Have you met... Martin ?

Exeko ne serait pas grand-chose sans les bénévoles qui s’impliquent chaque jour avec nous.

Nous avons plus de 200 personnes qui chaque année viennent donner de leur temps et de leur amour à nos projets. Pour nous, il n’y a pas de petite implication. Qu’ils/qu’elles viennent régulièrement ou ponctuellement, chacun d’entre eux joue un rôle essentiel au développement de notre organisation.

C’est pour cela que nous aimerions leur rendre humblement hommage, en vous présentant certain-e d’entre eux/elles. Une série de petits portraits nouvelle génération (nous n'avions plus partagé de portraits depuis 2014!) pour que vous puissiez découvrir la richesse de celles et ceux qui vont tous les jours sur le terrain avec nos médiateur-e-s.

La première de ces belles personnes que nous aimerions vous présenter, c’est Martin.

Quand nous lui avons demandé s’il voulait bien qu’on écrive sur lui, Martin a accepté sans problème. Il nous a tout de même avoué qu’il se demandait ce qu’un article sur lui pourrait bien raconter.

Cet ingénieur informatique de 39 ans, père de 4 enfants, membre d’Exeko depuis un an, a pourtant de bien belles choses à nous conter.

Son aventure avec Exeko commence l’année dernière. Martin traverse alors une petite « crise existentielle » comme il l’appelle. En quête de sens, il se lance dans différents projets artistiques : improvisation, cours de chant, cours de dessin… Il part également au Nicaragua avec l’association Habitat pour l’humanité construire des maisons. Un jour, il tombe sur le site internet d’Exeko. C’est le coup de foudre.

Sa première participation à un de nos projets se fait lors de la préparation d’un spectacle Trickster. Lui et son fils Jérôme viennent construire et préparer le décor pour le show qui a lieu le lendemain. La création commune devient alors le médium de création d’un lien social.

 

 

Puis, quelques semaines plus tard, Martin part pour la première fois avec idAction Mobile sillonner les rues de Montréal. Il est avec Marie-Pierre et Bianca, deux de nos médiateur-e-s. Marie-Pierre, anthropologue spécialisée dans les cultures autochtones, est récemment rentrée du Nunavut avec une vidéo bien particulière. Sur l’enregistrement, un message du frère jumeau d’un des participants en situation d’itinérance. Marie-Pierre l’a rencontré par hasard lors de sa visite dans une communauté. Elle a donc enregistré un message pour permettre aux deux frères de communiquer. Après une intense recherche, l’équipe finit par retrouver le participant en question. Martin assiste alors à ce moment magique, à une rencontre virtuelle entre deux frères qui se sont perdus de vue. Petit moment de grâce dans la rue qui lui donne envie de retourner régulièrement sur le terrain.

Depuis, Martin participe quasiment de manière hebdomadaire aux projets d’Exeko. Il est de tous les terrains.

S’il a eu un peu de mal à trouver sa place au début, Martin a depuis conquis le cœur des médiateurs et des participants. Réservé, mais pas timide, Martin préfère écouter plutôt que de parler fort. Calme et discret, il est ce qu’on pourrait appeler, une force tranquille. Ce qui fait de lui un partenaire parfait lors de la pratique de médiation intellectuelle.

Martin est également un de nos meilleurs ambassadeurs quand il s’agit de parler du rôle des bénévoles au sein d’Exeko. Il se voit lui-même comme un messager de l’inclusion sociale. Il se décrit aisément comme représentant de cette partie de la société impliquée dans la lutte contre l’exclusion sociale, qui fait la démarche d’aller à la rencontre de ceux qu’elle exclut. Les rencontres improbables auxquelles il participe avec Exeko l’enrichissent d’une connaissance nouvelle sur les questions d’inclusion. Cela lui permet ensuite de ramener cette vision dans sa vie quotidienne et de la partager avec son entourage.  

Martin est donc un bénévole épanoui. Il reconnaît d’ailleurs faire du bénévolat pour ce que cela lui apporte. Il se sent nourrit par ces rencontres, par ces expériences avec Exeko. Il sent qu’en travaillant avec nous, il laisse s’exprimer certains aspects de sa personnalité qui ne sont pas beaucoup stimulés dans sa vie professionnelle: la créativité, la réflexion philosophique et l’action sociale. Évoluer avec les gens passionnés qui travaillent pour Exeko (ça, c’est lui qui le dit, pas nous. Mais c’est vrai que nous sommes pas mal dans la passion), lui donne plus d’énergie, le stimule.

Mais comme tout ne peut pas être toujours rose dans la vie de bénévole, nous lui avons tout de même demandé ce qu’il trouvait difficile dans son rôle. Sa réponse a fait battre notre petit cœur encore plus fort. Ce qui est compliqué pour Martin, c’est de trouver du temps. Il aimerait pouvoir faire plus, s’investir plus souvent encore.

Et nous aimerions ça, nous aussi.

La fin de l’interview approche et Martin finit par nous dire : « si on m’avait posé ces questions là il y a un an, j’aurais eu beaucoup moins de choses intéressantes à dire ». Nous, quand un bénévole nous dit ça, qu’on le stimule, qu’on le dynamise et qu’on l’aide à créer du sens autour de lui, il n’y a rien qui nous fasse plus plaisir. À Exeko, on en est persuadé, un-e bonne bénévole est un-e bénévole heureux/euse.

Alors merci Martin pour cette belle énergie, cet investissement sur le terrain et pour ton envie de continuer avec nous.

Le projet Métissages Urbains accueille Lili Sohn

Métissages Urbains, c’est reparti !

À partir du lundi 16 novembre, nous accueillerons une nouvelle artiste à bord de idAction Mobile, notre caravane philosophique. Et l’artiste invitée de cette résidence n’est autre que Lili Sohn.

Ce nom ne vous dit rien ?

Lili gagne pourtant à être connue.

Car Lili, en plus d’être une talentueuse illustratrice et dessinatrice de bd, est une battante qui a le super pouvoir de "transformer le caca en paillettes".

C’est-à-dire ?

En février 2014, elle est diagnostiquée d’un cancer du sein à seulement 29 ans. La nouvelle est dure à encaisser. D’autant plus que cette jeune française vit à l’époque à Montreal, loin de sa famille restée en France. Au lieu de se laisser abattre, elle décide alors de créer un blog afin de tenir informé ceux qui lui sont chers. Mais pas question de décrire avec pathos l’évolution de sa maladie. Non, au contraire. Celle qui aime "raconter des histoires, comprendre les trucs compliqués et rire des choses les plus horribles et absurdes", choisis de se livrer sous la forme d’une bd humoristique. Et elle commence par donner un nom au mal qui la ronge : sa tumeur s’appellera Gunther. Tchao Günther est né.

Pendant plus d’un an via son blog, elle croque et décrit avec humour son parcours, tout en informant sur la réalité du cancer. Puis, un éditeur la contacte et lui propose de publier sa bd. La Guerre des Tétons, tome 1 sort alors au Québec, en France, en Belgique et en Suisse. L’aventure ne s’arrête pas là, et le tome 2 est prévu pour janvier 2016. Et c’est comme ça que son « caca » s’est transformé en « paillettes ».

Alors vous me direz, "c’est très bien tout ça, mais quel est le lien avec l’inclusion sociale que défend Exeko ?"

 

Lili Sohn et nous, avons beaucoup de choses en commun.

D’abord, l’envie de raconter les histoires dont personne n’ose parler. Il faut en effet beaucoup de courage pour oser rire du cancer. Il en faut aussi pour donner l’opportunité à ceux qui vivent dans la rue de dessiner leur vie. À partir de lundi, Lili ira donc à la rencontre des personnes en situation d’itinérance, des personnes mises au banc de la société, pour leur proposer de créer ensemble des bds sur leurs expériences de vie. Le but de ces Portraits de rues est de permettre à un maximum de gens de se raconter. Toutes ces personnes que nous croisons quotidiennement dans les rues de Montréal ont tous une histoire qui leur est propre. Ils sont tous les fils et filles de quelqu’un, ont été aimés et ont aimé. Grâce aux bds qui seront créées pendant cette résidence, nous espérons ainsi contribuer modestement à faire changer le regard que nous portons sur les personnes en situation d’itinérance.

Et puis, nous croyons aussi que l’énergie créatrice de Lili et sa capacité de résilience pourront générer de belles rencontres. Parce que le projet Portraits de rues est empreint de la même envie de créer malgré l’adversité, de la même force, que Tchao Günther, nous pensons que de magnifiques choses peuvent jaillir de ces rencontres. Après tout, la transformation sociale passe d’abord par la transformation de l’individu.

Alors si vous croisez notre van, n’hésitez pas à vous arrêter pour venir rencontrer Lili et participer à votre façon à cette nouvelle aventure.

Au plaisir de fouler en votre compagnie les trottoirs de Montréal. 

 

Lili participe également l'exposition SEIN (S) une autre histoire du cancer, visible tous les jours terrasse Cointreau. 

Retrouver Lili sur sa page facebook.

Green Shield Canada soutient Exeko

Nous tenons à remercier Green Shield Canada pour son soutien à notre laboratoire d'innovation sociale et tout spécialement à notre projet d'accessibilité à la vue présentement en développement. 

La mission de Green Shield Canada repose sur une solide tradition de responsabilité sociale et de bienfaisance. Sa volonté de faciliter l’accès aux soins de santé pour tous les citoyens et leur investissement pour le bien de notre société et de sa population en font un partenaire de choix. Merci à eux!

 

Architectes du rêve

Permettre de rêver, c’est permettre d’exister : nos rêves, nos idéaux, nos espoirs font partie de notre identité, surtout quand il s’agit de rêver un chez-soi, un lieu, un territoire où l’on se sent accueilli, reconnu, protégé. C’est plus qu’un toit, surtout qu’en celui-ci est une entrée de métro, un refuge, un logement subventionné ou une résidence pour soins médicaux. C’est plus qu’une maison, et ce n’est pas toujours une maison non plus, surtout quand on ouvre la porte aux possibles et qu’on reconnaît la diversité des existences, des manières de vivre. Si vous racontez votre chez-soi de rêve, vous en direz long sur vos valeurs et vos besoins, des questions personnelles bien sûr mais qui rejoignent inévitablement des enjeux de société, communs. Oser interroger les citoyens – sans oublier des personnes en situation d’itinérance, de précarité ou déplacées pour des raisons médicales qu’on entend moins – sur la question du chez-soi, c’est aussi leur donner une place dans ces réflexions qui construisent le monde.  

« Ma maison du rêve » (photo : Dorothée De Collasson)  

En se joignant à Exeko, les architectes professionnelles Colleen Lashuk et Suzanne Doucet ont souhaité renouveler la réflexion sur la notion de chez-soi de manière inclusive, avec les populations en situation d’exclusion que nous rejoignons, toujours en mode de rencontres improbables. Elles ont travaillé étroitement avec les médiateurs pour arrimer leur projet à travers des ateliers idAction à la Maison du Père et à l’Accueil Bonneau : est-ce que la question allait choquer dans ces lieux? Et au Module du Nord Québécois, résidence dans un YMCA pour Inuit qui viennent recevoir des soins à Montréal sans vraiment avoir choisi d’être là, eux qui proviennent d’une culture traditionnellement nomade? Avec des immigrants réfugiés, des femmes Chez Doris, des autochtones croisés au PAQ ou directement sur la rue à bord de idAction Mobile? La majorité des participants de leur projet n’ont pas choisi l’endroit où ils vivent et se sentent éloignés de l’idée de chez-soi, est-ce que ces questions n’allaient pas exacerber les difficultés de leur présent? Au contraire, les architectes ont été accueillies tout d’abord avec intérêt et curiosité pour leur profession, ainsi qu’avec enthousiasme : certains s’offraient ce rêve pour la première fois, d’autres l’avaient depuis toujours dans le revers de la manche et une certaine fébrilité accompagnait le partage.  

     

Colleen Lashuk et Suzanne Doucet (photo : Dorothée De Collasson)  

Environ quarante personnes se sont exprimées en dessins, maquettes ou mots, parfois de manières farfelues, parfois de manières poétiques, mais toujours en résonnance avec leur réalité, et toujours avec ingéniosité. Les déclinaisons sont nombreuses, mais reviennent quelques fois le contact avec la nature, l’importance de l’environnement et d’éco-énergie, d’une certaine indépendance et d’une connexion profonde avec ses valeurs et ses passions. Le projet des architectes a permis de prendre la mesure de toutes les idées qui habitaient les participants, et en les mettant ensemble, en les réunissant dans l’exposition (processus qui s’est voulu inclusif en invitant aussi les participants à réfléchir le pourquoi et l’orientation de l’exposition, et non pas d’imposer un discours sur leurs créations), le projet donne à voir un éventail de possibilités architecturales, et surtout, un éventail de rêves qui nous engagent à notre tour dans la réflexion...

 

Espace de rêve – Dream Home

Exposition : du 3 au 17 novembre 2015 Vernissage : mardi 3 novembre, 17h à 20h

@YMCA Centre-ville 1440 Rue Stanley, Montréal, QC H3A 1P7

 

Événement Facebook : cliquez sur l'image ▼

 

Pages

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

Nous recherchons une personne afin d’assurer le développement, la planification, le déploiement et le suivi de nos projets de médiation et...

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral