Texte de Sophie

Par Sophie Bouthillier, participante à la Maison des amis du Plateau

 

Bonjour à tous,

Je vais vous raconter une tranche de ma vie. 

Lorsque j’étais petite, j’ai eu un accident de vélo. J’ai été dans le coma une semaine et ensuite j’ai eu un traumatisme crânien. Par la suite, j’ai eu des difficultés toute ma vie au point où ma mère a dû m’acheter un chat en peluche pour m’aider à poursuivre ma vie après mon traumatisme. 

Plus tard, j’ai développé la maladie mentale et, il y a 6 ans, je me suis achetée ma Blanche-Neige.

Certains d’entre-vous ne comprennent pas toujours, mais ce n’est pas facile de vivre avec la maladie mentale. C’est un combat de tous les jours. Blanche-Neige me suit partout, question de sécurité. Si je n’ai pas Blanche-Neige, je ne me sens pas en sécurité.

 

Blanche-Neige  

 

---

Les cycles d'ateliers idAction sont possibles en partie grâce aux partenaires financiers : Ville de Montréal et Arrondissement Le Plateau-Mont-Royal.

  

Texte de Sophie

Par Sophie Bouthillier, participante à la Maison des amis du Plateau

 

Bonjour à tous,

Je vais vous raconter une tranche de ma vie. 

Lorsque j’étais petite, j’ai eu un accident de vélo. J’ai été dans le coma une semaine et ensuite j’ai eu un traumatisme crânien. Par la suite, j’ai eu des difficultés toute ma vie au point où ma mère a dû m’acheter un chat en peluche pour m’aider à poursuivre ma vie après mon traumatisme. 

Plus tard, j’ai développé la maladie mentale et, il y a 6 ans, je me suis achetée ma Blanche-Neige.

Certains d’entre-vous ne comprennent pas toujours, mais ce n’est pas facile de vivre avec la maladie mentale. C’est un combat de tous les jours. Blanche-Neige me suit partout, question de sécurité. Si je n’ai pas Blanche-Neige, je ne me sens pas en sécurité.

 

Blanche-Neige  

 

---

Les cycles d'ateliers idAction sont possibles en partie grâce aux partenaires financiers : Ville de Montréal et Arrondissement Le Plateau-Mont-Royal.

  

Rencontre des jeunes leaders Inuit de l’organisation jeunesse Qarjuit

par Anne Loranger-King, Responsable des programmes

Rencontre des jeunes leaders Inuit de l’organisation jeunesse Qarjuit organisée en collaboration avec la Corporation Inuit du Nunavik, Makivvik sur la Déclaration des Nations Unies sur le droit des peuples autochtones (UNDRIP)

Lire la déclaration

Cette rencontre s’est tenue les 7, 8 et 9 mars 2023 dans les bureaux de Makivvik avec une dizaine de jeunes leaders provenant de différentes communautés du Nunavik. L'objectif de l'atelier était de comprendre et de démystifier UNDRIP pour ensuite ramener ce savoir dans leurs communautés respectives et être en mesure d’en parler. L’objectif était aussi de transmettre les priorités identifiées par les leaders Inuit au gouvernement Canadien qui s’est engagé à soumettre en plan d’action en juin 2023 pour la mise en œuvre et l'implémentation de cette déclaration au Canada. Olivia Ikey, une professionnelle en facilitation graphique Inuit mentionnait qu’il est primordial de connaître et identifier leurs besoins en tant que communauté pour pouvoir comprendre et ensuite défendre leurs droits. 

Des réflexions puissantes ont été échangées durant ces échanges qui ont été facilités par Exeko durant ces 3 journées. Les jeunes leaders ont identifiés que leurs droits ne sont pas reconnus actuellement. Malgré la douleur associée à cette réflexion, ils et elles ont été en mesure d’identifier les droits qu’ils et elles souhaitent mettre de l’avant : 

Le droit à l’éducation.

Une éducation Inuit, sans discrimination ! Le droit de parler leur propre langue et d’avoir accès à des services en Inuktitut. Une autre participante mentionne "I find our History, our language, is very important for our youth to learn. In high school I was only taught to listen to stories from the books. We are dismissing our own Inuit history in our own education curriculum."

Les droits environnementaux.

Agir ensemble pour diminuer les effets des changements climatiques qui les affectent directement et qui font migrer les animaux.

Le droit à la santé et à des services pour la santé mentale.

De plus, la santé est aussi liée au droit de se loger de façon durable et convenable. Une participante à mentionné : “Nous avons des maisons qui, même si elles sont neuves, sont déjà endommagées et n’ont pas l’eau courante ou sans chauffage. Nous souhaitons avoir de vraies maisons dans lesquelles nous pouvons vivre avec nos enfants”. 

Le droit à leur identité et à l’autodétermination.

Il est mentionné à plusieurs reprises l’importance de retrouver l’accès et l’autonomie pour utiliser leurs terres, leur territoire. “Land Back !” 

Le droit à un système de protection de l’enfance Inuit.

Les jeunes aimeraient que les enfants cessent de se faire “déporter” au Sud dès que la protection de la jeunesse intervient. Ils et elles souhaitent que les jeunes puissent rester dans leur communauté pour ne pas perdre le contact avec leur racine, leur identité, leur langue ! 

Les jeunes leaders Inuit ont présenté le fruit de leur travail de réflexion devant le conseil d’administration de Makivvik. Ce fut un grand moment d’émotions et de fierté, d’avoir compris, réfléchi ensemble et identifier leurs droits et ce pourquoi ils et elles allaient continuer à militer de retour dans leur communauté.

Quand l’art rassemble les gens

Séjour à Opiticiwan du 5 au 17 mars 2023

par Jose Fuca, Responsable de programme en collaboration Premières Nations et Inuit et médiateur

 

Après deux ans et demi de pandémie, nous sommes enfin de retour à Opitciwan, communauté Atikamekw que j’affectionne tout particulièrement par le beau lien que j’entretiens avec des personnes de la communauté.

Nous avons été invité.e.s par Kim Dumaine, enseignante en arts plastiques à l’école secondaire Mikisiw. Notre rôle est de soutenir l’organisation d’une exposition d’art portée par les jeunes de 4e et de 5e secondaire.

Lors de notre première rencontre, Kim présente un portrait du contexte de la communauté, ainsi que du groupe afin que nous soyons conscient.e.s et sensibles à certaines situations actuelles. Nous avons également identifié ensemble les étapes et le calendrier pour co-créer un événement communautaire avec les jeunes. 

À travers une série d’ateliers, les grandes lignes de notre collaboration ont été les suivantes : créer une affiche pour l’événement, composer un message publicitaire pour la radio, trouver des titres et écrire des légendes/étiquettes pour les œuvres, parler de design de logo et en co-créer un pour l’événement, explorer l’art-automatique/spontané pour créer une toile collective et expérimenter l’organisation des stations et de l’espace pour une exposition. Le tout accompagné d’une trame musicale pour mettre l’ambiance.

Création d’une affiche

Dans le cadre de la première rencontre avec les jeunes, nous passons à l'étape de la création d’une affiche pour souligner la présence de l’exposition avec des couleurs et sur du papier grandeur 11x17. Les participant.es sont bien investi.es dans cet atelier créatif. 

Le lendemain, ma collègue, Anne Cloutier, continue en donnant son “cours de graphisme d’une affiche 101”. Nous projetons les informations recueillies dans les affiches dessinées la veille et les participant.es votent à main levée pour ce qu’iels veulent garder ou non. Les jeunes font leur choix typographique en posant des post-it sur la projection selon trois catégories : titre, sous-titre, corps de texte. Il y a une très bonne participation. Une affiche finale a été choisie.

 

 

Enregistrement d’un message radio

Nous débutons l’atelier pour la création d’un message radio avec une petite présentation théâtrale pour présenter l’exemple d’un mauvais texte de publicité à la radio et un texte mieux pensé. Ensuite, nous passons à la construction d’un texte. En collaboration avec l’enseignante en langue et culture Atikamekw, des élèves traduisent le message radio. 

Dans un deuxième temps, nous réalisons une activité d’écriture collective amusante : un cadavre exquis avec dix lignes avec des débuts de phrases que chacun.e doit terminer. L’intention est de stimuler la création littéraire et de leur faire lire à voix haute les textes afin de pratiquer sans qu’iels ne s'en rendent compte. Le but : enregistrer le message pour l’envoyer à la radio. L’activité fonctionne bien au niveau de l’écriture. C’est un bon moment de rires. Avec quatre jeunes, nous enregistrons le message. Un comité de jeunes se forme pour aller placarder des affiches dans différents endroits de la communauté.

Logos pour la sérigraphie

Nous commençons la petite série d’ateliers sur les logos en montrant des logos réalisés par des jeunes d’autres communautés. Cela leur montre la liberté de création et les divers formats possibles. Anne explique à quoi sert un logo et anime un quizz avec des logos populaires. Les logos sont partout, ils nous transmettent des informations. Les jeunes participent activement. Ensuite, à l’étape du dessin, quelques logos commencent à apparaître, ce qui nous permet de réaliser l’assemblage de deux logos à partir de leurs propositions. Une votation s'ensuit pour décider lequel sera le logo officiel de l'événement.

Crédit photo : Exeko

Création collective

Anne réalise une présentation sur l’art automatique et montre quelques œuvres spontanées. Le message envoyé aux élèves est qu’il ne faut pas trop réfléchir pour appliquer cette technique. Il faut simplement se laisser aller. On met à leur disposition différents matériaux. On active la musique et l’exercice commence. Les jeunes prennent subtilement une place autour de la toile et leur imaginaire émerge. L’activité est un succès. Kim est émue de voir les jeunes aussi engagé.e.s. 

Station photo

Pour cette station, nous plastifions les photos d’un jeune qui est passionné d’astrophysique. Les photos ont été prises la nuit pour capter des galaxies lointaines et d'autres phénomènes spectaculaires.

L'exposition "Nokotawin Art 2023 - Rassemblement d’art"

L’événement se déroule à la salle principale de la Maison des Jeunes d’Opiticiwan (MDJ). Les portes ouvrent à 18h. L’accueil de Kim et des jeunes est chaleureux. On ressent déjà la belle énergie qu’un tel événement peut amener au creux de l’hiver. Une musique planante joue dans le petit speaker. Les gens de la communauté entrent graduellement et se promènent dans la salle pour contempler les œuvres des jeunes. Le groupe de drummers Moosetown se préparent dans le couloir. 

Je m’installe dans le kiosque de sérigraphie et commence à faire des chandails avec l’assistance d’un jeune impliqué dans l’exposition et qui connaît Exeko depuis au moins 3 ans. « Merci de m’aider avec la sérigraphie », je lui lance. « Ah, tu n’as pas à me remercier, j’aime ça passer du temps avec vous [Exeko], ce n’est pas un effort » qu’il me répond avec un sourire gêné. 

Moosetown prend le centre de la salle et, sans préavis, commence une chanson. Les personnes présentes se réorganisent autour du groupe. La parole laisse place à l’écoute. Une fois la chanson terminée, Kim remercie les personnes impliquées et la directrice d’école pour leur confiance et leur soutien. Puis, elle nous passe la balle. Je remercie la communauté de nous accueillir à nouveau et les jeunes pour leur participation et leur confiance, pour nous laisser entrer dans leur monde et de nous le partager. Nathalie, la directrice de l’école, prend un moment pour encourager les jeunes à continuer de s’impliquer dans les arts et autres projets scolaires. Moosetown enchaîne avec une deuxième chanson.

L’ouverture de l’événement est officiellement lancée ! 

Crédit photo : Exeko

En quelques minutes, autour de la toile, la création collective est prise en charge par des jeunes et autres personnes de la communauté viennent les rejoindre. En parallèle, la sérigraphie et les logos attirent beaucoup l’attention des jeunes et adultes présent.e.s. La station photo, avec la voie lactée et la lune comme sujets, impressionne plus d’un.e. Un beau moment de fierté pour le jeune  photographe ! 

A la fin de l’événement, il y a une forme de laisser-aller qui s’installe, une confiance entre les jeunes et nous, des bons ingrédients pour créer un bon lien. « Je suis contente de vous avoir rencontrés. Merci beaucoup pour les activités » qu’une d’entre les jeunes le plus impliquées nous lance sans préavis. L’autre jeune appuie avec un hochement de la tête. C’est le genre de phrase qui explique pourquoi nous faisons à Exeko ce que nous faisons.

Mikwetc ! Matcaci !

 

***

Pour plus d'informations à propos de nos projets avec les communautés des Premières Nations, découvrez Trickster, notre programme pour les jeunes autochtones qui, à travers des ateliers artistiques et réflexifs, sont guidés dans l’exploration, l’appropriation, la réinterprétation d’éléments culturels et de savoirs traditionnels, en étroite collaboration avec les intervenant.e.s de la communauté.

Trickster est un programme dont le déploiement est rendu possible en partie grâce au soutien de partenariats durables avec la Fondation Marcelle et Jean Coutu, le Ministère du Patrimoine canadien, la Fondation Dufresne et Gauthier, la Fondation Jeunes en tête et la Fondation RBA.  

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral