La sexualité: un sujet peu abordé

Par Nikita.

Je m’appelle Nikita, je suis en secondaire et à l’école je remarque souvent que les discussions qu’on fait en classe (qui sont rares!) ne sont pas très bons. Il y a souvent 2­ à 4 élèves avec une opinion ferme (et négative) sur le sujet, tandis que les autres se taisent tous. Peut-­être si on avait des ateliers qui ont pour but de changer notre façon d’en parler, ces discussions ­là s’amélioreraient. Je pense que, après ma sémaine comme stagiaire à Exeko, c’est possible. Merci beaucoup!

Qu’est-­ce que la sexualité?

Selon l’Encyclopédie Larousse, c’est « l’ensemble des phénomènes sexuels ou liés au sexe, que l'on peut observer dans le monde vivant. » Ce n’est donc pas juste de la biologie, il y a aussi des aspects psychologiques.

À l’école, on parle rarement de la sexualité. On a des cours de science et on apprend des choses sur la reproduction, mais on n’apprend pas grand chose sur le côté psychologique. Oui, bien sûr, nous, les élèves, on en “parle”, mais c’est souvent des jokes entre amis ou quelque chose comme ça. La plupart d'entre nous n’en parle pas normalement ni sincèrement, pas à l’école, pas avec nos parents, pas avec nos amis.

“Mais, vous parlez de la puberté en classe, n’est­-ce pas? La sexualité fait partie de cette discussion, non?” Oui. Par contre, c’est plutôt scientifique. C’est du genre: vous allez grandir, la voix mue, les caractéres sexuels secondaires apparaissent, etc. Côté psychologique, il y a le désir pour l’autonomie et l’attraction sexuelle... mais on ne fait pas vraiment de discussion sur ça.

Pourquoi?

Pourtant, cela fait partie de notre identité, quelque chose qui a beaucoup d’importance pour les adolescents.

Voici quelques hypothèses: (Croyez ce que vous voulez croire.)

1. C’est difficile d’en parler aux adolescents. (À cause des jokes ou car ils n’aiment pas ça, peut­-être.)

2. Ce n’est pas un sujet assez important.

3. Les élèves sont trop jeunes. (Ça depend sur comment vous abordez le sujet.)

4. Personne ne veut faire un atelier sur ça.

5. On a peur qu’il y aura une réponse très négative aux discussions et aux ateliers (ex: au lieu de collaborer, les élèves sont très contre ça.)

La liste continue. Quelle que soit la raison exacte, je pense que ça vaut la peine d’aborder ce sujet parfois pour que les jeunes ne se sentent pas anormaux ou genés s’ils ont envie d’en discuter dans l’avenir. En effet, si le sujet n’était pas si peu abordé, je pense que tout le monde serait plus confortable et plus ouvert avec leur sexualité. Je pense aussi qu’il y aurait moins de préjugés envers les gens qui sont LGBTQ+. Au moins, c’est ça que j’espère.

La question qu’on se pose maintenant est: “Comment peut-­on rendre ce genre de conversation normale?”

Ce n’est peut­-être pas aussi facile que de tout simplement dire aux gens partout dans le monde de parler de la sexualité pour aucune raison.

Donc, il faut faire une liste de raisons!

1. Plus nous en parlons, plus les gens vont sentir plus à l’aise avec ça.

2. C’est bon d’être à l’aise avec qui tu es!

3. Le sujet devient moins mystérieux.

4. Les gens seront plus capables d’accepter quelqu’un avec un orientation sexuelle différent que les siens.

5. Il y aura moins de préjugés basés sur la sexualité.

6. Etc.

Maintenant qu’on a des bonnes raisons, on peut encourager les gens à parler. On pourrait faire ça de plusieurs façons. Des ateliers, des activités, des posters, des oeuvres d’art, la liste continue. Ça pourrait se faire à l’école, dans les rues, partout, jusqu’à rendre chez nous.

La chose la plus importante, c’est de le faire normalement.

Ce que je veux dire, c’est que si on en parle comme si c’est ***TOP SECRET*** ou comme si c’est un joke, les gens n’ont pas le goût d’aborder le sujet. C’est peut­-être difficile, mais c’est bien d’essayer d’en parler comme si ce n’est rien de spécial, juste un simple discussion entre amis ou un petit atelier informatif en classe.

POSTE COMBLÉ (Offre d'emploi - Chargé.e de projet Autochtone)

- POST COMBLÉ -

PRÉSENTATION DE L’ORGANISME

Exeko est un organisme d’innovation sociale, basé à Montréal depuis 2006. Nous utilisons la créativité – l'art et la philosophie – pour l'inclusion sociale des personnes en situation ou à risque d’exclusion. Notre approche reconnaît avant tout le potentiel de chacun à réfléchir, analyser, agir, créer et être partie prenante de la société, quels que soient sa situation ou son parcours : nous présumons l’égalité des intelligences.

Nous utilisons une approche fondée sur la médiation intellectuelle et culturelle. Cette démarche consiste à créer des espaces égalitaires de réflexion collective à travers l’organisation d’ateliers critiques (analyse, philosophie), créatifs (arts visuels, sonores et numériques) ainsi que des sorties culturelles avec nos participants.

Dans chacune de nos actions, nous employons la médiation comme outil de transformation sociale. Cela permet d’agir positivement sur la société, individuellement et collectivement : émancipation intellectuelle, prévention de l'exclusion (itinérance, crime, suicide, toxicomanie), participation citoyenne et culturelle, inter-reconnaissance, renforcement identitaire, persévérance scolaire, etc

exeko.org

CONTEXTE

Les réalités entourant les populations autochtones en milieu urbain comme en communauté au Québec et au Canada sont parmi les enjeux prioritaires adressés par Exeko. C’est à ce titre que l’organisation a développé et déployé depuis 10 ans un ensemble de programmes et projets en milieu autochtone, soit plus 75 projets complétés dans 17 communautés majoritairement au Québec, 8 nations et plus de 3000 participant(e)s. Notre organisation souhaite profondément renforcer la participation autochtone à son leadership, ses actions et sa gouvernance. C’est à ce titre que nous sommes actuellement à la recherche d’un ou une nouvel(le) chargé(e) des projets Autochtones, et que seules les candidatures Autochtones seront reçues.

DESCRIPTION DU POSTE

Le/la chargé(e) de projet Autochtone a pour mandat principal d’assurer le développement, la planification, le déploiement et le suivi des activités du pôle Autochtone, incluant le programme Trickster, ainsi qu’un ensemble de projets spéciaux associés à des partenariats et/ou aux programmes idAction ou encore Métissages Urbains. Il/elle participe activement au développement et au positionnement stratégique du pôle ; il/elle planifie, coordonne et suit le déploiement de la programmation des projets ; plus généralement, il/elle participe activement aux efforts de financement, de communication et d’administration des activités.

Consultez la fiche de poste dans sa version complète en cliquant ici.

Date limite de soumission des candidatures : dimanche 14 août 2016.

Contact : [email protected]

POSTE COMBLÉ (Offre d'emploi - Chargé.e de projet Autochtone)

- POST COMBLÉ -

PRÉSENTATION DE L’ORGANISME

Exeko est un organisme d’innovation sociale, basé à Montréal depuis 2006. Nous utilisons la créativité – l'art et la philosophie – pour l'inclusion sociale des personnes en situation ou à risque d’exclusion. Notre approche reconnaît avant tout le potentiel de chacun à réfléchir, analyser, agir, créer et être partie prenante de la société, quels que soient sa situation ou son parcours : nous présumons l’égalité des intelligences.

Nous utilisons une approche fondée sur la médiation intellectuelle et culturelle. Cette démarche consiste à créer des espaces égalitaires de réflexion collective à travers l’organisation d’ateliers critiques (analyse, philosophie), créatifs (arts visuels, sonores et numériques) ainsi que des sorties culturelles avec nos participants.

Dans chacune de nos actions, nous employons la médiation comme outil de transformation sociale. Cela permet d’agir positivement sur la société, individuellement et collectivement : émancipation intellectuelle, prévention de l'exclusion (itinérance, crime, suicide, toxicomanie), participation citoyenne et culturelle, inter-reconnaissance, renforcement identitaire, persévérance scolaire, etc

exeko.org

CONTEXTE

Les réalités entourant les populations autochtones en milieu urbain comme en communauté au Québec et au Canada sont parmi les enjeux prioritaires adressés par Exeko. C’est à ce titre que l’organisation a développé et déployé depuis 10 ans un ensemble de programmes et projets en milieu autochtone, soit plus 75 projets complétés dans 17 communautés majoritairement au Québec, 8 nations et plus de 3000 participant(e)s. Notre organisation souhaite profondément renforcer la participation autochtone à son leadership, ses actions et sa gouvernance. C’est à ce titre que nous sommes actuellement à la recherche d’un ou une nouvel(le) chargé(e) des projets Autochtones, et que seules les candidatures Autochtones seront reçues.

DESCRIPTION DU POSTE

Le/la chargé(e) de projet Autochtone a pour mandat principal d’assurer le développement, la planification, le déploiement et le suivi des activités du pôle Autochtone, incluant le programme Trickster, ainsi qu’un ensemble de projets spéciaux associés à des partenariats et/ou aux programmes idAction ou encore Métissages Urbains. Il/elle participe activement au développement et au positionnement stratégique du pôle ; il/elle planifie, coordonne et suit le déploiement de la programmation des projets ; plus généralement, il/elle participe activement aux efforts de financement, de communication et d’administration des activités.

Consultez la fiche de poste dans sa version complète en cliquant ici.

Date limite de soumission des candidatures : dimanche 14 août 2016.

Contact : [email protected]

[FERMÉ] Appel de candidature autochtone au conseil d'administration

Les réalités entourant les populations autochtones en milieu urbain comme en communautés sont parmi les enjeux prioritaires adressés par Exeko. C’est à ce titre que l’organisation a développé et déployé depuis 10 ans un ensemble de programmes et projets culturellement adaptés et innovants en milieu autochtone, soit plus 75 projets complétés dans 17 communautés majoritairement au Québec, 8 nations et plus de 3000 participant(e)s.

Notre conseil d’administration, outre ses fonctions morale et légale, a pour principaux mandats et défis, de nourrir et statuer les orientations et choix stratégiques, développer la viabilité et les capacités financières et organisationnelles, ainsi que de développer le positionnement de l’organisme et d’en être ambassadeur.

Qui plus est, notre organisation souhaite profondément renforcer la participation autochtone à son leadership et sa gouvernance. C’est à ce titre que nous sommes actuellement à la recherche d’un ou une nouvel(le) administrateur(trice) autochtone voulant contribuer de façon significative à relever ces défis.

Date limite de soumission des candidatures début aout 2016.

Contact[email protected]

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral