Les partenaires d’Exeko sont nombreux. Très variés, tous différents, mais chacun se retrouve autour d’objectifs communs. C’est le cas de nos partenaires financiers ou culturels, des intervenants multiples et des membres de l’équipe. Comment cette variété arrive-t-elle à composer, à être complémentaire et à avancer? Tout repose sur l’approche très intime qu’Exeko établit dès les premières rencontres.
« On est dans l’intersectoriel innovatif, si on approche le partenariat en ne regardant que nos intérêts, on est mal parti. » Nadia Duguay, Co-fondatrice et co-directrice d'Exeko
Chaque partenaire se retrouve dans notre éthique au travers de sa propre vision. Le langage peut être nuancé, les différences sont respectées mais s’accordent toujours dans un idéal sans lequel toute relation ne peut être soutenue.
« Oser regarder les angles morts d’un partenaire pour s’y arrimer. » françois-Xavier michaux, co-fondateur et co-directeur d'Exeko
Notre regard va au-delà de la fonction professionnelle d’un individu, de la mission d’un organisme ou du mandat d’une institution. Réduire une relation au simple intitulé d’une carte d’affaire nous semble inadapté et foncièrement réducteur. Nous établissons un contact, nos rencontres révèlent nos affinités, nous amenons nos interlocuteurs sur le terrain. De là naît le premier stade d’une confiance mutuelle qui, avec le temps, porte ses fruits.
Ce processus nous est bénéfique, à nous et nos partenaires et ce à tous les niveaux. On vient chercher chez l’autre, on collabore sur différents projets, on apprend l’un de l’autre, on ose s’échanger nos carnets d’adresses. Nos relations sont transparentes, on joue le jeu. Peu nous importe l’origine du progrès à partir du moment où celui-ci est effectif. L’objectif commun doit être atteint et personne ne cherche de médailles.
Bien sûr, l’innovation ne se fait pas sans échecs, aussi sommes-nous prêts à les célébrer ensemble, comme nous le faisons pour nos réussites. Quelle belle chose de voir que ce sont trois de nos partenaires présents ce jour là pour les Journées professionnelles de la médiation culturelle qui ont souligné ce point ; John Cawley, directeur des programmes de la Fondation de la famille J.W McConnell, Judith Barry, cofondatrice du Club des petits déjeuners du Québec et Normand McIsaac, directeur général de L’Œuvre Léger. Une simple affaire de confiance.
Nous les remercions à eux et à tous les autres!
C’est comme nouvelle recrue chez Exeko que j’ai pu découvrir avec la même curiosité et j’oserais dire la même innocence du public présent aux Journées Professionnelles de la Médiation Culturelle, le travail, la mission et la philosophie d’un organisme dont le leitmotiv est pour sûr l’innovation dans la confiance. À mon tour de remercier mes nouveaux partenaires, mes collègues.