Mon premier Trickster

Par Alessia De Salis, Artiste-intervenante

Trickster@Waswanipi

 

Mon premier Trickster terminé. Deux semaines, qui ont passé en un instant mais qui m’ont semblé être 2 mois tellement elles étaient chargées. Des rencontres marquantes, des moments d’émotions, des jeunes inspirants et d’autres plus confrontants.

John* : un garçon de 14 ans, démotivé, désintéressé de l’école, de la vie. Premier jour du Trickster il se présente comme étant celui qui ne veut rien apprendre, ni savoir et surtout qui n’a rien à retirer de nos ateliers. Assis à l’écart des cercles de discussions, seinant autour des activités sans jamais vraiment y participer, il reste pourtant jusqu’à la fin du premier jour, puis du deuxième. 

 

(c) Exeko

 

À la troisième journée d’activités, de ses grosses mains malhabiles, il prend les bâtons fleurs, surtout pour les lancer sur ses collègues, ou simplement les lancer par terre lorsqu’on le regarde,  pour s’assurer qu’on sache qu’il n’est bon à rien.  Mais plus les jours passent, plus il trouve des moyens de subtilement se rapprocher du cercle de discussions et de rester un peu plus longtemps à la fin des ateliers…  Jour 4, jour 5, les bâtons fleurs sont toujours entre ses mains, et John est allongé à côté de moi, dans le cercle de discussions :

- On a juste fait un jeu aujourd’hui...on devrait en faire un autre.

Puis le concept du spectacle arrive. Les jeunes sont invités à présenter leurs «Tricks». Cette fois-ci, John refuse de venir se joindre à nous, il garde ses bâtons fleurs serrés contre lui, et va s’allonger sur le coté du gymnase pour nous indiquer clairement qu’il ne fera aucune présentation. Mais, quelques mots d’encouragements personnalisés et les applaudissements de ses collègues l’incitent à se relever de peine et de misère et à se diriger, très lentement, derrière le paravent. Puis, malgré sa peur envahissante, John sort de derrière du paravent pour venir d’abord lancer ses bâtons fleurs au sol, mais à travers les encouragements et les applaudissements il réussit à montrer ses «tricks» et surtout à surmonter sa peur.

 

(c) Exeko

 

Les jours passent et l’idée du spectacle se concrétise de plus en plus.  John, trouve toujours une manière de se désengager du spectacle malgré qu’il soit toujours le premier arrivé et le dernier parti des ateliers. Il pratique ses bâtons fleurs assidûment et même s’implique dans les scènes que nous pratiquons avec ses collègues. Lors de la mise en scène du numéro de bâtons fleurs, il me rappelle avec insistance sa partie dans le numéro, de peur que je l’oublie peut-être ou que je le mette de côté.  Mais chaque jour il continue de nommer les raisons de l’échec de notre spectacle.

La veille des représentations, nous apprenons qu’un Aîné est décédé et que nous devrons donc annuler le spectacle du soir par respect pour la communauté. C’est dans les yeux de John que je remarque la plus grande déception.

Tout de même, 2 représentations auront lieu devant les écoles le lendemain. La journée du spectacle, John vient me voir pour me dire à quel point il a peur, et comme tous ses amis, le stress l’envahit.

Mais maintenant ils ont tous la capacité d’en parler. Les jeunes se serrent dans leurs bras en coulisse, vérifient compulsivement leur «preset» et leur ordre de passage dans le spectacle.

 - J’ai peur que tout le monde rie de nous.

- Ouain, ils vont se foutre de notre gueule.

Avec eux, en coulisse, je sens le stress du show monter en moi, comme une maman poule. Et leurs petits bras fébriles qui viennent me quêter du réconfort. Je cache mon stress pour leur donner du courage au travers de grande phrases d’espoir que je crois trop «kétaine» mais, les yeux rivés sur moi, ils acceptent mes encouragements. Ils me regardent avec toute leur confiance et d’une grande inspiration, foncent sur scène.

 

(c) Exeko

 

Notre Légende raconte une histoire de courage, et les jeunes trouvent la force de monter sur scène et d’épater leur école au grand complet ainsi que tous les professeurs.

Après le spectacle, John est encore un des derniers à partir. Il réalise lentement que c’est la fin de l’aventure Trickster.  Assis devant nous, incapable de dire les mots, on sent toute la reconnaissance de John. Comme un petit animal, il va donner un calin maladroit à Manu.

John : Au début je ne croyais pas qu’on pouvait faire un spectacle…..mais je l’ai fait…!? Quand est-ce que vous revenez….

J’ai pas pleuré mais presque….

 

Merci à la communauté de Waswanipi pour leur accueil chaleureux!

Découvrez le programme Trickster ici

*Nom fictif

Mon premier Trickster

Par Alessia De Salis, Artiste-intervenante

Trickster@Waswanipi

 

Mon premier Trickster terminé. Deux semaines, qui ont passé en un instant mais qui m’ont semblé être 2 mois tellement elles étaient chargées. Des rencontres marquantes, des moments d’émotions, des jeunes inspirants et d’autres plus confrontants.

John* : un garçon de 14 ans, démotivé, désintéressé de l’école, de la vie. Premier jour du Trickster il se présente comme étant celui qui ne veut rien apprendre, ni savoir et surtout qui n’a rien à retirer de nos ateliers. Assis à l’écart des cercles de discussions, seinant autour des activités sans jamais vraiment y participer, il reste pourtant jusqu’à la fin du premier jour, puis du deuxième. 

 

(c) Exeko

 

À la troisième journée d’activités, de ses grosses mains malhabiles, il prend les bâtons fleurs, surtout pour les lancer sur ses collègues, ou simplement les lancer par terre lorsqu’on le regarde,  pour s’assurer qu’on sache qu’il n’est bon à rien.  Mais plus les jours passent, plus il trouve des moyens de subtilement se rapprocher du cercle de discussions et de rester un peu plus longtemps à la fin des ateliers…  Jour 4, jour 5, les bâtons fleurs sont toujours entre ses mains, et John est allongé à côté de moi, dans le cercle de discussions :

- On a juste fait un jeu aujourd’hui...on devrait en faire un autre.

Puis le concept du spectacle arrive. Les jeunes sont invités à présenter leurs «Tricks». Cette fois-ci, John refuse de venir se joindre à nous, il garde ses bâtons fleurs serrés contre lui, et va s’allonger sur le coté du gymnase pour nous indiquer clairement qu’il ne fera aucune présentation. Mais, quelques mots d’encouragements personnalisés et les applaudissements de ses collègues l’incitent à se relever de peine et de misère et à se diriger, très lentement, derrière le paravent. Puis, malgré sa peur envahissante, John sort de derrière du paravent pour venir d’abord lancer ses bâtons fleurs au sol, mais à travers les encouragements et les applaudissements il réussit à montrer ses «tricks» et surtout à surmonter sa peur.

 

(c) Exeko

 

Les jours passent et l’idée du spectacle se concrétise de plus en plus.  John, trouve toujours une manière de se désengager du spectacle malgré qu’il soit toujours le premier arrivé et le dernier parti des ateliers. Il pratique ses bâtons fleurs assidûment et même s’implique dans les scènes que nous pratiquons avec ses collègues. Lors de la mise en scène du numéro de bâtons fleurs, il me rappelle avec insistance sa partie dans le numéro, de peur que je l’oublie peut-être ou que je le mette de côté.  Mais chaque jour il continue de nommer les raisons de l’échec de notre spectacle.

La veille des représentations, nous apprenons qu’un Aîné est décédé et que nous devrons donc annuler le spectacle du soir par respect pour la communauté. C’est dans les yeux de John que je remarque la plus grande déception.

Tout de même, 2 représentations auront lieu devant les écoles le lendemain. La journée du spectacle, John vient me voir pour me dire à quel point il a peur, et comme tous ses amis, le stress l’envahit.

Mais maintenant ils ont tous la capacité d’en parler. Les jeunes se serrent dans leurs bras en coulisse, vérifient compulsivement leur «preset» et leur ordre de passage dans le spectacle.

 - J’ai peur que tout le monde rie de nous.

- Ouain, ils vont se foutre de notre gueule.

Avec eux, en coulisse, je sens le stress du show monter en moi, comme une maman poule. Et leurs petits bras fébriles qui viennent me quêter du réconfort. Je cache mon stress pour leur donner du courage au travers de grande phrases d’espoir que je crois trop «kétaine» mais, les yeux rivés sur moi, ils acceptent mes encouragements. Ils me regardent avec toute leur confiance et d’une grande inspiration, foncent sur scène.

 

(c) Exeko

 

Notre Légende raconte une histoire de courage, et les jeunes trouvent la force de monter sur scène et d’épater leur école au grand complet ainsi que tous les professeurs.

Après le spectacle, John est encore un des derniers à partir. Il réalise lentement que c’est la fin de l’aventure Trickster.  Assis devant nous, incapable de dire les mots, on sent toute la reconnaissance de John. Comme un petit animal, il va donner un calin maladroit à Manu.

John : Au début je ne croyais pas qu’on pouvait faire un spectacle…..mais je l’ai fait…!? Quand est-ce que vous revenez….

J’ai pas pleuré mais presque….

 

Merci à la communauté de Waswanipi pour leur accueil chaleureux!

Découvrez le programme Trickster ici

*Nom fictif

Mon premier Trickster

Par Alessia De Salis, Artiste-intervenante

Trickster@Waswanipi

 

Mon premier Trickster terminé. Deux semaines, qui ont passé en un instant mais qui m’ont semblé être 2 mois tellement elles étaient chargées. Des rencontres marquantes, des moments d’émotions, des jeunes inspirants et d’autres plus confrontants.

John* : un garçon de 14 ans, démotivé, désintéressé de l’école, de la vie. Premier jour du Trickster il se présente comme étant celui qui ne veut rien apprendre, ni savoir et surtout qui n’a rien à retirer de nos ateliers. Assis à l’écart des cercles de discussions, seinant autour des activités sans jamais vraiment y participer, il reste pourtant jusqu’à la fin du premier jour, puis du deuxième. 

 

(c) Exeko

 

À la troisième journée d’activités, de ses grosses mains malhabiles, il prend les bâtons fleurs, surtout pour les lancer sur ses collègues, ou simplement les lancer par terre lorsqu’on le regarde,  pour s’assurer qu’on sache qu’il n’est bon à rien.  Mais plus les jours passent, plus il trouve des moyens de subtilement se rapprocher du cercle de discussions et de rester un peu plus longtemps à la fin des ateliers…  Jour 4, jour 5, les bâtons fleurs sont toujours entre ses mains, et John est allongé à côté de moi, dans le cercle de discussions :

- On a juste fait un jeu aujourd’hui...on devrait en faire un autre.

Puis le concept du spectacle arrive. Les jeunes sont invités à présenter leurs «Tricks». Cette fois-ci, John refuse de venir se joindre à nous, il garde ses bâtons fleurs serrés contre lui, et va s’allonger sur le coté du gymnase pour nous indiquer clairement qu’il ne fera aucune présentation. Mais, quelques mots d’encouragements personnalisés et les applaudissements de ses collègues l’incitent à se relever de peine et de misère et à se diriger, très lentement, derrière le paravent. Puis, malgré sa peur envahissante, John sort de derrière du paravent pour venir d’abord lancer ses bâtons fleurs au sol, mais à travers les encouragements et les applaudissements il réussit à montrer ses «tricks» et surtout à surmonter sa peur.

 

(c) Exeko

 

Les jours passent et l’idée du spectacle se concrétise de plus en plus.  John, trouve toujours une manière de se désengager du spectacle malgré qu’il soit toujours le premier arrivé et le dernier parti des ateliers. Il pratique ses bâtons fleurs assidûment et même s’implique dans les scènes que nous pratiquons avec ses collègues. Lors de la mise en scène du numéro de bâtons fleurs, il me rappelle avec insistance sa partie dans le numéro, de peur que je l’oublie peut-être ou que je le mette de côté.  Mais chaque jour il continue de nommer les raisons de l’échec de notre spectacle.

La veille des représentations, nous apprenons qu’un Aîné est décédé et que nous devrons donc annuler le spectacle du soir par respect pour la communauté. C’est dans les yeux de John que je remarque la plus grande déception.

Tout de même, 2 représentations auront lieu devant les écoles le lendemain. La journée du spectacle, John vient me voir pour me dire à quel point il a peur, et comme tous ses amis, le stress l’envahit.

Mais maintenant ils ont tous la capacité d’en parler. Les jeunes se serrent dans leurs bras en coulisse, vérifient compulsivement leur «preset» et leur ordre de passage dans le spectacle.

 - J’ai peur que tout le monde rie de nous.

- Ouain, ils vont se foutre de notre gueule.

Avec eux, en coulisse, je sens le stress du show monter en moi, comme une maman poule. Et leurs petits bras fébriles qui viennent me quêter du réconfort. Je cache mon stress pour leur donner du courage au travers de grande phrases d’espoir que je crois trop «kétaine» mais, les yeux rivés sur moi, ils acceptent mes encouragements. Ils me regardent avec toute leur confiance et d’une grande inspiration, foncent sur scène.

 

(c) Exeko

 

Notre Légende raconte une histoire de courage, et les jeunes trouvent la force de monter sur scène et d’épater leur école au grand complet ainsi que tous les professeurs.

Après le spectacle, John est encore un des derniers à partir. Il réalise lentement que c’est la fin de l’aventure Trickster.  Assis devant nous, incapable de dire les mots, on sent toute la reconnaissance de John. Comme un petit animal, il va donner un calin maladroit à Manu.

John : Au début je ne croyais pas qu’on pouvait faire un spectacle…..mais je l’ai fait…!? Quand est-ce que vous revenez….

J’ai pas pleuré mais presque….

 

Merci à la communauté de Waswanipi pour leur accueil chaleureux!

Découvrez le programme Trickster ici

*Nom fictif

Mon premier Trickster

Par Alessia De Salis, Artiste-intervenante

Trickster@Waswanipi

 

Mon premier Trickster terminé. Deux semaines, qui ont passé en un instant mais qui m’ont semblé être 2 mois tellement elles étaient chargées. Des rencontres marquantes, des moments d’émotions, des jeunes inspirants et d’autres plus confrontants.

John* : un garçon de 14 ans, démotivé, désintéressé de l’école, de la vie. Premier jour du Trickster il se présente comme étant celui qui ne veut rien apprendre, ni savoir et surtout qui n’a rien à retirer de nos ateliers. Assis à l’écart des cercles de discussions, seinant autour des activités sans jamais vraiment y participer, il reste pourtant jusqu’à la fin du premier jour, puis du deuxième. 

 

(c) Exeko

 

À la troisième journée d’activités, de ses grosses mains malhabiles, il prend les bâtons fleurs, surtout pour les lancer sur ses collègues, ou simplement les lancer par terre lorsqu’on le regarde,  pour s’assurer qu’on sache qu’il n’est bon à rien.  Mais plus les jours passent, plus il trouve des moyens de subtilement se rapprocher du cercle de discussions et de rester un peu plus longtemps à la fin des ateliers…  Jour 4, jour 5, les bâtons fleurs sont toujours entre ses mains, et John est allongé à côté de moi, dans le cercle de discussions :

- On a juste fait un jeu aujourd’hui...on devrait en faire un autre.

Puis le concept du spectacle arrive. Les jeunes sont invités à présenter leurs «Tricks». Cette fois-ci, John refuse de venir se joindre à nous, il garde ses bâtons fleurs serrés contre lui, et va s’allonger sur le coté du gymnase pour nous indiquer clairement qu’il ne fera aucune présentation. Mais, quelques mots d’encouragements personnalisés et les applaudissements de ses collègues l’incitent à se relever de peine et de misère et à se diriger, très lentement, derrière le paravent. Puis, malgré sa peur envahissante, John sort de derrière du paravent pour venir d’abord lancer ses bâtons fleurs au sol, mais à travers les encouragements et les applaudissements il réussit à montrer ses «tricks» et surtout à surmonter sa peur.

 

(c) Exeko

 

Les jours passent et l’idée du spectacle se concrétise de plus en plus.  John, trouve toujours une manière de se désengager du spectacle malgré qu’il soit toujours le premier arrivé et le dernier parti des ateliers. Il pratique ses bâtons fleurs assidûment et même s’implique dans les scènes que nous pratiquons avec ses collègues. Lors de la mise en scène du numéro de bâtons fleurs, il me rappelle avec insistance sa partie dans le numéro, de peur que je l’oublie peut-être ou que je le mette de côté.  Mais chaque jour il continue de nommer les raisons de l’échec de notre spectacle.

La veille des représentations, nous apprenons qu’un Aîné est décédé et que nous devrons donc annuler le spectacle du soir par respect pour la communauté. C’est dans les yeux de John que je remarque la plus grande déception.

Tout de même, 2 représentations auront lieu devant les écoles le lendemain. La journée du spectacle, John vient me voir pour me dire à quel point il a peur, et comme tous ses amis, le stress l’envahit.

Mais maintenant ils ont tous la capacité d’en parler. Les jeunes se serrent dans leurs bras en coulisse, vérifient compulsivement leur «preset» et leur ordre de passage dans le spectacle.

 - J’ai peur que tout le monde rie de nous.

- Ouain, ils vont se foutre de notre gueule.

Avec eux, en coulisse, je sens le stress du show monter en moi, comme une maman poule. Et leurs petits bras fébriles qui viennent me quêter du réconfort. Je cache mon stress pour leur donner du courage au travers de grande phrases d’espoir que je crois trop «kétaine» mais, les yeux rivés sur moi, ils acceptent mes encouragements. Ils me regardent avec toute leur confiance et d’une grande inspiration, foncent sur scène.

 

(c) Exeko

 

Notre Légende raconte une histoire de courage, et les jeunes trouvent la force de monter sur scène et d’épater leur école au grand complet ainsi que tous les professeurs.

Après le spectacle, John est encore un des derniers à partir. Il réalise lentement que c’est la fin de l’aventure Trickster.  Assis devant nous, incapable de dire les mots, on sent toute la reconnaissance de John. Comme un petit animal, il va donner un calin maladroit à Manu.

John : Au début je ne croyais pas qu’on pouvait faire un spectacle…..mais je l’ai fait…!? Quand est-ce que vous revenez….

J’ai pas pleuré mais presque….

 

Merci à la communauté de Waswanipi pour leur accueil chaleureux!

Découvrez le programme Trickster ici

*Nom fictif

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral