"Je règne sur le chaos"

Après trois séances de création en plein air, c'est avec beaucoup de fierté et de satisfaction que s'achève la première oeuvre de Voies du hasard, première résidence artistique à bord d'une nouvelle série de 5, avec le soutien de l'arrondissement de Ville-Marie!

Tout débute de façon très ludique, avec de petites voitures téléguidées sur lesquelles sont fixés minutieusement de gros feutres. Jani, Fred, Vinciane et Dorothée s'installent au square Emilie Gamelin, avec de larges supports de bois, (gracieusement donnés par Support Surface) et font rouler les micro bolides. La réaction des passants ne se fait pas attendre : en quoi cela consiste t il? quel est le but du jeu? Nous invitons petits et grands à s'emparer des commandes, à laisser leur trace sur le panneau. Certains ne se font pas prier, les yeux brillants d'une magie enfantine, d'autres plus sceptiques, regardent de loin avant de se laisser amadouer, irrésistiblement attirés par les éclats de rire qui émanent de l'oeuvre sur laquelle se produisent courses et collisions!

Collisions de voiturettes (c) Exeko

L'équipe prend le chemin du quartier latin, avant de terminer sa première séance de création au Centre d'Amitié Autochtone, où auront lieu les deux séances suivantes. La grande salle est pleine : enfants, jeunes parents, ainés, personnes en situation d'itinérance, intervenants, là encore la contagion fait son effet, et les cultures se mélangent. Gilbert sera ce soir là l'un des derniers participants, non content d'avoir trouvé un moyen d'imposer des traits qui se démarquent de la cartographie qui commence à se dessiner.

Tracés au Centre d'Amitié Autochtone de Montréal (c) Exeko

Le lendemain, nous installons notre atelier ponctuel devant le Centre. Ce jour là, Fred et ses coéquipiers animent une discusion autour des tracés, avec les passants : qu'y s'y dessine t il? Que lire dans ces lignes chaotiques, dans ces lignes de rencontre? Les avis divergent, et les participants sont invités à venir tracer au ruban adhésif leurs formes sur le panneau. On vote. C'est finalement un aigle qui jaillira du panneau, animal symbolique dans les traditions autochtones. On délimite les zones, on détermine les couleurs et, tandis que Fred jongle avec les teintes et décline des camaieux de bleus et de verts, débute le processus de colorisation.

Là encore, la foule est très métissée. Certains s'arrête quelques minutes, d'autres suivent le processus depuis la veille, recrutent des passants, leur expliquent le projet à leur façon. On jase, on fait connaissance, on se joue des tours, tout en apposant les couleurs sur la tête du volatile, bercés par le rythme des tambours que frappent les drumers dans le centre. Quelques touristes passent, sont invités à venir écouter, repartent ravis de leur découverte.

La tête d'aigle (c) Exeko

Jeudi, le soleil innonde le trottoir sur lequel nous reprenons le processus. Pas de temps à perdre, l'oeuvre s'achèvera dans quelques heures. On retrouve certains artistes de la veille, d'autres nouveaux, s'active des heures durant sur notre volatile, dont le plumage rougeoie chaque minute un peu plus. On cherche un titre, on refléchit sur ce qu'il adviendra de la toile, mais aussi de l'arrière plan. Faut il masquer les tracés? Laisser transparaitre le processus? Enfermer l'oiseau? Etudiants, travailleurs, musiciens, tout le monde a son mot à dire.

Colorisation (c) Exeko

Des titres sont proposés : Je règne sur le Chaos, Un Aigle dans la Ville, le Barbouilleur ordonné... visiblement l'oeuvre inspire! Après réflexion, Danny, l'un des participant, trouve que l'aigle s'est effacé au profit d'un perroquet! Les discussions continuent sur nos réseaux sociaux!

Autour de ce symbole puissant et de quelques pinceaux, plus de 75 participants auront contribué en 3 jours à la réalisation de l'oeuvre. Ainsi, nous remercions tout particulièrement Lava, Marc, Rick, Quintero Himaro, Jerry, Violet, Simiuni, Alexis, Nezha, Laura, Nien Tzu Weng, Weronika, Raymond, Marina, Marie Andrée, Jean, Chainae, Eugénie, Claudia, Gabrielle, Laure, Apolline, Marina, Dany, Anne Marie, Simon E. Simon J., Jennifer, Gilles, Mudd, Nurya, Melinda, Mara, Frederic C., Gilbert, Minh, Louis, Claude, Diane, Simon A., Elizabeth, Marie Christine, Hershel, Sylvie, Mina, Mary, Tamara, Mario, Gilard, Sonia, Jamie, Sarah, Vanessa, Antonia, Catherine, Hugo, Hesam, Clément G., Clément D, Maude, Matt, Elise, Tamara, Alya, Abderrahmane, Pierre, Ejike, Ben, Marion, ainsi que nos bénévoles James et Lilith, Jani, Dorothée et Vinciane, membres de l'équipe, Frederic Peloquin, artiste médiateur, ainsi que toutes les petites mains anonymes qui ont contribué lors de ces trois belles journées! 

 

L'oeuvre (presque!) achevée (c) Exeko

Il nous tarde de vous retrouver aux prochaines dates de création : 

Deuxième oeuvre

Mardi 23 septembre, de 12h à 16h, à bord de idAction Mobile Jeudi 25 septembre, de 10h30 à 14h, devant le Toit Rouge Lundi 29 septembre de 10h30 à 14h, devant le Toit Rouge  

Troisième oeuvre

26 septembre, de 11h à 19h - journées de la culture : l'oeuvre sera réalisée intégralement pendant cette journée : détails à venir!  

Quatrième oeuvre

Mercredi 1er octobre, de 12h à 16h, à bord de idAction Mobile Jeudi 2 octobre - horaires à confirmer, devant Open Door Mardi 7 octobre - horaires à confirmer, devant Open Door  

"Je règne sur le chaos"

Après trois séances de création en plein air, c'est avec beaucoup de fierté et de satisfaction que s'achève la première oeuvre de Voies du hasard, première résidence artistique à bord d'une nouvelle série de 5, avec le soutien de l'arrondissement de Ville-Marie!

Tout débute de façon très ludique, avec de petites voitures téléguidées sur lesquelles sont fixés minutieusement de gros feutres. Jani, Fred, Vinciane et Dorothée s'installent au square Emilie Gamelin, avec de larges supports de bois, (gracieusement donnés par Support Surface) et font rouler les micro bolides. La réaction des passants ne se fait pas attendre : en quoi cela consiste t il? quel est le but du jeu? Nous invitons petits et grands à s'emparer des commandes, à laisser leur trace sur le panneau. Certains ne se font pas prier, les yeux brillants d'une magie enfantine, d'autres plus sceptiques, regardent de loin avant de se laisser amadouer, irrésistiblement attirés par les éclats de rire qui émanent de l'oeuvre sur laquelle se produisent courses et collisions!

Collisions de voiturettes (c) Exeko

L'équipe prend le chemin du quartier latin, avant de terminer sa première séance de création au Centre d'Amitié Autochtone, où auront lieu les deux séances suivantes. La grande salle est pleine : enfants, jeunes parents, ainés, personnes en situation d'itinérance, intervenants, là encore la contagion fait son effet, et les cultures se mélangent. Gilbert sera ce soir là l'un des derniers participants, non content d'avoir trouvé un moyen d'imposer des traits qui se démarquent de la cartographie qui commence à se dessiner.

Tracés au Centre d'Amitié Autochtone de Montréal (c) Exeko

Le lendemain, nous installons notre atelier ponctuel devant le Centre. Ce jour là, Fred et ses coéquipiers animent une discusion autour des tracés, avec les passants : qu'y s'y dessine t il? Que lire dans ces lignes chaotiques, dans ces lignes de rencontre? Les avis divergent, et les participants sont invités à venir tracer au ruban adhésif leurs formes sur le panneau. On vote. C'est finalement un aigle qui jaillira du panneau, animal symbolique dans les traditions autochtones. On délimite les zones, on détermine les couleurs et, tandis que Fred jongle avec les teintes et décline des camaieux de bleus et de verts, débute le processus de colorisation.

Là encore, la foule est très métissée. Certains s'arrête quelques minutes, d'autres suivent le processus depuis la veille, recrutent des passants, leur expliquent le projet à leur façon. On jase, on fait connaissance, on se joue des tours, tout en apposant les couleurs sur la tête du volatile, bercés par le rythme des tambours que frappent les drumers dans le centre. Quelques touristes passent, sont invités à venir écouter, repartent ravis de leur découverte.

La tête d'aigle (c) Exeko

Jeudi, le soleil innonde le trottoir sur lequel nous reprenons le processus. Pas de temps à perdre, l'oeuvre s'achèvera dans quelques heures. On retrouve certains artistes de la veille, d'autres nouveaux, s'active des heures durant sur notre volatile, dont le plumage rougeoie chaque minute un peu plus. On cherche un titre, on refléchit sur ce qu'il adviendra de la toile, mais aussi de l'arrière plan. Faut il masquer les tracés? Laisser transparaitre le processus? Enfermer l'oiseau? Etudiants, travailleurs, musiciens, tout le monde a son mot à dire.

Colorisation (c) Exeko

Des titres sont proposés : Je règne sur le Chaos, Un Aigle dans la Ville, le Barbouilleur ordonné... visiblement l'oeuvre inspire! Après réflexion, Danny, l'un des participant, trouve que l'aigle s'est effacé au profit d'un perroquet! Les discussions continuent sur nos réseaux sociaux!

Autour de ce symbole puissant et de quelques pinceaux, plus de 75 participants auront contribué en 3 jours à la réalisation de l'oeuvre. Ainsi, nous remercions tout particulièrement Lava, Marc, Rick, Quintero Himaro, Jerry, Violet, Simiuni, Alexis, Nezha, Laura, Nien Tzu Weng, Weronika, Raymond, Marina, Marie Andrée, Jean, Chainae, Eugénie, Claudia, Gabrielle, Laure, Apolline, Marina, Dany, Anne Marie, Simon E. Simon J., Jennifer, Gilles, Mudd, Nurya, Melinda, Mara, Frederic C., Gilbert, Minh, Louis, Claude, Diane, Simon A., Elizabeth, Marie Christine, Hershel, Sylvie, Mina, Mary, Tamara, Mario, Gilard, Sonia, Jamie, Sarah, Vanessa, Antonia, Catherine, Hugo, Hesam, Clément G., Clément D, Maude, Matt, Elise, Tamara, Alya, Abderrahmane, Pierre, Ejike, Ben, Marion, ainsi que nos bénévoles James et Lilith, Jani, Dorothée et Vinciane, membres de l'équipe, Frederic Peloquin, artiste médiateur, ainsi que toutes les petites mains anonymes qui ont contribué lors de ces trois belles journées! 

 

L'oeuvre (presque!) achevée (c) Exeko

Il nous tarde de vous retrouver aux prochaines dates de création : 

Deuxième oeuvre

Mardi 23 septembre, de 12h à 16h, à bord de idAction Mobile Jeudi 25 septembre, de 10h30 à 14h, devant le Toit Rouge Lundi 29 septembre de 10h30 à 14h, devant le Toit Rouge  

Troisième oeuvre

26 septembre, de 11h à 19h - journées de la culture : l'oeuvre sera réalisée intégralement pendant cette journée : détails à venir!  

Quatrième oeuvre

Mercredi 1er octobre, de 12h à 16h, à bord de idAction Mobile Jeudi 2 octobre - horaires à confirmer, devant Open Door Mardi 7 octobre - horaires à confirmer, devant Open Door  

Rencontrer, échanger, créer, participer : bienvenue à l'École d'été de l'Institut du Nouveau Monde!

Peut-être aviez-vous suivi l'année passée notre participation à l'école d'été 2013, ce grand rassemblement tourné vers la jeunesse organisé chaque année et ce, depuis 10 ans, par l'Institut du Nouveau Monde (INM). Sa programmation riche et diversifiée à travers des activités et des rencontres d'acteurs et d'invités engagés, donne des outils et des pistes de reflexion afin d'encourager l'action et dynamiser la démocratie.

À peine l'édition 2013 terminée, Joël, enchanté par son expérience, me questionnait déjà : « Bon, et l'année prochaine, il se passe quoi ? Penses-tu qu'on pourra revenir ? On fait quand même une belle équipe...» Bien d'accord avec toi, Joël ! Il nous faudrait trouver un parrain, prêt à s'engager avec nous et permettre notre venue.

Un an plus tard, voilà l'été qui arrive... notre impatience et les bonnes surprises surgissent elles aussi.

Avec grand naturel, et par le plus pur des hasards, Joël s'était joint à la rencontre-bilan de l'équipe de l'école d'été après l'édition 2013. Alors, pour agrandir ses chances d'y être cette année, pourquoi ne pas voir directement avec l'équipe après tout ? Joël prend donc l'initiative de contacter directement l'INM et discuter des possibilités d'un partenariat. Et bien oui, démontrer sa volonté d'engagement citoyen est une forme d'implication dans la vie démocratique en soi. Le Forum jeunesse de l'Île de Montréal, autre organisme valorisant l'engagement des jeunes, appuiera le parrainage d'Agnès. Notre volonté et notre détermination se trouvent récompensées !

Vient le temps de faire ses choix.... car l'équipe de l'INM, cette année encore, nous gâte d'une programmation riche et variée : 5 profils thématiques (innovation, entrepreneuriat, exploration, artistique, communication), dîner-conférence, soirée d'improvisation, récits de vie, café-citoyen, atelier délocalisé, création de projets....

Alors, parce qu'au-delà d'un texte, l'école d'été reste une expérience personnelle, nous avons choisi de vous illustrer en images et en mots clés, notre expérience.

 

Joël en grande discussion avec Mylène Paquette, première Nord-Américaine à réussir la traversée de l'Atlantique Nord à la rame en solitaire. La volonté et la persévérance peuvent venir à bout des plus grands défis. © Exeko

ENGAGEMENT

ÉCHANGE

Café-citoyen : se rassembler et trouver des solutions innovantes aux inégalités sociales © Exeko

IDÉE

VOLONTÉ

                     

Lis Suarez Visbal-Ensink, fondatrice de FEM International, entrepreneure sociale engagée envers le développement économique des femmes d'ici et d'ailleurs © Exeko

 

EXPÉRIENCE

CHANGEMENT

Peut-on participer à la vie démocratique alors qu'on ne peut assurer sa participation aux élections faute d'adresse et de preuve d'identité ?

Céline Bellot, professeur à l'École de service social (Université de Montréal), Louise Waridel, responsable du centre de jour La rue des Femmes de Montréal et Dorothée de Collasson, notre chargée de projet idAction Mobile, vous prouvent que OUI ! © Exeko

Découvrez comment, en lisant "Le mépris, la pire des injustices", article de Karina, participante à l'école d'été.

SURPRISE

DIVERSITÉ

Lisa Gravel et Juan Carlos Londono, fondateurs de Lupuna, nous parlent de leadership participatif ! Ou comment explorer en groupe de nouvelles façons d'interagir ensemble © Exeko

IMPRÉVU 

ÉMOTION 

Ellen Gabriel, activiste autochtone du territoire Mohawk de Kanehsatàk:ek, Widia Larivière, coordinatrice jeunesse à Femmes autochtones du Québec et Martin Papillon, professeur agrégé à l'Université de Montréal, discutent des enjeux de la reconnaissance et de la souveraineté des peuples autochtones.

Joël s'exprime alors pour apporter la question cruciale des tiraillement culturels, ces "double-identités", celles des Métis, lui-même se définissant comme Attikamek et Québécois. © Exeko

RÉSILIENCE 

INSPIRATION

Il y a de ces personnes et de ces moments qu'on oublie pas. Diomède Niyonzima résume à lui tout seul ce que le mot "résilience" incarne.

Contrer la violence et la cruauté en luttant à la source : l'ignorance et la pauvreté. Il s'y applique chaque jour à travers l'organisme qu'il a créée, Kira Burundi, qui vise à soutenir les enfants de la rue de la ville de Ngozi au Burundi © INM.

Le témoignage sans doute le plus fort et le plus inspirant pour nous....

RENCONTRE

AMITIÉ

En présentant sa participation à Métissage Urbain et à un projet de recherche universitaire, Joël prouve qu'il existe d'autres formes d'expression citoyenne... et pas uniquement le vote. © Exeko

De ce témoignage, Joël s'associe à Maïthé, apprentie-journaliste, et devient le photographe de son article "Qu'est-ce que le réel chez soi?", encore une autre expérience de participation citoyenne !

 

À travers ce récit, nous avons tâché de vous faire vivre un peu de notre expérience. Reste que celle-ci est particulière à chacun, alors, vous aussi, écoutez, échangez, participez !

Joël et Agnès adressent un grand MERCI à l'équipe de l'INM et du FJÎM pour nous avoir donné l'opportunité de participer à cette belle aventure.

 

inm.qc.ca

fjim.org

exeko.org

 

Rencontrer, échanger, créer, participer : bienvenue à l'École d'été de l'Institut du Nouveau Monde!

Peut-être aviez-vous suivi l'année passée notre participation à l'école d'été 2013, ce grand rassemblement tourné vers la jeunesse organisé chaque année et ce, depuis 10 ans, par l'Institut du Nouveau Monde (INM). Sa programmation riche et diversifiée à travers des activités et des rencontres d'acteurs et d'invités engagés, donne des outils et des pistes de reflexion afin d'encourager l'action et dynamiser la démocratie.

À peine l'édition 2013 terminée, Joël, enchanté par son expérience, me questionnait déjà : « Bon, et l'année prochaine, il se passe quoi ? Penses-tu qu'on pourra revenir ? On fait quand même une belle équipe...» Bien d'accord avec toi, Joël ! Il nous faudrait trouver un parrain, prêt à s'engager avec nous et permettre notre venue.

Un an plus tard, voilà l'été qui arrive... notre impatience et les bonnes surprises surgissent elles aussi.

Avec grand naturel, et par le plus pur des hasards, Joël s'était joint à la rencontre-bilan de l'équipe de l'école d'été après l'édition 2013. Alors, pour agrandir ses chances d'y être cette année, pourquoi ne pas voir directement avec l'équipe après tout ? Joël prend donc l'initiative de contacter directement l'INM et discuter des possibilités d'un partenariat. Et bien oui, démontrer sa volonté d'engagement citoyen est une forme d'implication dans la vie démocratique en soi. Le Forum jeunesse de l'Île de Montréal, autre organisme valorisant l'engagement des jeunes, appuiera le parrainage d'Agnès. Notre volonté et notre détermination se trouvent récompensées !

Vient le temps de faire ses choix.... car l'équipe de l'INM, cette année encore, nous gâte d'une programmation riche et variée : 5 profils thématiques (innovation, entrepreneuriat, exploration, artistique, communication), dîner-conférence, soirée d'improvisation, récits de vie, café-citoyen, atelier délocalisé, création de projets....

Alors, parce qu'au-delà d'un texte, l'école d'été reste une expérience personnelle, nous avons choisi de vous illustrer en images et en mots clés, notre expérience.

 

Joël en grande discussion avec Mylène Paquette, première Nord-Américaine à réussir la traversée de l'Atlantique Nord à la rame en solitaire. La volonté et la persévérance peuvent venir à bout des plus grands défis. © Exeko

ENGAGEMENT

ÉCHANGE

Café-citoyen : se rassembler et trouver des solutions innovantes aux inégalités sociales © Exeko

IDÉE

VOLONTÉ

                     

Lis Suarez Visbal-Ensink, fondatrice de FEM International, entrepreneure sociale engagée envers le développement économique des femmes d'ici et d'ailleurs © Exeko

 

EXPÉRIENCE

CHANGEMENT

Peut-on participer à la vie démocratique alors qu'on ne peut assurer sa participation aux élections faute d'adresse et de preuve d'identité ?

Céline Bellot, professeur à l'École de service social (Université de Montréal), Louise Waridel, responsable du centre de jour La rue des Femmes de Montréal et Dorothée de Collasson, notre chargée de projet idAction Mobile, vous prouvent que OUI ! © Exeko

Découvrez comment, en lisant "Le mépris, la pire des injustices", article de Karina, participante à l'école d'été.

SURPRISE

DIVERSITÉ

Lisa Gravel et Juan Carlos Londono, fondateurs de Lupuna, nous parlent de leadership participatif ! Ou comment explorer en groupe de nouvelles façons d'interagir ensemble © Exeko

IMPRÉVU 

ÉMOTION 

Ellen Gabriel, activiste autochtone du territoire Mohawk de Kanehsatàk:ek, Widia Larivière, coordinatrice jeunesse à Femmes autochtones du Québec et Martin Papillon, professeur agrégé à l'Université de Montréal, discutent des enjeux de la reconnaissance et de la souveraineté des peuples autochtones.

Joël s'exprime alors pour apporter la question cruciale des tiraillement culturels, ces "double-identités", celles des Métis, lui-même se définissant comme Attikamek et Québécois. © Exeko

RÉSILIENCE 

INSPIRATION

Il y a de ces personnes et de ces moments qu'on oublie pas. Diomède Niyonzima résume à lui tout seul ce que le mot "résilience" incarne.

Contrer la violence et la cruauté en luttant à la source : l'ignorance et la pauvreté. Il s'y applique chaque jour à travers l'organisme qu'il a créée, Kira Burundi, qui vise à soutenir les enfants de la rue de la ville de Ngozi au Burundi © INM.

Le témoignage sans doute le plus fort et le plus inspirant pour nous....

RENCONTRE

AMITIÉ

En présentant sa participation à Métissage Urbain et à un projet de recherche universitaire, Joël prouve qu'il existe d'autres formes d'expression citoyenne... et pas uniquement le vote. © Exeko

De ce témoignage, Joël s'associe à Maïthé, apprentie-journaliste, et devient le photographe de son article "Qu'est-ce que le réel chez soi?", encore une autre expérience de participation citoyenne !

 

À travers ce récit, nous avons tâché de vous faire vivre un peu de notre expérience. Reste que celle-ci est particulière à chacun, alors, vous aussi, écoutez, échangez, participez !

Joël et Agnès adressent un grand MERCI à l'équipe de l'INM et du FJÎM pour nous avoir donné l'opportunité de participer à cette belle aventure.

 

inm.qc.ca

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exeko.org

 

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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral