Vanou - Lettre d'une bénévole à idAction Mobile

Lettre de Danielle Aznavourian, bénévole depuis plus de 4 ans chez Exeko.

À idAction Mobile, notre caravane culturelle et philosophique qui sillonnne les rues de Montréal 4 fois semaine depuis 7 ans, à la rencontre des citoyen.ne.s de Montréal et particulièrement ceux et celles en situation d'exclusion.

 

Vanou,

Je te connais depuis bientôt quatre ans. J’avais entendu parler de toi lorsque j’étais encore dans mon pays natal. Ton nom m’avait intriguée la ‘Caravane philosophique’. Je t’imaginais comme une sorte d’agora ambulante où du haut de ton marchepied l’on pouvait s’adonner à des tirades de bon.ne citoyen.ne en quête d’idéal. Je ne m’étais pas trop trompée. Sur ton flanc s’affichait fièrement un slogan ‘La pensée en mouvement’. Ton géniteur t’avais bien conçue, accueillante pour s’y entasser en rigolant, toute finement garnie de livres, carnets et crayons. Inspirante. C’était un mardi d’octobre 2014. Je venais d’arriver à Montréal. Fred, artiste et médiateur, Dorothée, Maxime, Marine d’Exeko s’étaient rendus à l’Open Door où je les attendais pour les ‘Voies du Hasard’. Une création artistique collaborative orchestrée par Fred. Après quelques coups de pinceaux et d’échanges avec les gens de là-bas, c’est à bras ouverts que je me suis engouffrée dans ton havre de pensée et d’expression libres. Je te découvrais émerveillée par la magie de ce qui se tramait ; la recherche d’une destination où les ‘Voies du Hasard ‘ se poseront une nouvelle fois. Direction place des Festivals, où des passants se sont pris au jeu des rencontres et de l’art.

 

(c) Audrey Lise Mallet pour Exeko

 

Au fil de nos escapades, j’ai appris à écouter, à comprendre l’histoire de la ville que tu sillonnes et celles des hommes et des femmes qui habitent ses rues à même le bitume. Avec toi, j’ai côtoyé la générosité et la précarité, grandi en humilité, goûté à la poésie, ouvert mon cœur et mon esprit à l’autre toujours animée par la ‘présomption de l’égalité des intelligences’. Tellement inclusif.ve, toi ! Que de questionnements avec réponses ou sans avons-nous discuté adossé.es à ta portière ! Je me souviens de cette sortie l’hiver passé. La première de la nouvelle année. Un jeudi de janvier 2018. Il faisait bien frette et tes roues étaient enlisées sous un manteau blanc. T’avais la gorge sèche si bien qu’il fallait laisser ronronner ton vieux moteur pour que tu ne prennes pas froid et que tu ne nous lâches pas en plein élan de déambulation philosophique. Fred était au volant, Maxime devant – une autre Maxime. Hasard ou pas, on s’est arrêté à l’Open Door en branle-bas de pré-déménagement. Plus tard, à la place Emilie Gamelin, des jeunes t’ont aperçue et se sont vite dirigés vers nous. Autour de tuques, gants, livres et kombucha , nous avons jasé. L’esprit éveillé et le cœur chaud, nous nous sommes quittés.

Sacré.e Vanou,

Je t’écris parce que cela fait un bout que je te vois un peu magané.e. Je sais que bientôt tu t’en iras te refaire une beauté. Tu le mérites bien. À tous ces moments, à celles et ceux qui m’ont accueillie dans ta famille, à Toi, je lève mon verre.

Danielle .

 

P.S. Reviens-nous vite. Ici, on ne lâche pas

 

Plus d'infos sur idAction Mobile ici.  

Lancement officiel de notre nouvelle van le 18 octobre. Restez connectés à nos réseaux pour plus de détails.

Création littéraire à l'Auberge Madeleine

Fatima Errady, stagiaire à Exeko, a récemment participé aux ateliers donnés à l'Auberge Madeleine, un organisme qui a pour mission d’accueillir, d’héberger et de supporter des femmes seules en situation d’itinérance âgées de 18 ans et plus. Voici un bref témoignage de son expérience.

Dans le mois d'août, j’ai pu participer à trois ateliers d’écriture qui ont eu lieu à l’Auberge Madeleine. Chaque rencontre était différente de l’autre car le thème de la conversation changeait chaque semaine et les participantes n’étaient pas les mêmes.

Ce que j’ai beaucoup apprécié de ces ateliers est l’exercice qu’on fait vers la fin de chaque séance. En effet, pour chaque thème, les médiatrices nous invitent à écrire en fonction du genre littéraire qu’elles proposent notamment rédiger des lettres personnelles ou composer de la poésie. Cet exercice permet de nourrir les esprits et surtout de se plonger dans le passé. En effet, plusieurs participantes ont confié que depuis le secondaire, voire le primaire pour certaines, elles n’ont plus écrit de lettres ou de poésie.

Avec cet atelier, les médiatrices proposent uniquement des pistes. Toutefois, les participantes peuvent s’approprier de ces pistes de manière très subjective car l’objectif, comme l’ont bien précisé les deux médiatrices au début de l’atelier, est de rester critique peu importe la situation, de faire une sorte « de gym de la pensée ».

À la fin de chaque atelier, je suis vraiment étonnée de la richesse de nos conversations. En effet, dans chaque atelier, je me rends compte que tout le monde a des savoirs, des connaissances peu importe leurs milieux d’origine ou/et leur condition de vie. Il est important de les valoriser et d’écouter toute la richesse que chacune a emporté de son passé.

Voici le récit d’une participante qui remercie les médiatrices pour la mise en place de cet atelier.

Une participante : « Vous savez, ça aide beaucoup surtout quand on est des personnes marginalisées ou dans des situations un peu difficiles parce que ça réveille des intérêts et puis, on élargit l'horizon. Quand on a beaucoup d'intérêts, c’est plus facile remonter la pente, quand le cœur et le corps sont occupés… »

La médiatrice : « Ça nous fait plaisir d’entendre ça car nous, on offre et puis les gens en font ce qu’ils veulent. Nos activités c’est un peu comme un déclencheur et puis les gens peuvent s’approprier de ça de manière très personnelle. Des fois, ça pourrait être juste pour se changer les idées. »

Création littéraire à l'Auberge Madeleine

Fatima Errady, stagiaire à Exeko, a récemment participé aux ateliers donnés à l'Auberge Madeleine, un organisme qui a pour mission d’accueillir, d’héberger et de supporter des femmes seules en situation d’itinérance âgées de 18 ans et plus. Voici un bref témoignage de son expérience.

Dans le mois d'août, j’ai pu participer à trois ateliers d’écriture qui ont eu lieu à l’Auberge Madeleine. Chaque rencontre était différente de l’autre car le thème de la conversation changeait chaque semaine et les participantes n’étaient pas les mêmes.

Ce que j’ai beaucoup apprécié de ces ateliers est l’exercice qu’on fait vers la fin de chaque séance. En effet, pour chaque thème, les médiatrices nous invitent à écrire en fonction du genre littéraire qu’elles proposent notamment rédiger des lettres personnelles ou composer de la poésie. Cet exercice permet de nourrir les esprits et surtout de se plonger dans le passé. En effet, plusieurs participantes ont confié que depuis le secondaire, voire le primaire pour certaines, elles n’ont plus écrit de lettres ou de poésie.

Avec cet atelier, les médiatrices proposent uniquement des pistes. Toutefois, les participantes peuvent s’approprier de ces pistes de manière très subjective car l’objectif, comme l’ont bien précisé les deux médiatrices au début de l’atelier, est de rester critique peu importe la situation, de faire une sorte « de gym de la pensée ».

À la fin de chaque atelier, je suis vraiment étonnée de la richesse de nos conversations. En effet, dans chaque atelier, je me rends compte que tout le monde a des savoirs, des connaissances peu importe leurs milieux d’origine ou/et leur condition de vie. Il est important de les valoriser et d’écouter toute la richesse que chacune a emporté de son passé.

Voici le récit d’une participante qui remercie les médiatrices pour la mise en place de cet atelier.

Une participante : « Vous savez, ça aide beaucoup surtout quand on est des personnes marginalisées ou dans des situations un peu difficiles parce que ça réveille des intérêts et puis, on élargit l'horizon. Quand on a beaucoup d'intérêts, c’est plus facile remonter la pente, quand le cœur et le corps sont occupés… »

La médiatrice : « Ça nous fait plaisir d’entendre ça car nous, on offre et puis les gens en font ce qu’ils veulent. Nos activités c’est un peu comme un déclencheur et puis les gens peuvent s’approprier de ça de manière très personnelle. Des fois, ça pourrait être juste pour se changer les idées. »

Création littéraire à l'Auberge Madeleine

Fatima Errady, stagiaire à Exeko, a récemment participé aux ateliers donnés à l'Auberge Madeleine, un organisme qui a pour mission d’accueillir, d’héberger et de supporter des femmes seules en situation d’itinérance âgées de 18 ans et plus. Voici un bref témoignage de son expérience.

Dans le mois d'août, j’ai pu participer à trois ateliers d’écriture qui ont eu lieu à l’Auberge Madeleine. Chaque rencontre était différente de l’autre car le thème de la conversation changeait chaque semaine et les participantes n’étaient pas les mêmes.

Ce que j’ai beaucoup apprécié de ces ateliers est l’exercice qu’on fait vers la fin de chaque séance. En effet, pour chaque thème, les médiatrices nous invitent à écrire en fonction du genre littéraire qu’elles proposent notamment rédiger des lettres personnelles ou composer de la poésie. Cet exercice permet de nourrir les esprits et surtout de se plonger dans le passé. En effet, plusieurs participantes ont confié que depuis le secondaire, voire le primaire pour certaines, elles n’ont plus écrit de lettres ou de poésie.

Avec cet atelier, les médiatrices proposent uniquement des pistes. Toutefois, les participantes peuvent s’approprier de ces pistes de manière très subjective car l’objectif, comme l’ont bien précisé les deux médiatrices au début de l’atelier, est de rester critique peu importe la situation, de faire une sorte « de gym de la pensée ».

À la fin de chaque atelier, je suis vraiment étonnée de la richesse de nos conversations. En effet, dans chaque atelier, je me rends compte que tout le monde a des savoirs, des connaissances peu importe leurs milieux d’origine ou/et leur condition de vie. Il est important de les valoriser et d’écouter toute la richesse que chacune a emporté de son passé.

Voici le récit d’une participante qui remercie les médiatrices pour la mise en place de cet atelier.

Une participante : « Vous savez, ça aide beaucoup surtout quand on est des personnes marginalisées ou dans des situations un peu difficiles parce que ça réveille des intérêts et puis, on élargit l'horizon. Quand on a beaucoup d'intérêts, c’est plus facile remonter la pente, quand le cœur et le corps sont occupés… »

La médiatrice : « Ça nous fait plaisir d’entendre ça car nous, on offre et puis les gens en font ce qu’ils veulent. Nos activités c’est un peu comme un déclencheur et puis les gens peuvent s’approprier de ça de manière très personnelle. Des fois, ça pourrait être juste pour se changer les idées. »

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
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  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
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  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral