour de la bannière (C) Exeko

« Nous faisons trois choses au MNQ: de l'empowerment culturel, aider à créer des espaces d'échange intergénérationnels et participer à un dialogue allochtone-inuit basé sur l'hospitalité. Ce sont trois actions majeures en prévention. Je suis persuadée qu'un fort sentiment d'appartenance et de fierté à sa communauté et la perspective dans un monde où il est possible de prendre sa place en co-construction sont des dispositifs qui aident un être humain à s'épanouir. Notre intérêt envers les Inuit et notre souci de réfléchir à leur accueil à Montréal est nécessaire pour faire tomber certains préjugés, une ignorance et une méfiance qui ne servent personne. »

Marie-Paule Grimaldi, médiatrice

 

 

Ce mois-ci, dans le cadre d’un autre contrat, Marie-Pierre était en déplacement au Nunavik, à Inukjuak! Aussi, quelle belle surprise pour notre médiatrice de retrouver quelques participants rencontrés dans le cadre des ateliers! « Ce voyage m'a fait réaliser à quel point le YMCA est un lieu commun et habituel pour les inuit du Nunavik. C'est un séjour obligé et régulier pour le monde. Et leurs réaction quand je leur expliquait ce qu'on y fait: "Wow! When is this? I want to come!", avec les yeux pétillants et tout. Il y en a même un qui veut se faire envoyer le coffret DVD chez lui. Il ne peut attendre de venir au Sud. », nous partage-t-elle. Marie Pierre nous raconte ses discussions dans le Nord au sujet des participants d’idAction Mobile en situation d’itinérance. Elle décrit l’empathie et la sympathie de ses interlocuteurs, à l’issue de la discussion, au sujet de leurs concitoyens marginalisés de Montréal. Plusieurs lui mentionnent leur intérêt à venir participer aux ateliers du Module du Nord lors de leur passage à Montréal

La semaine prochaine, une sortie aura lieu avec un groupe du Module du Nord au Musée Mc Cord. Début mars, une journée de pêche blanche dans le Vieux Montréal permettra à chacun de partager ses savoirs… A suivre!

 

 

 

Premiers mois d'idAction au Module du Nord Québécois

Début octobre débutait une nouvelle collaboration du programme idAction avec le Module du Nord Québécois. Dans ce contexte tout à fait particulier, un trio de médiatrices constitué d’Alexandra, Marie-Paule et Marie-Pierre ont mis en place des ateliers chaque mardi soir.

Au Module du Nord, plusieurs centaines d’Inuit sont hébergés chaque année lorsqu’ils  viennent chercher des soins médicaux. Aussi, leur séjour peut varier de quelques jours à plusieurs semaines. Beau défi pour notre trio, qui rencontrent quasiment chaque semaine une salle pleine de nouveaux visages. De ce défi est née l’idée de réaliser une grande bannière collective, sur laquelle chacun peut, tout en discutant, laisser une petite trace de son passage. Après plusieurs semaines de peinture est venu le temps de coudre, et c’est avec humilité et curiosité que nos médiatrices ont mis la main à la pâte, en apprenant les rudiments de la couture, appuyées par Jrène, une bénévole aux doigts de fée.

 

« Nous apprenons à chaque semaine à adapter notre proposition de médiation au MNQ. Il aurait été bien prétentieux de savoir ce dont les gens avaient besoin en arrivant. Notre première présence au MNQ en a été une de découverte, d'apprentissage, d'écoute du terrain et d'essais. »

Marie-Paule Grimaldi, médiatrice

Dans ces ateliers qui réunissent de 10 à 30 participants de tous âges chaque semaine, le trio de médiatrice a mis en place des projections de films portant sur divers aspects de cultures autochtones.  Ces films  et la fresque créent un référent, un objet autour duquel peuvent venir se greffer et graviter les discussions. « Rencontres intergenerationnelles et positives sur toute la ligne et beaucoup de conscientisation autour de sujets difficiles comme les déportations forcées de familles Inuit dans les années 60, sujet du film Martha of the North. », raconte Alexandra à son retour de l’atelier de cette semaine. Ainsi s’opère la magie de la médiation…  Marie-Paule  décrit l’appropriation naturelle de la bannière par les petites mains qui y contribue. Les participants ont même réussi à obtenir l’autorisation de continuer l’ouvrage après le départ de l’équipe.

 

Travail autour de la bannière (C) Exeko

« Nous faisons trois choses au MNQ: de l'empowerment culturel, aider à créer des espaces d'échange intergénérationnels et participer à un dialogue allochtone-inuit basé sur l'hospitalité. Ce sont trois actions majeures en prévention. Je suis persuadée qu'un fort sentiment d'appartenance et de fierté à sa communauté et la perspective dans un monde où il est possible de prendre sa place en co-construction sont des dispositifs qui aident un être humain à s'épanouir. Notre intérêt envers les Inuit et notre souci de réfléchir à leur accueil à Montréal est nécessaire pour faire tomber certains préjugés, une ignorance et une méfiance qui ne servent personne. »

Marie-Paule Grimaldi, médiatrice

 

 

Ce mois-ci, dans le cadre d’un autre contrat, Marie-Pierre était en déplacement au Nunavik, à Inukjuak! Aussi, quelle belle surprise pour notre médiatrice de retrouver quelques participants rencontrés dans le cadre des ateliers! « Ce voyage m'a fait réaliser à quel point le YMCA est un lieu commun et habituel pour les inuit du Nunavik. C'est un séjour obligé et régulier pour le monde. Et leurs réaction quand je leur expliquait ce qu'on y fait: "Wow! When is this? I want to come!", avec les yeux pétillants et tout. Il y en a même un qui veut se faire envoyer le coffret DVD chez lui. Il ne peut attendre de venir au Sud. », nous partage-t-elle. Marie Pierre nous raconte ses discussions dans le Nord au sujet des participants d’idAction Mobile en situation d’itinérance. Elle décrit l’empathie et la sympathie de ses interlocuteurs, à l’issue de la discussion, au sujet de leurs concitoyens marginalisés de Montréal. Plusieurs lui mentionnent leur intérêt à venir participer aux ateliers du Module du Nord lors de leur passage à Montréal

La semaine prochaine, une sortie aura lieu avec un groupe du Module du Nord au Musée Mc Cord. Début mars, une journée de pêche blanche dans le Vieux Montréal permettra à chacun de partager ses savoirs… A suivre!

 

 

 

Maison de rêve...

Lundi, j’embarquais à bord de idAction Mobile pour la soirée. A mes côtés, un équipage de choc, une fois de plus. Simon Chalifoux, anciennement bénévole de longue date, médiateur depuis le début de l’année, effectuait sa première soirée officielle en temps que médiateur pilote ! L’équipe se voyait ce soir là bonifiée de la présence douce et exceptionnelle de Suzanne Doucet et Colleen Lashuk, deux architectes professionnelles venues proposer il y a quelques mois un projet, « maison de rêve », à Exeko.

« Maison de Rêve », c’est avant tout l’idée selon laquelle chacun à le droit de laisser voguer son imaginaire et de rêver au chez soi idéal. A son « home » parfait. Est-il dans un arbre ? Sous terre? A-t-il des murs en verre ? Qui sont les voisins ? Que voit-on par la fenêtre ? Autant de questions qui permettent de passionnantes discussions… Nous avons débuté la collaboration avec Colleen et Suzanne il y a plusieurs semaines. Très à l’écoute, les deux femmes sont allées observer le déroulement des ateliers de médiation sur idAction à la Maison du Père et à l'Accueil Bonneau, ainsi que sur idAction Mobile. Est née une série d’ateliers visant in fine la réalisation concrète de modèles de ces maisons de rêve. L’atelier - enrichi par les conseils de notre équipe des médiateurs - était fin prêt, et nos deux architectes sont allées l’inaugurer à la Maison du père.  Après un atelier plus réflexif, le second s’est tourné vers la création, avec réalisation de maquettes. Déjà les perceptions variaient : chez soi individuel, habitat naturel, refuge géant…

Lundi soir, nous abordions la 3e étape de ce beau projet, et allions récolter dans les rues de Montréal le feedback de nos participants idAction Mobile sur ces premières maquettes, afin de le rapporter à leurs créateurs ce jeudi. Premier arrêt au métro Place des Arts. L’heure tardive et le froid ambiant créent une ambiance un peu agitée, mais les maquettes, exposées à même les couloirs de métro, font naitre des commentaires. Plus d’animaux sur celle ci ! Celle là, je n’aimerais pas habiter dedans, ça manque de lumière ! La vue de cette maison là devrait être un village !

Expo métro (c)Dorothée De Collasson@Exeko

Nous prenons ensuite la route de Projets Autochtones du Québec. Là encore, nous exposons les maquettes, qui récoltent quelques commentaires. Mais c’est avant tout la participation de 3 hommes qui marquera cet arrêt de près de 2 heures !

Ancien architecte, Joshua s’empare de larges feuilles blanches et de feutres, et entreprend la réalisation de sa maison idéale Bungalow house, sur laquelle il inscrit nos prénoms en inuktitut, à notre ravissement. Je suis rebaptisée Tulutia, ça sonne tellement doux dans les oreilles…

Bungalow House (c)Dorothée De Collasson@Exeko

De son côté, Andy choisit de réaliser la maquette de sa propre maison de rêve. Suzanne s’installe à ses côtés, et débute un magnifique travail d’équipe, dirigé d’une main de maître par Andy, qui n’hésite pas à tout remettre à plat pour remodeler le terrain à son idée. Les arbres émergent, ainsi qu’un lac dans lequel on peut pêcher des poissons fantômes. Une maison longue / tente apparaît sur le terrain, que Andy identifie comme étant le «  Stewart Lake ». Son visage irradie de bonheur pendant l’activité, on est tous fascinés. Un participant regarde le travail achevé. Il reconnaît Stewart Lake, et Andy s’empresse de lui expliquer sa démarche de construction.

Stewart Lake (c)Dorothée De Collasson@Exeko

Nous terminons la soirée par une leçon de pêche au harpon donnée par Andy, improvisée autour de poissons fantômes – des mitaines ce soir là ! Les cuisses endolories par la posture d’attente, nous écoutons le récit d’Andy qui nous en enseigne les rudiments, transmis par son père. C’est à regret  et poussés par l’heure tardive que nous quittons les lieux, tandis que plusieurs personnes arrivent, intéressées par l’activité !

Leçon de pêche (c)Colleen Lashuk@Exeko

Jeudi, Suzanne et Colleen feront une nouvelle fois la liaison entre les participants d’idAction et d’idAction Mobile. L’objectif final ? Une exposition dans un lieu public, pour présenter les visions du chez soi qui leur seront partagées.

Découvrez les photos de Maison de rêve sur notre flickr !

Un grand merci à l'arrondissement de Ville-Marie, notre partenaire qui nous accompagne sur les différents projets de résidences artistiques.

 

Maison de rêve...

Lundi, j’embarquais à bord de idAction Mobile pour la soirée. A mes côtés, un équipage de choc, une fois de plus. Simon Chalifoux, anciennement bénévole de longue date, médiateur depuis le début de l’année, effectuait sa première soirée officielle en temps que médiateur pilote ! L’équipe se voyait ce soir là bonifiée de la présence douce et exceptionnelle de Suzanne Doucet et Colleen Lashuk, deux architectes professionnelles venues proposer il y a quelques mois un projet, « maison de rêve », à Exeko.

« Maison de Rêve », c’est avant tout l’idée selon laquelle chacun à le droit de laisser voguer son imaginaire et de rêver au chez soi idéal. A son « home » parfait. Est-il dans un arbre ? Sous terre? A-t-il des murs en verre ? Qui sont les voisins ? Que voit-on par la fenêtre ? Autant de questions qui permettent de passionnantes discussions… Nous avons débuté la collaboration avec Colleen et Suzanne il y a plusieurs semaines. Très à l’écoute, les deux femmes sont allées observer le déroulement des ateliers de médiation sur idAction à la Maison du Père et à l'Accueil Bonneau, ainsi que sur idAction Mobile. Est née une série d’ateliers visant in fine la réalisation concrète de modèles de ces maisons de rêve. L’atelier - enrichi par les conseils de notre équipe des médiateurs - était fin prêt, et nos deux architectes sont allées l’inaugurer à la Maison du père.  Après un atelier plus réflexif, le second s’est tourné vers la création, avec réalisation de maquettes. Déjà les perceptions variaient : chez soi individuel, habitat naturel, refuge géant…

Lundi soir, nous abordions la 3e étape de ce beau projet, et allions récolter dans les rues de Montréal le feedback de nos participants idAction Mobile sur ces premières maquettes, afin de le rapporter à leurs créateurs ce jeudi. Premier arrêt au métro Place des Arts. L’heure tardive et le froid ambiant créent une ambiance un peu agitée, mais les maquettes, exposées à même les couloirs de métro, font naitre des commentaires. Plus d’animaux sur celle ci ! Celle là, je n’aimerais pas habiter dedans, ça manque de lumière ! La vue de cette maison là devrait être un village !

Expo métro (c)Dorothée De Collasson@Exeko

Nous prenons ensuite la route de Projets Autochtones du Québec. Là encore, nous exposons les maquettes, qui récoltent quelques commentaires. Mais c’est avant tout la participation de 3 hommes qui marquera cet arrêt de près de 2 heures !

Ancien architecte, Joshua s’empare de larges feuilles blanches et de feutres, et entreprend la réalisation de sa maison idéale Bungalow house, sur laquelle il inscrit nos prénoms en inuktitut, à notre ravissement. Je suis rebaptisée Tulutia, ça sonne tellement doux dans les oreilles…

Bungalow House (c)Dorothée De Collasson@Exeko

De son côté, Andy choisit de réaliser la maquette de sa propre maison de rêve. Suzanne s’installe à ses côtés, et débute un magnifique travail d’équipe, dirigé d’une main de maître par Andy, qui n’hésite pas à tout remettre à plat pour remodeler le terrain à son idée. Les arbres émergent, ainsi qu’un lac dans lequel on peut pêcher des poissons fantômes. Une maison longue / tente apparaît sur le terrain, que Andy identifie comme étant le «  Stewart Lake ». Son visage irradie de bonheur pendant l’activité, on est tous fascinés. Un participant regarde le travail achevé. Il reconnaît Stewart Lake, et Andy s’empresse de lui expliquer sa démarche de construction.

Stewart Lake (c)Dorothée De Collasson@Exeko

Nous terminons la soirée par une leçon de pêche au harpon donnée par Andy, improvisée autour de poissons fantômes – des mitaines ce soir là ! Les cuisses endolories par la posture d’attente, nous écoutons le récit d’Andy qui nous en enseigne les rudiments, transmis par son père. C’est à regret  et poussés par l’heure tardive que nous quittons les lieux, tandis que plusieurs personnes arrivent, intéressées par l’activité !

Leçon de pêche (c)Colleen Lashuk@Exeko

Jeudi, Suzanne et Colleen feront une nouvelle fois la liaison entre les participants d’idAction et d’idAction Mobile. L’objectif final ? Une exposition dans un lieu public, pour présenter les visions du chez soi qui leur seront partagées.

Découvrez les photos de Maison de rêve sur notre flickr !

Un grand merci à l'arrondissement de Ville-Marie, notre partenaire qui nous accompagne sur les différents projets de résidences artistiques.

 

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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral