Ma première expérience de bénévole : de la Poésie en situation d'itinérance

Par Maud Bousquet, bénévole

Ce matin j’ai rencontré la Poésie. Ce n’était pourtant pas avec elle que j’avais rendez-vous mais avec Daniel et Maxime, deux médiateurs de idAction ainsi que Michel, Robert, Yann et d’autres poètes de l’instant. Elle se déclinait ainsi en onze figures de style, des pensées réunies pour former le vers et souffler le rythme autour d’une question : l’imagination (notamment dans l’art) est-elle une fuite ou une libération ?  

Ce matin, l’oralité était le ciment de ce que j’aime appeler pour l’occasion, de la Poésie polysémique. La ponctuation en fut réinventée. Quelques virgules de rire entre une multitude de réflexions éclairées, tantôt historiques tantôt anecdotiques. Des briques de mots remplies de sens. Un Tétris lyrique sur l’Imagination suivie d’une strophe sur la Fuite, la Libération, l’Art, le Rêve.

Et ce bon vieux Dali de s’étonner de l’analyse critique faite à son sujet lorsque Maxime présenta une de ses toiles. « Auriez-vous quelques problèmes de santé émotionnelle Salvador ? » Je ne fais que passer le message mais ce sont en tout cas les charges retenues contre vous ce matin malgré des jurés admiratifs (ou en tout cas conciliants avec la folie artistique). Et quelqu’un d’ajouter pour votre défense que « l’art étant de la communication, il peut être réinterprété mille fois ».

Ce matin, la discussion ne rimait pas, même si pleine de musicalité. C’était un échange  plus proche de la prose poétique. Exit l’alexandrin formel. On lui a préféré le lâcher prise, tout en étant agréablement dirigés par les deux chefs d’orchestre. « L’Art est synonyme de libération » a conclu quelqu’un, il permet «  de réaliser des rêves, ou en tout cas des les faire exister en peinture ». Je n’aurais pas dit mieux. Pour la poésie en situation d’itinérance, l’imagination c’est aussi « un point de départ vers le passé »…

Je vous passe les détails mais, ce matin, j’ai aussi côtoyé la Philosophie.  

(c) Maud Bousquet

Maud Bousquet, étudiante en création littéraire à l'UQAM, est bénévole à Exeko depuis une semaine. Mercredi, elle participait à l'atelier hebdomadaire idAction à l'Accueil Bonneau.

Accompagner les médiateurs sur le terrain, photographie, création graphique... Faites comme Maud, rejoignez notre super gang de bénévoles!

Photo en-tête : idAction Mobile vu par Mikaël Theimer (c) Exeko

Ma première expérience de bénévole : de la Poésie en situation d'itinérance

Par Maud Bousquet, bénévole

Ce matin j’ai rencontré la Poésie. Ce n’était pourtant pas avec elle que j’avais rendez-vous mais avec Daniel et Maxime, deux médiateurs de idAction ainsi que Michel, Robert, Yann et d’autres poètes de l’instant. Elle se déclinait ainsi en onze figures de style, des pensées réunies pour former le vers et souffler le rythme autour d’une question : l’imagination (notamment dans l’art) est-elle une fuite ou une libération ?  

Ce matin, l’oralité était le ciment de ce que j’aime appeler pour l’occasion, de la Poésie polysémique. La ponctuation en fut réinventée. Quelques virgules de rire entre une multitude de réflexions éclairées, tantôt historiques tantôt anecdotiques. Des briques de mots remplies de sens. Un Tétris lyrique sur l’Imagination suivie d’une strophe sur la Fuite, la Libération, l’Art, le Rêve.

Et ce bon vieux Dali de s’étonner de l’analyse critique faite à son sujet lorsque Maxime présenta une de ses toiles. « Auriez-vous quelques problèmes de santé émotionnelle Salvador ? » Je ne fais que passer le message mais ce sont en tout cas les charges retenues contre vous ce matin malgré des jurés admiratifs (ou en tout cas conciliants avec la folie artistique). Et quelqu’un d’ajouter pour votre défense que « l’art étant de la communication, il peut être réinterprété mille fois ».

Ce matin, la discussion ne rimait pas, même si pleine de musicalité. C’était un échange  plus proche de la prose poétique. Exit l’alexandrin formel. On lui a préféré le lâcher prise, tout en étant agréablement dirigés par les deux chefs d’orchestre. « L’Art est synonyme de libération » a conclu quelqu’un, il permet «  de réaliser des rêves, ou en tout cas des les faire exister en peinture ». Je n’aurais pas dit mieux. Pour la poésie en situation d’itinérance, l’imagination c’est aussi « un point de départ vers le passé »…

Je vous passe les détails mais, ce matin, j’ai aussi côtoyé la Philosophie.  

(c) Maud Bousquet

Maud Bousquet, étudiante en création littéraire à l'UQAM, est bénévole à Exeko depuis une semaine. Mercredi, elle participait à l'atelier hebdomadaire idAction à l'Accueil Bonneau.

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Photo en-tête : idAction Mobile vu par Mikaël Theimer (c) Exeko

Ma première expérience de bénévole : de la Poésie en situation d'itinérance

Par Maud Bousquet, bénévole

Ce matin j’ai rencontré la Poésie. Ce n’était pourtant pas avec elle que j’avais rendez-vous mais avec Daniel et Maxime, deux médiateurs de idAction ainsi que Michel, Robert, Yann et d’autres poètes de l’instant. Elle se déclinait ainsi en onze figures de style, des pensées réunies pour former le vers et souffler le rythme autour d’une question : l’imagination (notamment dans l’art) est-elle une fuite ou une libération ?  

Ce matin, l’oralité était le ciment de ce que j’aime appeler pour l’occasion, de la Poésie polysémique. La ponctuation en fut réinventée. Quelques virgules de rire entre une multitude de réflexions éclairées, tantôt historiques tantôt anecdotiques. Des briques de mots remplies de sens. Un Tétris lyrique sur l’Imagination suivie d’une strophe sur la Fuite, la Libération, l’Art, le Rêve.

Et ce bon vieux Dali de s’étonner de l’analyse critique faite à son sujet lorsque Maxime présenta une de ses toiles. « Auriez-vous quelques problèmes de santé émotionnelle Salvador ? » Je ne fais que passer le message mais ce sont en tout cas les charges retenues contre vous ce matin malgré des jurés admiratifs (ou en tout cas conciliants avec la folie artistique). Et quelqu’un d’ajouter pour votre défense que « l’art étant de la communication, il peut être réinterprété mille fois ».

Ce matin, la discussion ne rimait pas, même si pleine de musicalité. C’était un échange  plus proche de la prose poétique. Exit l’alexandrin formel. On lui a préféré le lâcher prise, tout en étant agréablement dirigés par les deux chefs d’orchestre. « L’Art est synonyme de libération » a conclu quelqu’un, il permet «  de réaliser des rêves, ou en tout cas des les faire exister en peinture ». Je n’aurais pas dit mieux. Pour la poésie en situation d’itinérance, l’imagination c’est aussi « un point de départ vers le passé »…

Je vous passe les détails mais, ce matin, j’ai aussi côtoyé la Philosophie.  

(c) Maud Bousquet

Maud Bousquet, étudiante en création littéraire à l'UQAM, est bénévole à Exeko depuis une semaine. Mercredi, elle participait à l'atelier hebdomadaire idAction à l'Accueil Bonneau.

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Photo en-tête : idAction Mobile vu par Mikaël Theimer (c) Exeko

idAction au Musée des beaux-arts : quand art inuit et art contemporain se rencontrent

La semaine dernière se terminait notre premier cycle d’ateliers idAction au Module du nord québécois. Grâce à l’accueil et l’enthousiasme contagieux des participants (des Inuit en séjour médical à Montréal), ces ateliers nous ont transportés au Nunavik, à travers la confection d’une murale inclusive, le visionnement de films sur les traditions inuit, une sortie de pêche sur glace ainsi qu'une visite au Musée McCord.

Nous ne pouvions concevoir la clôture de ces ateliers sans une visite au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) qui possède une collection exceptionnelle de sculptures, dessins et estampes inuit du Nunavut et Nunavik. C’est dans le cadre de leur programme Musée en partage qu’Exeko fut invité à y animer un atelier idAction au sein de leur collection d’art québécois et canadien.

Sept participantes et participants originaires de Kuujjuaq, Akulivik, Puvirnituq et Umiujaq ont accepté de nous accompagner à cette sortie. L’idée de départ était toute simple : nous désirions tout d’abord avoir une visite personnalisée de la collection inuit, commentée par les participants. Nous croyons qu’il n’y a pas meilleurs experts à propos de l’art inuit que des inuit eux-mêmes, surtout lorsqu’ils sont aussi sculpteurs (ce qui était le cas pour 4 de nos participants).

(c) Michel Dubreuil

 

« Je connais cet artiste, et je l'ai vu sculpter cette pièce »

Non seulement les participants s’y connaissaient en art inuit, mais ils étaient aussi des proches de certains artistes dont les œuvres sont exposées au MBAM. Notamment, une dame de Puvirnituq qui aurait voulu nous accompagner (mais qui n’a pu se libérer de son rôle d’accompagnatrice médicale ce jour-là), a été particulièrement interpelée par l’œuvre utilisée pour notre affiche de recrutement. Représentant un groupe d’Inuit migrant à bord d’une embarcation traditionnelle, cette fameuse sculpture de Joe Talirunnilik (Talirunili) (1893-1976, Puvirtnituq, Nunavik) est évocatrice d’un grand savoir-faire de la part de l’artiste, ainsi qu’un pan de l’histoire locale des Inuit de cette région. Nous nous attendions à tout comme commentaire, sauf celui de cette dame : « Je connais cet artiste, et je l’ai vu sculpter cette pièce. J’étais à côté de lui, il me laissait le regarder travailler quand j’étais petite ».  

Untitled (Migration), 1964. Artist: Joe Talirunnilik (Talirunili), Puvirnituq, 1893-1976 Steatite, sealskin, bone, synthetic sinew, red paint

(c) Musée des beaux-arts de Montréal  

À propos de cette même pièce, la guide du MBAM qui nous accompagnait durant cette sortie nous a expliqué que l’artiste s’est représenté lui-même dans le groupe d’Inuit à bord du bateau (c’est le petit garçon qui s’étire le cou au centre). L’œuvre représente l’histoire de gens qui on été pris dans des glaces flottantes au printemps et qui ont survécu grâce à leur ingéniosité en fabriquant cette embarcation avec du bois flotté. Et en dessous de la pièce, l’artiste a écrit le nom de chaque personne qui a ainsi survécu à cette aventure. En entendant cela, une des participantes se demanda pourquoi ces précieuses informations ne figurent pas dans l’exposition? Et du même élan elle proposa une solution : photographier ledit dessous de la sculpture, et présenter la photo à côté de l’objet avec l’explication de l’histoire.

 

La transmission d'un savoir par les participants

Il n’y a pas assez de place dans cet article de blogue pour vous communiquer toutes les histoires que les participants nous ont racontées à propos de ces œuvres, histoires qui allaient de précision techniques à propos des types de pierre et matières osseuses utilisés comme support artistique, à des descriptions des savoirs et coutumes inuit évoquées par ces pièces, des connaissances sur les animaux représentés, aux histoires personnelles que ces objets d’art rappelaient aux participants. Et finalement, fidèles à la façon d’être et de faire inuit, les participants ont exercé leur humour en commentant entre eux les pièces, décrochant de nombreux rires parmi le groupe tout au long de la visite. Cet humour typiquement inuit sert à enseigner des choses importantes de la vie, et démontre bien leur résilience lors de moments stressants, telles les visites médicales à Montréal.

Nous avons aussi visité d’autres portions des collections d’art canadien et québécois du MBAM, nous positionnant alors dans un mode davantage découverte et interprétation libre. Nous avons donc échangé nos perspectives à propos d’art traditionnel et contemporain autochtone de la côte Nord-Ouest (Haida, Tlingit), autour des œuvres incisives, humoristiques et critiques de l’artiste-peintre cri Kent Monkman, tout en papillonnant entre Jean-Paul Riopelle, Paule-Émile Borduas, Guido Molinari, et j’en passe.

(c) Michel Dubreuil  

Je termine cet article en réfléchissant au titre que je lui ai donné. Peut-on vraiment faire la distinction entre l’art inuit et l’art contemporain? Je ne pense pas. Mais parle-t-on ici de la même chose? Absolument pas. À la lumière de cette visite idAction avec les participants du Module du nord québécois, je pense que la question reste ouverte, et nécessiterait de plus amples réflexions, idéalement avec des artistes inuit et non inuit. Une idée pour un prochain atelier en milieu muséal? À suivre… 

 

Pour en savoir plus, découvrez la collection d’art québécois et canadien du Musée des beaux-arts de Montréal : visite virtuelle ici!

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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral