La médiation intellectuelle par la cocréation littéraire

Texte : Tiphaine Barrailler et Bianca Laliberté

Pour mieux comprendre la démarche derrière la création de l'oeuvre vidéo NUITS, captée dans le cadre du programme Biblio-libre d’Exeko, à partir d’une cocréation littéraire réunissant neuf auteur.trice.s rencontré.e.s dans divers organismes communautaires, nous vous invitons à lire le texte suivant rédigé par les médiatrices Tiphaine Barrailler et Bianca Laliberté.

« Nous sommes dans une situation généralisée de perte de repères communs. Les grands modèles de pensée se sont effondrés, consumés par le recul de la religion et la dissémination victorieuse de l’individualisme néolibéral. Nous nous retrouvons perpétuellement confrontés à un monde fragmenté (par la sur-stimulation médiatique, l’omniprésence de discours multiples, babéliques). Or, en cet immense espace de jeu cadençant le visible et l’invisible, ce film n’est autre qu’une tentative de rendre audibles et visibles des voix désirantes rencontrées en des lieux insoupçonnées. Dans l’antre de la nuit, nous ciblons Babel heureuse, ou du moins décomplexée. »

Dans le cadre du projet Biblio-libre de l’édition 2017, dix ateliers de médiation intellectuelle ont eu lieu dans 6 organismes communautaires de la Ville de Montréal et à la BAnQ, tous préoccupés par les enjeux de l’itinérance. En chacun de ces organismes trônent des bibliothèques sans propriétaires installées par Exeko au courant des dernières années. Leur existence garantit en ces espaces un libre accès à des livres et vise précisément à cultiver la littératie et la vie intellectuelle dans une perspective d’émancipation et d’inclusion sociale.

Présentation du film NUITS par Tiphaine Barrailler et Bianca Laliberté lors de l'exposition 2915 le 9 mars 2018.

Cependant, la matière du livre, comme objet d’échange, pose problème : il est quasi-impossible de la saisir toute entière dans les contextes d’ateliers de deux heures. Comme les ateliers de médiation intellectuelle mobilisent des groupes d’individus autour d’objets communs de réflexion dans une perspective éducative prise en charge par tout un chacun, les fragments de livres arborent une double opportunité pour la création d’un commun lequel, assumons-nous, n’existe pas avant d’être pratiqué, articulé, manipulé, pétri, façonné. Ainsi est-il toujours question de se donner les moyens de l’engendrer. Comment jouer et rejouer le sens au creux de la dispersion qui organise notre expérience contemporaine? Voire, comment œuvrer à une construction commune de sens ? Comment manipuler la matière livresque dans la perspective d’une écriture à plusieurs en des contextes qui s’y ne prêtent pas aussi bien qu’en une université, par exemple? Dans le contexte précis de ce projet, le commun fut d’une part envisagé comme espace partagé au moment des ateliers où se multiplièrent les discussions érudites. Ensuite, en tant que patrimoine culturel proposé à l’appropriation que l’on peut sans gêne nommer « la grande culture occidentale » au terme d’un geste d’écriture.

La présence des fragments dont la jonction thématique est la nuit (images, éclats de pensées philosophiques, bribes de romans) se joue ici sur deux trames. La trame vidéographique, d’abord, les donnent à voir, constituée de matières pelliculaire agencées par Charles-André Coderre, parmi lesquelles des images captées lors de l’enregistrement. Puis, la trame audio, corps composé de neuf voix singulières, les donnent à entendre. Chaque texte fut en effet rédigé en écho à de petites séries de fragments de livres sélectionnés par les auteur.trice.s eux-mêmes/elles-mêmes dans le processus d’écriture. Ces auteur.trice.s rencontré.e.s dans les divers organismes visités sont: Michel Beaupré, Josée Cardinal, J-M Fortin, Robert Quenneville, Yves Manseau, Mostapha, Sylvain, Cindy Tremblay et Vangolet. Sur cette trame, s’ajoute la musique de Frédéric Boisclair.

 

Ce projet a été réalisé grâce au soutien financier du Ministère de la Culture et des Communications et de la Ville de Montréal dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal.

 

Nous tenons également à remercier l'Auberge Madeleine, la BAnQ, Chez Doris, La Maison du Père, L’Itinéraire, la Mission Old Brewery, ainsi que le PAS de la rue pour leur précieuse collaboration au projet.

 

La médiation intellectuelle par la cocréation littéraire

Texte : Tiphaine Barrailler et Bianca Laliberté

Pour mieux comprendre la démarche derrière la création de l'oeuvre vidéo NUITS, captée dans le cadre du programme Biblio-libre d’Exeko, à partir d’une cocréation littéraire réunissant neuf auteur.trice.s rencontré.e.s dans divers organismes communautaires, nous vous invitons à lire le texte suivant rédigé par les médiatrices Tiphaine Barrailler et Bianca Laliberté.

« Nous sommes dans une situation généralisée de perte de repères communs. Les grands modèles de pensée se sont effondrés, consumés par le recul de la religion et la dissémination victorieuse de l’individualisme néolibéral. Nous nous retrouvons perpétuellement confrontés à un monde fragmenté (par la sur-stimulation médiatique, l’omniprésence de discours multiples, babéliques). Or, en cet immense espace de jeu cadençant le visible et l’invisible, ce film n’est autre qu’une tentative de rendre audibles et visibles des voix désirantes rencontrées en des lieux insoupçonnées. Dans l’antre de la nuit, nous ciblons Babel heureuse, ou du moins décomplexée. »

Dans le cadre du projet Biblio-libre de l’édition 2017, dix ateliers de médiation intellectuelle ont eu lieu dans 6 organismes communautaires de la Ville de Montréal et à la BAnQ, tous préoccupés par les enjeux de l’itinérance. En chacun de ces organismes trônent des bibliothèques sans propriétaires installées par Exeko au courant des dernières années. Leur existence garantit en ces espaces un libre accès à des livres et vise précisément à cultiver la littératie et la vie intellectuelle dans une perspective d’émancipation et d’inclusion sociale.

Présentation du film NUITS par Tiphaine Barrailler et Bianca Laliberté lors de l'exposition 2915 le 9 mars 2018.

Cependant, la matière du livre, comme objet d’échange, pose problème : il est quasi-impossible de la saisir toute entière dans les contextes d’ateliers de deux heures. Comme les ateliers de médiation intellectuelle mobilisent des groupes d’individus autour d’objets communs de réflexion dans une perspective éducative prise en charge par tout un chacun, les fragments de livres arborent une double opportunité pour la création d’un commun lequel, assumons-nous, n’existe pas avant d’être pratiqué, articulé, manipulé, pétri, façonné. Ainsi est-il toujours question de se donner les moyens de l’engendrer. Comment jouer et rejouer le sens au creux de la dispersion qui organise notre expérience contemporaine? Voire, comment œuvrer à une construction commune de sens ? Comment manipuler la matière livresque dans la perspective d’une écriture à plusieurs en des contextes qui s’y ne prêtent pas aussi bien qu’en une université, par exemple? Dans le contexte précis de ce projet, le commun fut d’une part envisagé comme espace partagé au moment des ateliers où se multiplièrent les discussions érudites. Ensuite, en tant que patrimoine culturel proposé à l’appropriation que l’on peut sans gêne nommer « la grande culture occidentale » au terme d’un geste d’écriture.

La présence des fragments dont la jonction thématique est la nuit (images, éclats de pensées philosophiques, bribes de romans) se joue ici sur deux trames. La trame vidéographique, d’abord, les donnent à voir, constituée de matières pelliculaire agencées par Charles-André Coderre, parmi lesquelles des images captées lors de l’enregistrement. Puis, la trame audio, corps composé de neuf voix singulières, les donnent à entendre. Chaque texte fut en effet rédigé en écho à de petites séries de fragments de livres sélectionnés par les auteur.trice.s eux-mêmes/elles-mêmes dans le processus d’écriture. Ces auteur.trice.s rencontré.e.s dans les divers organismes visités sont: Michel Beaupré, Josée Cardinal, J-M Fortin, Robert Quenneville, Yves Manseau, Mostapha, Sylvain, Cindy Tremblay et Vangolet. Sur cette trame, s’ajoute la musique de Frédéric Boisclair.

 

Ce projet a été réalisé grâce au soutien financier du Ministère de la Culture et des Communications et de la Ville de Montréal dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal.

 

Nous tenons également à remercier l'Auberge Madeleine, la BAnQ, Chez Doris, La Maison du Père, L’Itinéraire, la Mission Old Brewery, ainsi que le PAS de la rue pour leur précieuse collaboration au projet.

 

La médiation intellectuelle par la cocréation littéraire

Texte : Tiphaine Barrailler et Bianca Laliberté

Pour mieux comprendre la démarche derrière la création de l'oeuvre vidéo NUITS, captée dans le cadre du programme Biblio-libre d’Exeko, à partir d’une cocréation littéraire réunissant neuf auteur.trice.s rencontré.e.s dans divers organismes communautaires, nous vous invitons à lire le texte suivant rédigé par les médiatrices Tiphaine Barrailler et Bianca Laliberté.

« Nous sommes dans une situation généralisée de perte de repères communs. Les grands modèles de pensée se sont effondrés, consumés par le recul de la religion et la dissémination victorieuse de l’individualisme néolibéral. Nous nous retrouvons perpétuellement confrontés à un monde fragmenté (par la sur-stimulation médiatique, l’omniprésence de discours multiples, babéliques). Or, en cet immense espace de jeu cadençant le visible et l’invisible, ce film n’est autre qu’une tentative de rendre audibles et visibles des voix désirantes rencontrées en des lieux insoupçonnées. Dans l’antre de la nuit, nous ciblons Babel heureuse, ou du moins décomplexée. »

Dans le cadre du projet Biblio-libre de l’édition 2017, dix ateliers de médiation intellectuelle ont eu lieu dans 6 organismes communautaires de la Ville de Montréal et à la BAnQ, tous préoccupés par les enjeux de l’itinérance. En chacun de ces organismes trônent des bibliothèques sans propriétaires installées par Exeko au courant des dernières années. Leur existence garantit en ces espaces un libre accès à des livres et vise précisément à cultiver la littératie et la vie intellectuelle dans une perspective d’émancipation et d’inclusion sociale.

Présentation du film NUITS par Tiphaine Barrailler et Bianca Laliberté lors de l'exposition 2915 le 9 mars 2018.

Cependant, la matière du livre, comme objet d’échange, pose problème : il est quasi-impossible de la saisir toute entière dans les contextes d’ateliers de deux heures. Comme les ateliers de médiation intellectuelle mobilisent des groupes d’individus autour d’objets communs de réflexion dans une perspective éducative prise en charge par tout un chacun, les fragments de livres arborent une double opportunité pour la création d’un commun lequel, assumons-nous, n’existe pas avant d’être pratiqué, articulé, manipulé, pétri, façonné. Ainsi est-il toujours question de se donner les moyens de l’engendrer. Comment jouer et rejouer le sens au creux de la dispersion qui organise notre expérience contemporaine? Voire, comment œuvrer à une construction commune de sens ? Comment manipuler la matière livresque dans la perspective d’une écriture à plusieurs en des contextes qui s’y ne prêtent pas aussi bien qu’en une université, par exemple? Dans le contexte précis de ce projet, le commun fut d’une part envisagé comme espace partagé au moment des ateliers où se multiplièrent les discussions érudites. Ensuite, en tant que patrimoine culturel proposé à l’appropriation que l’on peut sans gêne nommer « la grande culture occidentale » au terme d’un geste d’écriture.

La présence des fragments dont la jonction thématique est la nuit (images, éclats de pensées philosophiques, bribes de romans) se joue ici sur deux trames. La trame vidéographique, d’abord, les donnent à voir, constituée de matières pelliculaire agencées par Charles-André Coderre, parmi lesquelles des images captées lors de l’enregistrement. Puis, la trame audio, corps composé de neuf voix singulières, les donnent à entendre. Chaque texte fut en effet rédigé en écho à de petites séries de fragments de livres sélectionnés par les auteur.trice.s eux-mêmes/elles-mêmes dans le processus d’écriture. Ces auteur.trice.s rencontré.e.s dans les divers organismes visités sont: Michel Beaupré, Josée Cardinal, J-M Fortin, Robert Quenneville, Yves Manseau, Mostapha, Sylvain, Cindy Tremblay et Vangolet. Sur cette trame, s’ajoute la musique de Frédéric Boisclair.

 

Ce projet a été réalisé grâce au soutien financier du Ministère de la Culture et des Communications et de la Ville de Montréal dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal.

 

Nous tenons également à remercier l'Auberge Madeleine, la BAnQ, Chez Doris, La Maison du Père, L’Itinéraire, la Mission Old Brewery, ainsi que le PAS de la rue pour leur précieuse collaboration au projet.

 

Call for projects for artistic residencies of Métissages Urbains - (CLOSED)

This year again we are launching the call for proposals for the summer artistic residencies of Métissages Urbains! We hope to be introduced to three artists who will lead projects of co-creation and artistic reflection with people met during the project. These residences will partly be executed in the public space with passerby. This year, we would like to invite an Indigenous artist and two artists who want to work with newcomers in Mercier-Hochelaga-Maisonneuve and in Montréal-Nord. We look forward to discovering the applications.

Deadline for newcomer artistic residencies: April 30th, 2018

Deadline for Indigenous artistic residency:May 15th, 2018

For any other questions or inquiries, feel free to send an email to ​[email protected] or coming to Exeko's offices: 5445 Avenue de Gaspé, #405, Montréal (QC) H2T 3B2

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral