Pourquoi lit-on ?

Un témoignage de Maggie Kogut

 

Cet été, j’ai eu l’occasion d’assister à quelques ateliers Biblio-libres, notamment ceux qui ont eu lieu au PAS de la rue et dont le but était la création d’un balado ayant pour thème la littérature.

Pourquoi lit-on ? Qu’est-ce qui nous empêche de lire ? Qu’est-ce qu’on lit ? La lecture peut-elle être une opportunité de rencontre ? Ce sont les quatre questions qui animaient les discussions tout au long du programme.

crédit photo: Exeko

Travaillant et étudiant dans un contexte académique, je passe mes journées à lire et à écrire, mais je suis entourée de gens qui, comme moi, sont constamment débordés de travaux. Drôlement, on n’a pas généralement le temps de discuter de la littérature entre nous. Pour ma part, je n’exprime presque jamais mon amour pour les livres. Ceux-ci rappelant le travail, lorsqu’on se rejoint pour prendre une petite pause, on préfère parler d’autre chose. Je les adore pourtant ! J’ai donc sauté sur l’occasion de parler de la lecture avec des gens qui se présentent pour faire de même.

À la finale, je n’ai pas souvent pris parole pendant les ateliers, pour diverses raisons. Je suis pas mal gênée, mon accent en français n’aidant pas, mais aussi parce que ce que les participant.es avaient à raconter était d’une telle ampleur et tellement riche que la discussion n’y manquait jamais.

 

C’était tellement une joie d’arriver tous les mercredis matin et entendre tant de belles histoires, des frustrations et des critiques sur la littérature, son rôle dans notre société. Je sortais de ces rencontres avec une abondance de nouvelles façons de concevoir la littérature et avec un esprit plus ouvert et nuancé par rapport aux rôles que la lecture peut jouer dans nos vies.

Pour moi, cette expérience a surtout remis en valeur l’importance d’être à l’écoute de toutes les voix. Passant une grande partie de mon temps dans un environnement où la compétition risque trop souvent de dominer, où qui porte la parole relève souvent d’un choix sélectif encombré de rapports de pouvoir, cela a fait du bien de passer du temps à entendre ceux et celles qui parlaient parce qu’ils et elles en avaient envie et le revendiquaient.

Les choses qu’on apprend ce faisant ! Les traumatismes qu’ont vécus certain.es au sein de nos systèmes scolaires d’hier et d’aujourd’hui ; la valeur qu'a prise la lecture dans la vie d’un monsieur qui s’en est servi pour aider son père à comprendre un livre que ce dernier avait reçu pour Noël ; la passion pour l’astrophysique qu’a cultivée Serge en lisant (à ce sujet voir « La lecture peut-elle être une opportunité de rencontre ? » de Tiphaine Barrailler) ; la manière dont un autre monsieur lit non seulement les mots, mais la musique et la nature aussi.

Se donner le temps, être à l’écoute de tout.es ceux et celles que nous croisons dans la vie de tous les jours est tellement important et enrichissant. Je suis reconnaissante à l’Exeko d’avoir conçu un espace permettant à ces histoires d’être partagées et de m’avoir laissée participer à ces échanges dynamiques.

 

Cet atelier s'est tenu dans le cadre de notre programme Biblio-libre à découvrir ici exeko.org/fr/biblio-libre 

Pourquoi lit-on ?

Un témoignage de Maggie Kogut

 

Cet été, j’ai eu l’occasion d’assister à quelques ateliers Biblio-libres, notamment ceux qui ont eu lieu au PAS de la rue et dont le but était la création d’un balado ayant pour thème la littérature.

Pourquoi lit-on ? Qu’est-ce qui nous empêche de lire ? Qu’est-ce qu’on lit ? La lecture peut-elle être une opportunité de rencontre ? Ce sont les quatre questions qui animaient les discussions tout au long du programme.

crédit photo: Exeko

Travaillant et étudiant dans un contexte académique, je passe mes journées à lire et à écrire, mais je suis entourée de gens qui, comme moi, sont constamment débordés de travaux. Drôlement, on n’a pas généralement le temps de discuter de la littérature entre nous. Pour ma part, je n’exprime presque jamais mon amour pour les livres. Ceux-ci rappelant le travail, lorsqu’on se rejoint pour prendre une petite pause, on préfère parler d’autre chose. Je les adore pourtant ! J’ai donc sauté sur l’occasion de parler de la lecture avec des gens qui se présentent pour faire de même.

À la finale, je n’ai pas souvent pris parole pendant les ateliers, pour diverses raisons. Je suis pas mal gênée, mon accent en français n’aidant pas, mais aussi parce que ce que les participant.es avaient à raconter était d’une telle ampleur et tellement riche que la discussion n’y manquait jamais.

 

C’était tellement une joie d’arriver tous les mercredis matin et entendre tant de belles histoires, des frustrations et des critiques sur la littérature, son rôle dans notre société. Je sortais de ces rencontres avec une abondance de nouvelles façons de concevoir la littérature et avec un esprit plus ouvert et nuancé par rapport aux rôles que la lecture peut jouer dans nos vies.

Pour moi, cette expérience a surtout remis en valeur l’importance d’être à l’écoute de toutes les voix. Passant une grande partie de mon temps dans un environnement où la compétition risque trop souvent de dominer, où qui porte la parole relève souvent d’un choix sélectif encombré de rapports de pouvoir, cela a fait du bien de passer du temps à entendre ceux et celles qui parlaient parce qu’ils et elles en avaient envie et le revendiquaient.

Les choses qu’on apprend ce faisant ! Les traumatismes qu’ont vécus certain.es au sein de nos systèmes scolaires d’hier et d’aujourd’hui ; la valeur qu'a prise la lecture dans la vie d’un monsieur qui s’en est servi pour aider son père à comprendre un livre que ce dernier avait reçu pour Noël ; la passion pour l’astrophysique qu’a cultivée Serge en lisant (à ce sujet voir « La lecture peut-elle être une opportunité de rencontre ? » de Tiphaine Barrailler) ; la manière dont un autre monsieur lit non seulement les mots, mais la musique et la nature aussi.

Se donner le temps, être à l’écoute de tout.es ceux et celles que nous croisons dans la vie de tous les jours est tellement important et enrichissant. Je suis reconnaissante à l’Exeko d’avoir conçu un espace permettant à ces histoires d’être partagées et de m’avoir laissée participer à ces échanges dynamiques.

 

Cet atelier s'est tenu dans le cadre de notre programme Biblio-libre à découvrir ici exeko.org/fr/biblio-libre 

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Cet été, j’ai eu l’occasion d’assister à quelques ateliers Biblio-libres, notamment ceux qui ont eu lieu au PAS de la rue et dont le but était la création d’un balado ayant pour thème la littérature.

Pourquoi lit-on ? Qu’est-ce qui nous empêche de lire ? Qu’est-ce qu’on lit ? La lecture peut-elle être une opportunité de rencontre ? Ce sont les quatre questions qui animaient les discussions tout au long du programme.

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Travaillant et étudiant dans un contexte académique, je passe mes journées à lire et à écrire, mais je suis entourée de gens qui, comme moi, sont constamment débordés de travaux. Drôlement, on n’a pas généralement le temps de discuter de la littérature entre nous. Pour ma part, je n’exprime presque jamais mon amour pour les livres. Ceux-ci rappelant le travail, lorsqu’on se rejoint pour prendre une petite pause, on préfère parler d’autre chose. Je les adore pourtant ! J’ai donc sauté sur l’occasion de parler de la lecture avec des gens qui se présentent pour faire de même.

À la finale, je n’ai pas souvent pris parole pendant les ateliers, pour diverses raisons. Je suis pas mal gênée, mon accent en français n’aidant pas, mais aussi parce que ce que les participant.es avaient à raconter était d’une telle ampleur et tellement riche que la discussion n’y manquait jamais.

 

C’était tellement une joie d’arriver tous les mercredis matin et entendre tant de belles histoires, des frustrations et des critiques sur la littérature, son rôle dans notre société. Je sortais de ces rencontres avec une abondance de nouvelles façons de concevoir la littérature et avec un esprit plus ouvert et nuancé par rapport aux rôles que la lecture peut jouer dans nos vies.

Pour moi, cette expérience a surtout remis en valeur l’importance d’être à l’écoute de toutes les voix. Passant une grande partie de mon temps dans un environnement où la compétition risque trop souvent de dominer, où qui porte la parole relève souvent d’un choix sélectif encombré de rapports de pouvoir, cela a fait du bien de passer du temps à entendre ceux et celles qui parlaient parce qu’ils et elles en avaient envie et le revendiquaient.

Les choses qu’on apprend ce faisant ! Les traumatismes qu’ont vécus certain.es au sein de nos systèmes scolaires d’hier et d’aujourd’hui ; la valeur qu'a prise la lecture dans la vie d’un monsieur qui s’en est servi pour aider son père à comprendre un livre que ce dernier avait reçu pour Noël ; la passion pour l’astrophysique qu’a cultivée Serge en lisant (à ce sujet voir « La lecture peut-elle être une opportunité de rencontre ? » de Tiphaine Barrailler) ; la manière dont un autre monsieur lit non seulement les mots, mais la musique et la nature aussi.

Se donner le temps, être à l’écoute de tout.es ceux et celles que nous croisons dans la vie de tous les jours est tellement important et enrichissant. Je suis reconnaissante à l’Exeko d’avoir conçu un espace permettant à ces histoires d’être partagées et de m’avoir laissée participer à ces échanges dynamiques.

 

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Pourquoi lit-on ?

Un témoignage de Maggie Kogut

 

Cet été, j’ai eu l’occasion d’assister à quelques ateliers Biblio-libres, notamment ceux qui ont eu lieu au PAS de la rue et dont le but était la création d’un balado ayant pour thème la littérature.

Pourquoi lit-on ? Qu’est-ce qui nous empêche de lire ? Qu’est-ce qu’on lit ? La lecture peut-elle être une opportunité de rencontre ? Ce sont les quatre questions qui animaient les discussions tout au long du programme.

crédit photo: Exeko

Travaillant et étudiant dans un contexte académique, je passe mes journées à lire et à écrire, mais je suis entourée de gens qui, comme moi, sont constamment débordés de travaux. Drôlement, on n’a pas généralement le temps de discuter de la littérature entre nous. Pour ma part, je n’exprime presque jamais mon amour pour les livres. Ceux-ci rappelant le travail, lorsqu’on se rejoint pour prendre une petite pause, on préfère parler d’autre chose. Je les adore pourtant ! J’ai donc sauté sur l’occasion de parler de la lecture avec des gens qui se présentent pour faire de même.

À la finale, je n’ai pas souvent pris parole pendant les ateliers, pour diverses raisons. Je suis pas mal gênée, mon accent en français n’aidant pas, mais aussi parce que ce que les participant.es avaient à raconter était d’une telle ampleur et tellement riche que la discussion n’y manquait jamais.

 

C’était tellement une joie d’arriver tous les mercredis matin et entendre tant de belles histoires, des frustrations et des critiques sur la littérature, son rôle dans notre société. Je sortais de ces rencontres avec une abondance de nouvelles façons de concevoir la littérature et avec un esprit plus ouvert et nuancé par rapport aux rôles que la lecture peut jouer dans nos vies.

Pour moi, cette expérience a surtout remis en valeur l’importance d’être à l’écoute de toutes les voix. Passant une grande partie de mon temps dans un environnement où la compétition risque trop souvent de dominer, où qui porte la parole relève souvent d’un choix sélectif encombré de rapports de pouvoir, cela a fait du bien de passer du temps à entendre ceux et celles qui parlaient parce qu’ils et elles en avaient envie et le revendiquaient.

Les choses qu’on apprend ce faisant ! Les traumatismes qu’ont vécus certain.es au sein de nos systèmes scolaires d’hier et d’aujourd’hui ; la valeur qu'a prise la lecture dans la vie d’un monsieur qui s’en est servi pour aider son père à comprendre un livre que ce dernier avait reçu pour Noël ; la passion pour l’astrophysique qu’a cultivée Serge en lisant (à ce sujet voir « La lecture peut-elle être une opportunité de rencontre ? » de Tiphaine Barrailler) ; la manière dont un autre monsieur lit non seulement les mots, mais la musique et la nature aussi.

Se donner le temps, être à l’écoute de tout.es ceux et celles que nous croisons dans la vie de tous les jours est tellement important et enrichissant. Je suis reconnaissante à l’Exeko d’avoir conçu un espace permettant à ces histoires d’être partagées et de m’avoir laissée participer à ces échanges dynamiques.

 

Cet atelier s'est tenu dans le cadre de notre programme Biblio-libre à découvrir ici exeko.org/fr/biblio-libre 

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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral