Offre d'emploi - Chargé.e des communications remplacement congé maternité - (FERMÉ)

Présentation de l’organisme

Exeko est un organisme d’innovation sociale basé à Montréal depuis 2006. Nous utilisons la créativité intellectuelle et artistique au service d’une transformation sociale inclusive et émancipatrice. Notre approche reconnaît avant tout le potentiel de chacun  et chacune à réfléchir, analyser, agir, créer et être partie prenante de la société, quels que soient sa situation ou son parcours : nous présumons l’égalité des intelligences.

Nous employons à la fois des approches pratiques de médiation intellectuelle et culturelle et des approches systémiques inspirées de l’innovation sociale, comme moteurs de transformation sociale, afin d’agir positivement sur la société, individuellement et collectivement : émancipation intellectuelle, prévention de l'exclusion (itinérance, crime, suicide, toxicomanie), participation citoyenne et culturelle, inter-reconnaissance, renforcement identitaire, persévérance scolaire, etc.

Exeko.org

Activité principale du poste

Sous la supervision de l’équipe de direction, et en étroite collaboration avec cette dernière, le/la chargé.e des communications a pour mandat de superviser et coordonner les communications internes et externes de l’organisme, participer à la définition des stratégies et politiques qui les régissent et appliquer ces stratégies de communication et de promotion aux différentes activités de l’organisme. Il/Elle coordonne les événements associés et mobilise les communautés autour de l’organisation (médias, partenaires, sympathisants et autres organisations).

Il/Elle s’assure également de suivre les stratégies de collecte de fonds et de promotion de services professionnels mises en place en collaboration avec le pôle partenariat et de les déployer.

Le/la chargé.e des communications est soutenu.e. à plein temps par un agent aux communications.

Consultez la fiche de poste dans sa version complète en cliquant ici.

Date limite de soumission des candidatures : Début janvier 2018.

Contact : [email protected]

Montréal, une ville douce-amère

Texte : Camille Laurent
Image d'en-tête : Mikaël Theimer pour Exeko

Soir de novembre, le froid nous transperce déjà les os. Ce soir pas de réunion entre ami.e.s dans un de ces chaleureux bars de micro montréalais. Ni de concert endiablé au rythme de la vibe montréalaise bien connue. Ce soir pas de match des Canadiens à regarder chez soi bien au chaud. Ni de plats gourmets à savourer au comptoir d’un restau délectable.

Ce soir en fait, c’est une tout autre ville qui s’étend sous mes pieds. Une ville dans la ville, l’alter ego plus sombre du point de mire des hipsters, des étudiants français en mal du pays, des jeunes ambitieux aux rêves de start-up, des voyageurs et voyageuses aguerri.e.s et de la coolitude. Une ville aux facettes nombreuses et contradictoires, aux reflets à la fois éclatants et sinistres, comme un joyau qu’on aurait poncé à moitié, et qui font d’elle un lieu parfois difficile d’accès, hermétique et complexe. Ce soir en fait, je me rends compte que ma ville, celle que j’habite et qui m’accueille, celle où j’évolue, m’épanouis et grandis, cette ville-là est bien différente de cette Montréal. Ce soir, les quartiers étudiants et trendy s’enveloppent d’une chape brumeuse qui n’a rien de l’apparat de mon monde, où les rues commerçantes n’offrent leurs devantures chatoyantes qu’aux privilégié.e.s, où l’American Dream de rigueur résonne comme une vaste bullshit à l’oreille de certain.e.s.

(c) Youssef Shoufan pour Exeko

Ce soir, on roule dans la Van d’idAction, avec Andréann et James, pour aller à la rencontre des itinérant.e.s et leur redonner du baume à l’âme, à grand coup de livres, gratuitement distribués et de Kombucha, généreusement dispensé. Autres visages, mêmes lieux. Baladé.e.s aux quatre vents, on serre des mains, on garoche des sourires à tout va, on avance d’un pas guilleret. L’idée c’est d’échanger, donner du réconfort mais sans s’apitoyer, épauler, puis apprendre. D’eux et elles. Nous, on arrive avec nos livres, nos savoirs, notre éducation, nos a priori et nos idées bien pensantes. Eux et elles nous regardent avec envie, parfois mêlée d’un rire moqueur et d’amertume. Certain.e.s viennent vers nous et nous blaguent, d’autres nous regardent avec défiance et fuient nos approches, d’autres encore nous provoquent, et d’autres nous aiment déjà. Tou.te.s ont eu une vie comme nous, avant. Tou.te.s ont aimé, travaillé, étudié. La plupart sont brillant.e.s, cultivés, et parents.

En une nuit, j’ai rencontré une poignée de gens marquant.e.s et atypiques qui ont vécu cent vies. D’abord il y a eu la gang de la rue Sainte-Catherine, des anglophones, qui nous font une fête quand nous arrivons. Leurs sourires se déploient sous l’objectif magique du vieux Leïka de James, notre médiateur qui rend hommage aux itinérant.e.s qu’on rencontre en immortalisant leurs moments. Avec force accolades et boissons chaudes, on se repasse les bons moments avec eux en regardant les clichés de James, précieusement répertoriés dans un antique album photos intitulé LE Bible. Les confidences vont bon train. Puis on repart, déjà un peu tristes de les quitter. Plus loin, dans la bouche du métro qui fourmille, S. voit défiler sous ses yeux, à longueur de temps, des gens indifférent.e.s et pressé.e.s. Arborant un sourire éclatant, il nous raconte quelques anecdotes de la journée. Un peu plus loin, un de ses acolytes, plus timide, se tient seul. Mais c’est sans compter sur l’habileté de James et la douceur d’Andréann… très vite, il se détend. Une dernière rencontre et non des moindres, c’est celle d’un itinérant au caractère rebelle bien trempé. Il affiche un style urbain-chic très soigné et assez original, dont ses multiples bagues rocky et sa barbe bien fournie en sont la preuve. Sous ses airs faussement revêches, il nous niaise, Andréann et moi, et conclut par cette phrase mémorable, appuyée d’un regard tendre et coquin, « après tout, je n’ai que 63 ans, j’ai toute la vie devant moi. ». Ça donne envie d’aller de l’avant, non?

(c) Audrey-Lise Mallet pour Exeko

 

Ce projet est rendu possible en partie grâce au soutien de la Ville de Montréal. Merci à eux !

Montréal, une ville douce-amère

Texte : Camille Laurent
Image d'en-tête : Mikaël Theimer pour Exeko

Soir de novembre, le froid nous transperce déjà les os. Ce soir pas de réunion entre ami.e.s dans un de ces chaleureux bars de micro montréalais. Ni de concert endiablé au rythme de la vibe montréalaise bien connue. Ce soir pas de match des Canadiens à regarder chez soi bien au chaud. Ni de plats gourmets à savourer au comptoir d’un restau délectable.

Ce soir en fait, c’est une tout autre ville qui s’étend sous mes pieds. Une ville dans la ville, l’alter ego plus sombre du point de mire des hipsters, des étudiants français en mal du pays, des jeunes ambitieux aux rêves de start-up, des voyageurs et voyageuses aguerri.e.s et de la coolitude. Une ville aux facettes nombreuses et contradictoires, aux reflets à la fois éclatants et sinistres, comme un joyau qu’on aurait poncé à moitié, et qui font d’elle un lieu parfois difficile d’accès, hermétique et complexe. Ce soir en fait, je me rends compte que ma ville, celle que j’habite et qui m’accueille, celle où j’évolue, m’épanouis et grandis, cette ville-là est bien différente de cette Montréal. Ce soir, les quartiers étudiants et trendy s’enveloppent d’une chape brumeuse qui n’a rien de l’apparat de mon monde, où les rues commerçantes n’offrent leurs devantures chatoyantes qu’aux privilégié.e.s, où l’American Dream de rigueur résonne comme une vaste bullshit à l’oreille de certain.e.s.

(c) Youssef Shoufan pour Exeko

Ce soir, on roule dans la Van d’idAction, avec Andréann et James, pour aller à la rencontre des itinérant.e.s et leur redonner du baume à l’âme, à grand coup de livres, gratuitement distribués et de Kombucha, généreusement dispensé. Autres visages, mêmes lieux. Baladé.e.s aux quatre vents, on serre des mains, on garoche des sourires à tout va, on avance d’un pas guilleret. L’idée c’est d’échanger, donner du réconfort mais sans s’apitoyer, épauler, puis apprendre. D’eux et elles. Nous, on arrive avec nos livres, nos savoirs, notre éducation, nos a priori et nos idées bien pensantes. Eux et elles nous regardent avec envie, parfois mêlée d’un rire moqueur et d’amertume. Certain.e.s viennent vers nous et nous blaguent, d’autres nous regardent avec défiance et fuient nos approches, d’autres encore nous provoquent, et d’autres nous aiment déjà. Tou.te.s ont eu une vie comme nous, avant. Tou.te.s ont aimé, travaillé, étudié. La plupart sont brillant.e.s, cultivés, et parents.

En une nuit, j’ai rencontré une poignée de gens marquant.e.s et atypiques qui ont vécu cent vies. D’abord il y a eu la gang de la rue Sainte-Catherine, des anglophones, qui nous font une fête quand nous arrivons. Leurs sourires se déploient sous l’objectif magique du vieux Leïka de James, notre médiateur qui rend hommage aux itinérant.e.s qu’on rencontre en immortalisant leurs moments. Avec force accolades et boissons chaudes, on se repasse les bons moments avec eux en regardant les clichés de James, précieusement répertoriés dans un antique album photos intitulé LE Bible. Les confidences vont bon train. Puis on repart, déjà un peu tristes de les quitter. Plus loin, dans la bouche du métro qui fourmille, S. voit défiler sous ses yeux, à longueur de temps, des gens indifférent.e.s et pressé.e.s. Arborant un sourire éclatant, il nous raconte quelques anecdotes de la journée. Un peu plus loin, un de ses acolytes, plus timide, se tient seul. Mais c’est sans compter sur l’habileté de James et la douceur d’Andréann… très vite, il se détend. Une dernière rencontre et non des moindres, c’est celle d’un itinérant au caractère rebelle bien trempé. Il affiche un style urbain-chic très soigné et assez original, dont ses multiples bagues rocky et sa barbe bien fournie en sont la preuve. Sous ses airs faussement revêches, il nous niaise, Andréann et moi, et conclut par cette phrase mémorable, appuyée d’un regard tendre et coquin, « après tout, je n’ai que 63 ans, j’ai toute la vie devant moi. ». Ça donne envie d’aller de l’avant, non?

(c) Audrey-Lise Mallet pour Exeko

 

Ce projet est rendu possible en partie grâce au soutien de la Ville de Montréal. Merci à eux !

Montréal, une ville douce-amère

Texte : Camille Laurent
Image d'en-tête : Mikaël Theimer pour Exeko

Soir de novembre, le froid nous transperce déjà les os. Ce soir pas de réunion entre ami.e.s dans un de ces chaleureux bars de micro montréalais. Ni de concert endiablé au rythme de la vibe montréalaise bien connue. Ce soir pas de match des Canadiens à regarder chez soi bien au chaud. Ni de plats gourmets à savourer au comptoir d’un restau délectable.

Ce soir en fait, c’est une tout autre ville qui s’étend sous mes pieds. Une ville dans la ville, l’alter ego plus sombre du point de mire des hipsters, des étudiants français en mal du pays, des jeunes ambitieux aux rêves de start-up, des voyageurs et voyageuses aguerri.e.s et de la coolitude. Une ville aux facettes nombreuses et contradictoires, aux reflets à la fois éclatants et sinistres, comme un joyau qu’on aurait poncé à moitié, et qui font d’elle un lieu parfois difficile d’accès, hermétique et complexe. Ce soir en fait, je me rends compte que ma ville, celle que j’habite et qui m’accueille, celle où j’évolue, m’épanouis et grandis, cette ville-là est bien différente de cette Montréal. Ce soir, les quartiers étudiants et trendy s’enveloppent d’une chape brumeuse qui n’a rien de l’apparat de mon monde, où les rues commerçantes n’offrent leurs devantures chatoyantes qu’aux privilégié.e.s, où l’American Dream de rigueur résonne comme une vaste bullshit à l’oreille de certain.e.s.

(c) Youssef Shoufan pour Exeko

Ce soir, on roule dans la Van d’idAction, avec Andréann et James, pour aller à la rencontre des itinérant.e.s et leur redonner du baume à l’âme, à grand coup de livres, gratuitement distribués et de Kombucha, généreusement dispensé. Autres visages, mêmes lieux. Baladé.e.s aux quatre vents, on serre des mains, on garoche des sourires à tout va, on avance d’un pas guilleret. L’idée c’est d’échanger, donner du réconfort mais sans s’apitoyer, épauler, puis apprendre. D’eux et elles. Nous, on arrive avec nos livres, nos savoirs, notre éducation, nos a priori et nos idées bien pensantes. Eux et elles nous regardent avec envie, parfois mêlée d’un rire moqueur et d’amertume. Certain.e.s viennent vers nous et nous blaguent, d’autres nous regardent avec défiance et fuient nos approches, d’autres encore nous provoquent, et d’autres nous aiment déjà. Tou.te.s ont eu une vie comme nous, avant. Tou.te.s ont aimé, travaillé, étudié. La plupart sont brillant.e.s, cultivés, et parents.

En une nuit, j’ai rencontré une poignée de gens marquant.e.s et atypiques qui ont vécu cent vies. D’abord il y a eu la gang de la rue Sainte-Catherine, des anglophones, qui nous font une fête quand nous arrivons. Leurs sourires se déploient sous l’objectif magique du vieux Leïka de James, notre médiateur qui rend hommage aux itinérant.e.s qu’on rencontre en immortalisant leurs moments. Avec force accolades et boissons chaudes, on se repasse les bons moments avec eux en regardant les clichés de James, précieusement répertoriés dans un antique album photos intitulé LE Bible. Les confidences vont bon train. Puis on repart, déjà un peu tristes de les quitter. Plus loin, dans la bouche du métro qui fourmille, S. voit défiler sous ses yeux, à longueur de temps, des gens indifférent.e.s et pressé.e.s. Arborant un sourire éclatant, il nous raconte quelques anecdotes de la journée. Un peu plus loin, un de ses acolytes, plus timide, se tient seul. Mais c’est sans compter sur l’habileté de James et la douceur d’Andréann… très vite, il se détend. Une dernière rencontre et non des moindres, c’est celle d’un itinérant au caractère rebelle bien trempé. Il affiche un style urbain-chic très soigné et assez original, dont ses multiples bagues rocky et sa barbe bien fournie en sont la preuve. Sous ses airs faussement revêches, il nous niaise, Andréann et moi, et conclut par cette phrase mémorable, appuyée d’un regard tendre et coquin, « après tout, je n’ai que 63 ans, j’ai toute la vie devant moi. ». Ça donne envie d’aller de l’avant, non?

(c) Audrey-Lise Mallet pour Exeko

 

Ce projet est rendu possible en partie grâce au soutien de la Ville de Montréal. Merci à eux !

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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral