idAction à l'Accueil Bonneau : regard d'un bénévole enthousiaste

Par Clément Willer

Clément Willer est bénévole à Exeko. Le mercredi 27 mai 2015, il a participé à l'atelier idAction hebdomadaire de l'Accueil Bonneau, qui portait cette semaine sur le thème de l'invention. Il était accompagné des médiateurs Daniel Blémur et Maxime Goulet-Langlois.

L'ouverture d'un espace de débat d'idées est une chose essentielle, et pourtant peu fréquente. En participant à l'atelier idAction à l'Accueil Bonneau ce matin, j'ai compris que dans la pratique cela n'était pas si facile et demandait un certain art. Il ne suffit pas d'apporter simplement un thème ou une question : il faut trouver un ancrage commun, à partir duquel on pourra creuser certaines pistes, ouvrir le débat.

C'est ce que Daniel et Maxime ont fait en projetant quelques extraits de films, dont celui sur un inventeur d'instruments de musique hétéroclites, ce qui a permis aux participants de réfléchir sur un même exemple. Alors que l'atelier avait commencé avec seulement deux ou trois participants, peu à peu une dynamique commune donnait son orientation à la discussion et les participants qui la rejoignaient pouvaient suivre le même fil directeur naissant.

C'est ce que j'ai trouvé de très intéressant dans cette expérience : au bout d'un certain temps, on pouvait assister à de véritables échanges, différents points de vue tendant vers les mêmes interrogations. Bien sûr, comme probablement dans toute discussion, ces moments de partage n'étaient pas constants. Mais ils n'en étaient pas moins réjouissants, accompagnés parfois de ces remarques pertinentes qui parlent à tous :

« La plus belle œuvre dans la société, c'est nous mêmes. »

« Inventer, c'est casser l'ennui. »

« Chaque humain est un peu créateur. »

« L'invention, c'est la vie. »

(c) Mikaël Theimer

idAction à l'Accueil Bonneau : regard d'un bénévole enthousiaste

Par Clément Willer

Clément Willer est bénévole à Exeko. Le mercredi 27 mai 2015, il a participé à l'atelier idAction hebdomadaire de l'Accueil Bonneau, qui portait cette semaine sur le thème de l'invention. Il était accompagné des médiateurs Daniel Blémur et Maxime Goulet-Langlois.

L'ouverture d'un espace de débat d'idées est une chose essentielle, et pourtant peu fréquente. En participant à l'atelier idAction à l'Accueil Bonneau ce matin, j'ai compris que dans la pratique cela n'était pas si facile et demandait un certain art. Il ne suffit pas d'apporter simplement un thème ou une question : il faut trouver un ancrage commun, à partir duquel on pourra creuser certaines pistes, ouvrir le débat.

C'est ce que Daniel et Maxime ont fait en projetant quelques extraits de films, dont celui sur un inventeur d'instruments de musique hétéroclites, ce qui a permis aux participants de réfléchir sur un même exemple. Alors que l'atelier avait commencé avec seulement deux ou trois participants, peu à peu une dynamique commune donnait son orientation à la discussion et les participants qui la rejoignaient pouvaient suivre le même fil directeur naissant.

C'est ce que j'ai trouvé de très intéressant dans cette expérience : au bout d'un certain temps, on pouvait assister à de véritables échanges, différents points de vue tendant vers les mêmes interrogations. Bien sûr, comme probablement dans toute discussion, ces moments de partage n'étaient pas constants. Mais ils n'en étaient pas moins réjouissants, accompagnés parfois de ces remarques pertinentes qui parlent à tous :

« La plus belle œuvre dans la société, c'est nous mêmes. »

« Inventer, c'est casser l'ennui. »

« Chaque humain est un peu créateur. »

« L'invention, c'est la vie. »

(c) Mikaël Theimer

idAction à l'Accueil Bonneau : regard d'un bénévole enthousiaste

Par Clément Willer

Clément Willer est bénévole à Exeko. Le mercredi 27 mai 2015, il a participé à l'atelier idAction hebdomadaire de l'Accueil Bonneau, qui portait cette semaine sur le thème de l'invention. Il était accompagné des médiateurs Daniel Blémur et Maxime Goulet-Langlois.

L'ouverture d'un espace de débat d'idées est une chose essentielle, et pourtant peu fréquente. En participant à l'atelier idAction à l'Accueil Bonneau ce matin, j'ai compris que dans la pratique cela n'était pas si facile et demandait un certain art. Il ne suffit pas d'apporter simplement un thème ou une question : il faut trouver un ancrage commun, à partir duquel on pourra creuser certaines pistes, ouvrir le débat.

C'est ce que Daniel et Maxime ont fait en projetant quelques extraits de films, dont celui sur un inventeur d'instruments de musique hétéroclites, ce qui a permis aux participants de réfléchir sur un même exemple. Alors que l'atelier avait commencé avec seulement deux ou trois participants, peu à peu une dynamique commune donnait son orientation à la discussion et les participants qui la rejoignaient pouvaient suivre le même fil directeur naissant.

C'est ce que j'ai trouvé de très intéressant dans cette expérience : au bout d'un certain temps, on pouvait assister à de véritables échanges, différents points de vue tendant vers les mêmes interrogations. Bien sûr, comme probablement dans toute discussion, ces moments de partage n'étaient pas constants. Mais ils n'en étaient pas moins réjouissants, accompagnés parfois de ces remarques pertinentes qui parlent à tous :

« La plus belle œuvre dans la société, c'est nous mêmes. »

« Inventer, c'est casser l'ennui. »

« Chaque humain est un peu créateur. »

« L'invention, c'est la vie. »

(c) Mikaël Theimer

Par grand temps de chasse au spectacle

Il n’y aucun projet Trickster qui se ressemble et pourtant… À chaque fois, on s’y fait prendre. On pense « trickster » les jeunes et on se prend à leur rythme. On s’accroche les pieds dans le printemps de Mingan, dans les outardes qui survolent, dans le crabe qui débarque à midi et 16h00, dans le capelan qui va s’échouer sur la plage d’une journée à l’autre… On attend la marée qui les fera arriver et la nuit qui faudra passer réveillé à les ramasser. On pourra en manger 2 poêlons bien plein pour un total d’une bonne vingtaine… c’est la norme… TOUT LE MONDE s‘entend pour ça… Ça arrive une fois dans l’année!  

Pour un rien, la raison qui nous amène ici devient savoureusement floue et teintée des jeunes de la communauté qui imposeront, sans le vouloir, un rythme, une manière de faire, un humour, une musique, une discipline, des rires, l’angoisse de voir le jour du spectacle arriver et les outardes qui doivent être ramenées à la maison plus que les balles rattrapées pour savoir jongler.  

 

Le long weekend nous rappelle que le soleil goûte meilleur que l’air du gymnase et qu’il fait bon en profiter plutôt que de faire des acrobaties. Durant la semaine, le jour, un calme plane dans les corridors de l’école. Une concentration palpable crie pour ne pas être brisée. On attend, comme pour la chasse… On attend, le bon meilleur moment pour accueillir les jeunes dans les ateliers. À chaque fois, la patience amène ses moments de grande magie. Il n’y a aucun projet Trickster qui se ressemble et pourtant…  

 

Et pourtant, on ressent toujours le vertige de danser à une vitesse qui ne nous est pas habituelle, nous rappelant que Montréal est bruyant, efficace, rapide, insaisissable, euphorique… On y court après l’été alors que le printemps est à peine entamé… Quand le soleil se couche, on ne le voit pas longtemps partir derrière les buildings. Ici, sur la Côte-Nord, non seulement on le voit descendre lentement, mais c’est surtout à cette heure qu’il est possible de jongler, faire des acrobaties, du théâtre, des ombres chinoises et des jeux de confiance. À ce moment, les travaux scolaires sont finis, les outardes se font probablement plumées à la maison et le crabe cuit à la marmite. Il y a une parenthèse dans la journée, une suspension durant laquelle de deux à douze jeunes viennent découvrir les arts vivants du cirque, du théâtre, de la danse et du jeu.  

 

La Côte-Nord nous sourit pour une deuxième fois cette année. Il y a deux mois, nous étions à Nutashkuan. C’est avec joie qu’on retrouve la communauté de Mingan rencontrée pour la première fois l’an passé. Comme si on ne s’était jamais quitté et pourtant…

Et pourtant, c’est comme si nous apprenions à nous connaître et c’est ce qui fait que c’est magique… Un renouveau à chaque fois, une chance de recommencer à zéro et de construire d’une toute nouvelle manière un grand, ensembles… Dans cette ambiance, toutes les possibilités se déploient en éventail. Bien que ça étourdisse et fasse chanceler les repères, nous ne pouvons une fois de plus que remercier Mingan pour son accueil, pour tout ce qu’elle nous partage, pour Hélène Nolin Mollen et ses histoires de chasse, pour les jeunes qui ont les plus grands sourires, pour le personnel enseignant qui est enthousiaste de notre présence entre les murs de l’école Teueikan, pour la direction qui encore une fois met tout en place pour que les jeunes puissent profiter de l’expérience pleinement et surtout pour tous les gens rencontrés dans la communauté.  

 

Nous marchons doucement vers un spectacle, sans faire de bruit, à pas feutrés pour ne pas le faire fuir. Pour qu’il prenne son envol juste à temps, en un joli moment d’accomplissement et de rayonnement devant la communauté, mais pour cela, il faut patience et légèreté, mais surtout beaucoup de plaisir!  

 

Alessia, Cyril et Jani, à la chasse au spectacle.

Crédits photos : Exeko

 

Le programme Trickster est soutenu par la Fondation Québec Jeunes.

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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral