Jeu de ficelles @ idAction Mobile

Par Marie Pierre Gadoua, médiatrice idAction Mobile

 

Vous les connaissez sûrement, ces jeux de ficelles qu’on fait lorsqu’on est enfant, avec nos amis dans la cour d’école, ou simplement pour passer le temps quand on s’ennuie par les jours de pluie… C’est une pratique qui ne date pas d’hier, et on la retrouve dans diverses cultures à travers le monde. Chaque peuple a ses propres figures, ses mots pour les décrire, ses histoires qui vont avec, et ses moments et contextes où les pratiquer.

 

La semaine passée, l’équipe à bord de la caravane d’Exeko a voulu apprendre les versions inuit de ce jeu, en allant, ficelles en main, à la rencontre des participants inuit dans les rues de Montréal.  Le printemps venait de se pointer le bout du nez, et nous avions envie de le célébrer en jouant dehors, comme des enfants.

 

Mais attention ! C’est du sérieux, la version inuit des jeux de ficelles (appelée ajaraaq en Inuktitut). C’est ce que nous avons constaté dès notre premier arrêt avec Johnny, qui est originaire d’Iqaluit au Nunavut, et qui a bien voulu se prêter au jeu.  Les figures sont complexes, les mains bougent vite, la ficelle semble se multiplier entre les doigts agiles qui l’entortillent ici, l’enroulent par là, la passent dessous, dessus, tirent une dernière fois, retournent le tout d’un mouvement de poignet, et hop ! Voilà un attelage à chiens qui courent, et courent et courent… Et voici une tente ! Et par ici, un séchoir à vêtements (drying rack), et voilà un pelle à neige, des lunettes, et, ma figure préférée… le lièvre qui échappe au chasseur ! Croyez-le ou non, il court le long des ficelles. Cette figure se nomme ukaliq.

Le lièvre qui échappe au chasseur (C) Exeko

Benjamin, originaire de Pond Inlet, au Nunavut, a même « coupé le doigt » de Marie Pierre, dans une enfilade de mouvements compliqués où elle se croyait fermement entortillée, … et puis hop !  Le tout se libère comme par magie, avec une impression que la ficelle a effectivement passé au travers dudit doigt. 

Le temps de l’atelier, nous étions redevenu enfants, amusés et fascinés par ces tours de magie et ces histoires racontées par leurs mains habiles. L’envie nous a pris de les essayer nous-même, évidemment.  Mais nous aurons besoin de beaucoup d’observation et de pratique si nous voulons être capable un jour de les reproduire à notre tour. Et surtout, il nous faudra des instructeurs généreux et patients, comme Johnny et Benjamin que nous remercions grandement pour cette première initiation.

Heureusement, le beau temps ne fait que commencer et il y a désormais une grosse bobine de ficelle à bord de la caravane. Bon printemps à tous !

http://exeko.org/idaction-mobile

 

 

 

 

 

 

Jeu de ficelles @ idAction Mobile

Par Marie Pierre Gadoua, médiatrice idAction Mobile

 

Vous les connaissez sûrement, ces jeux de ficelles qu’on fait lorsqu’on est enfant, avec nos amis dans la cour d’école, ou simplement pour passer le temps quand on s’ennuie par les jours de pluie… C’est une pratique qui ne date pas d’hier, et on la retrouve dans diverses cultures à travers le monde. Chaque peuple a ses propres figures, ses mots pour les décrire, ses histoires qui vont avec, et ses moments et contextes où les pratiquer.

 

La semaine passée, l’équipe à bord de la caravane d’Exeko a voulu apprendre les versions inuit de ce jeu, en allant, ficelles en main, à la rencontre des participants inuit dans les rues de Montréal.  Le printemps venait de se pointer le bout du nez, et nous avions envie de le célébrer en jouant dehors, comme des enfants.

 

Mais attention ! C’est du sérieux, la version inuit des jeux de ficelles (appelée ajaraaq en Inuktitut). C’est ce que nous avons constaté dès notre premier arrêt avec Johnny, qui est originaire d’Iqaluit au Nunavut, et qui a bien voulu se prêter au jeu.  Les figures sont complexes, les mains bougent vite, la ficelle semble se multiplier entre les doigts agiles qui l’entortillent ici, l’enroulent par là, la passent dessous, dessus, tirent une dernière fois, retournent le tout d’un mouvement de poignet, et hop ! Voilà un attelage à chiens qui courent, et courent et courent… Et voici une tente ! Et par ici, un séchoir à vêtements (drying rack), et voilà un pelle à neige, des lunettes, et, ma figure préférée… le lièvre qui échappe au chasseur ! Croyez-le ou non, il court le long des ficelles. Cette figure se nomme ukaliq.

Le lièvre qui échappe au chasseur (C) Exeko

Benjamin, originaire de Pond Inlet, au Nunavut, a même « coupé le doigt » de Marie Pierre, dans une enfilade de mouvements compliqués où elle se croyait fermement entortillée, … et puis hop !  Le tout se libère comme par magie, avec une impression que la ficelle a effectivement passé au travers dudit doigt. 

Le temps de l’atelier, nous étions redevenu enfants, amusés et fascinés par ces tours de magie et ces histoires racontées par leurs mains habiles. L’envie nous a pris de les essayer nous-même, évidemment.  Mais nous aurons besoin de beaucoup d’observation et de pratique si nous voulons être capable un jour de les reproduire à notre tour. Et surtout, il nous faudra des instructeurs généreux et patients, comme Johnny et Benjamin que nous remercions grandement pour cette première initiation.

Heureusement, le beau temps ne fait que commencer et il y a désormais une grosse bobine de ficelle à bord de la caravane. Bon printemps à tous !

http://exeko.org/idaction-mobile

 

 

 

 

 

 

Patch Adams à la rencontre des participants d'idAction et idAction Mobile

Vendredi 28 mars, le programme idAction recevait un visiteur bien particulier pour une journée complète de foulosophie!

Au sortir de sa conférence de presse, Patch Adams en personne embarquait dans notre petite caravane idAction Mobile, direction l'Accueil Bonneau. Dans la salle à manger de Bonneau, le staff, bénévoles, intervenants, arborent tous un nez rouge, et c'est sous une salve d'applaudissement que Patch est accueilli! Nous prenons donc le lunch tous ensemble, avant de nous diriger vers la salle commune ou a lieu l'atelier d'idAction auquel est convié nore invité! La encore, tous les nez rouges sont en place, l'accueil est chaleureux, la salle comble. Plus de 50 personnes assistent à la discussion. 

Port du nez de clown fortement conseillé!! (C) Ddecollasson @ Exeko

L'atelier, traduit simulatément par Alexandra, prend donc la forme d'une discussion ouverte, et les participants de Bonneau peuvent poser leurs questions à Patch Adams qui alterne entre des moments de vive émotion, racontant, les larmes aux yeux, ses séjours parmi des camps de réfugiés partout à travers le monde, des moments de rire intense, illustrant par ses stratégies clowmesque sa révolution par l'amour, et des moments de sensibilisation et de rélexion. Patch sollicite l'assemblée : "que celui qui peut citer une chose plus importante que l'Amour lève la main!" Silence. Aucune main ne se lève. Sourires. Quand Patch mentionne sa présence au discours de Martin Luther King "I Have a Dream", l'une des inspirations de sa vie, plusieurs gars semblent vraiment impressionnés!

L'atelier fini, nous proposons une photo de groupe avec Patch, et c'est avec empressement que tous les gars viennent grimacer à ses côtés, tirant la langue!! L'heure est à la malice!

Patch embarque ensuite avec l'équipage du jour, composé de Fred au volant, Nadia, Dorothée, le comédien Stéphane Crete, Mélanie Ladouceur, ainsi que Daniel, un participant de Bonneau, curieux! nos médiateurs Daniel, Maxime, Alexandra et Claude secondés par Loic, notre clownesque bénévole, prennent la suite du convoi! Dans la van, on se prépare, direction Atwater, notre premier arrêt : lunettes démesurées, nez rouges, chapeaux en forme de poulet, oreilles en fleur. L'entrée du métro prend subitement des airs de fête.

Ambiance festiva à Atwater ((C) Ddecollasson @ Exeko

Sur les notes d'accordéon de Fred, on danse, on se prend dans les bras, on rit... Et Patch part à la rencontre de chacun, frottant son nez rouge à ceux qui le veulent bien!

Quand deux univers se rencontrent (C) Ddecollasson @ Exeko

Comme Patch citait Nietzsche à l'Accueil Bonneau "le combat de la maturité, c'est de retrouver le sérieux d'un enfant qui joue", et nous nous attachons à mettre en pratique cette sage parole!

L'arrêt Atwater prend des allures d'épopée lorsque nous tentons de rejoindre sous terre la place Alexis Nihon:  notre invité indiscipliné, poisson en plastique sous le bras, s'arrête pour distribuer amour et attention à chaque passant, de ces couloirs si fréquentés!! Nous parvenons néanmoins auprès de Denis, qui semble plus qu'ému et heureux de rencontrer Patch!

Patch et Denis (C) Ddecollasson @ Exeko

Tant bien que mal nous prenons la route du métro Mc Gill, où d'autres fantastiques moments, davantage personnalisés cette fois ci. Le long des couloirs, notre cortège s'arrête pour distribuer des nez rouge, acceptés dans la quasi totalité par les participants! 

Patch dans les couloirs de Mc Gill (C) Ddecollasson @ Exeko

 

http://exeko.org/idaction-mobile

http://exeko.org/idaction

Découvrez toutes les photos de la Foulosophie @ Exeko sur notre flickr

 

Patch Adams à la rencontre des participants d'idAction et idAction Mobile

Vendredi 28 mars, le programme idAction recevait un visiteur bien particulier pour une journée complète de foulosophie!

Au sortir de sa conférence de presse, Patch Adams en personne embarquait dans notre petite caravane idAction Mobile, direction l'Accueil Bonneau. Dans la salle à manger de Bonneau, le staff, bénévoles, intervenants, arborent tous un nez rouge, et c'est sous une salve d'applaudissement que Patch est accueilli! Nous prenons donc le lunch tous ensemble, avant de nous diriger vers la salle commune ou a lieu l'atelier d'idAction auquel est convié nore invité! La encore, tous les nez rouges sont en place, l'accueil est chaleureux, la salle comble. Plus de 50 personnes assistent à la discussion. 

Port du nez de clown fortement conseillé!! (C) Ddecollasson @ Exeko

L'atelier, traduit simulatément par Alexandra, prend donc la forme d'une discussion ouverte, et les participants de Bonneau peuvent poser leurs questions à Patch Adams qui alterne entre des moments de vive émotion, racontant, les larmes aux yeux, ses séjours parmi des camps de réfugiés partout à travers le monde, des moments de rire intense, illustrant par ses stratégies clowmesque sa révolution par l'amour, et des moments de sensibilisation et de rélexion. Patch sollicite l'assemblée : "que celui qui peut citer une chose plus importante que l'Amour lève la main!" Silence. Aucune main ne se lève. Sourires. Quand Patch mentionne sa présence au discours de Martin Luther King "I Have a Dream", l'une des inspirations de sa vie, plusieurs gars semblent vraiment impressionnés!

L'atelier fini, nous proposons une photo de groupe avec Patch, et c'est avec empressement que tous les gars viennent grimacer à ses côtés, tirant la langue!! L'heure est à la malice!

Patch embarque ensuite avec l'équipage du jour, composé de Fred au volant, Nadia, Dorothée, le comédien Stéphane Crete, Mélanie Ladouceur, ainsi que Daniel, un participant de Bonneau, curieux! nos médiateurs Daniel, Maxime, Alexandra et Claude secondés par Loic, notre clownesque bénévole, prennent la suite du convoi! Dans la van, on se prépare, direction Atwater, notre premier arrêt : lunettes démesurées, nez rouges, chapeaux en forme de poulet, oreilles en fleur. L'entrée du métro prend subitement des airs de fête.

Ambiance festiva à Atwater ((C) Ddecollasson @ Exeko

Sur les notes d'accordéon de Fred, on danse, on se prend dans les bras, on rit... Et Patch part à la rencontre de chacun, frottant son nez rouge à ceux qui le veulent bien!

Quand deux univers se rencontrent (C) Ddecollasson @ Exeko

Comme Patch citait Nietzsche à l'Accueil Bonneau "le combat de la maturité, c'est de retrouver le sérieux d'un enfant qui joue", et nous nous attachons à mettre en pratique cette sage parole!

L'arrêt Atwater prend des allures d'épopée lorsque nous tentons de rejoindre sous terre la place Alexis Nihon:  notre invité indiscipliné, poisson en plastique sous le bras, s'arrête pour distribuer amour et attention à chaque passant, de ces couloirs si fréquentés!! Nous parvenons néanmoins auprès de Denis, qui semble plus qu'ému et heureux de rencontrer Patch!

Patch et Denis (C) Ddecollasson @ Exeko

Tant bien que mal nous prenons la route du métro Mc Gill, où d'autres fantastiques moments, davantage personnalisés cette fois ci. Le long des couloirs, notre cortège s'arrête pour distribuer des nez rouge, acceptés dans la quasi totalité par les participants! 

Patch dans les couloirs de Mc Gill (C) Ddecollasson @ Exeko

 

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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral