Quand la littérature s'invite à Plein Milieu...

Mardi dernier avait lieu l'inauguration d'une nouvelle bibliothèque inclusive, relais idAction Mobile du service de prêt de livres développé depuis un an et demi.
 
Après Le Centre d'Amitié Autochtones, les Projets Autochtones du Québec, la Maison du Père, l'Accueil Bonneau, et le P.A.S de la Rue, c'est donc Plein Milieu qui héberge nos petites perles de littératures!
 
Sous la houlette de Julien, messager pour Plein Milieu, les livres prennent donc place sur les étagères, et nous profitons de l'un des soupers réflexion idAction donnés bi-mensuellement par Claude et Marie Paule, pour inaugurer la bibliothèque et couper un ruban improvisé pour marquer l'occasion! 
 
Julien coupe le ruban (C) Exeko
 
Ce soir la, je suis invitée par les participants et médiateurs à me joindre au souper. Ravie, je prends donc ma place dans l'équipe, découpe des champignons aux côtés de Pat, mélange la sauce des délicieuses pâtes Alfredo, menu du soir, tout en jasant de classiques de la littérature tels que 1984, ou encore de Fahrenheit 451 avec Julien. On fait des parallèles avec l'actualité, on s'ébahit de la clairvoyance de G. Orwell! Le repas se poursuit, l'ambiance y est à la fois très conviviale, tout le monde met la main à la pâte, et très réfléchie : Ce soir la, Bobby, participant, cherche une solution pour créer davantage de lien et faire venir plus de personnes autochtones aux soupers. Un belle exemple de réflexion inclusive!
 
au menu du souper idAction... (C) Exeko
 
Après un souper animé de belles discussions, Claude et Marie Paule proposent une activité autour des livres, testée par Alexandra, William et Nadia lors de la nuit des sans abri : chacun prend au hasard un livre, et en propose un extrait, en réponse à son voisin, ou tout simplement lorsque cela se prête bien dans le contexte! Fous rires assurés, les répliques fusent, entre le totalitarisme polonais des années 40, le bouddhisme, et les histoires d'amour passionnées! Un beau moyen de creer un premier contact avec l'oeuvre, de façon originale!
 
Bobby et Marie Paule en plein kung fu littéraire (C) Exeko
 
La citation de la soirée? "Donner accès à la culture et au savoir, c'est reconnaître des êtres pensants  qui valent la peine, qui sont des citoyens à part entière!" (Julien)
 
 
  Un partenariat rendu possible grâce à l'entente de lutte contre la pauvreté
 
 
 
 
 
 

Quand la littérature s'invite à Plein Milieu...

Mardi dernier avait lieu l'inauguration d'une nouvelle bibliothèque inclusive, relais idAction Mobile du service de prêt de livres développé depuis un an et demi.
 
Après Le Centre d'Amitié Autochtones, les Projets Autochtones du Québec, la Maison du Père, l'Accueil Bonneau, et le P.A.S de la Rue, c'est donc Plein Milieu qui héberge nos petites perles de littératures!
 
Sous la houlette de Julien, messager pour Plein Milieu, les livres prennent donc place sur les étagères, et nous profitons de l'un des soupers réflexion idAction donnés bi-mensuellement par Claude et Marie Paule, pour inaugurer la bibliothèque et couper un ruban improvisé pour marquer l'occasion! 
 
Julien coupe le ruban (C) Exeko
 
Ce soir la, je suis invitée par les participants et médiateurs à me joindre au souper. Ravie, je prends donc ma place dans l'équipe, découpe des champignons aux côtés de Pat, mélange la sauce des délicieuses pâtes Alfredo, menu du soir, tout en jasant de classiques de la littérature tels que 1984, ou encore de Fahrenheit 451 avec Julien. On fait des parallèles avec l'actualité, on s'ébahit de la clairvoyance de G. Orwell! Le repas se poursuit, l'ambiance y est à la fois très conviviale, tout le monde met la main à la pâte, et très réfléchie : Ce soir la, Bobby, participant, cherche une solution pour créer davantage de lien et faire venir plus de personnes autochtones aux soupers. Un belle exemple de réflexion inclusive!
 
au menu du souper idAction... (C) Exeko
 
Après un souper animé de belles discussions, Claude et Marie Paule proposent une activité autour des livres, testée par Alexandra, William et Nadia lors de la nuit des sans abri : chacun prend au hasard un livre, et en propose un extrait, en réponse à son voisin, ou tout simplement lorsque cela se prête bien dans le contexte! Fous rires assurés, les répliques fusent, entre le totalitarisme polonais des années 40, le bouddhisme, et les histoires d'amour passionnées! Un beau moyen de creer un premier contact avec l'oeuvre, de façon originale!
 
Bobby et Marie Paule en plein kung fu littéraire (C) Exeko
 
La citation de la soirée? "Donner accès à la culture et au savoir, c'est reconnaître des êtres pensants  qui valent la peine, qui sont des citoyens à part entière!" (Julien)
 
 
  Un partenariat rendu possible grâce à l'entente de lutte contre la pauvreté
 
 
 
 
 
 

Journée de formation et projet avec les jeunes de Kanehsatake

Par Agnès Lorgueilleux Agente de projet @Exeko

De belles équipes créatives d’artistes en vue des prochains groupes Trickster !

Plusieurs nouveaux départs en communautés sont prévus au cours des prochains mois grâce au soutien financier de Patrimoine Canadien. Un projet dans la communauté Mohawk de Kanehsatake est d’ailleurs en cours depuis début novembre en partenariat avec le Conseil de bande et se tient à l’École secondaire Ratihen:te avec un groupe de jeunes du secondaire 1 et 2!  

Dans le but d’enrichir et diversifier notre équipe Trickster, une journée de formation d’artiste-intervenants a eu lieu la semaine dernière.

Après un petit jeu d’ouverture et de présentation, échanges et partages se retrouvent au cœur de cette journée. Pour débuter, Widia Larivière, jeune femme Anishnabe et coordonnatrice jeunesse pour Femmes Autochtones du Québec, dresse un portrait socio-historique des Autochtones au Québec et de la diversité des réalités autochtones selon les contextes et les communautés. 

 

Widia et Mélanie parlent de réalités autochtones au Québec (c) Exeko
Widia s'exprime sur l’importance du bien-être chez les jeunes autochtones : « Les enfants et les jeunes représentent près de la moitié de la population autochtone. Il est primordial de miser sur eux en les outillant et en développant leur estime de soi car ils sont des porteurs d’espoir pour l’avenir de nos peuples. Et ce n’est surtout pas le potentiel ni le talent qui leur manque. » Puis, Mélanie Lumsden, chargée de projets Trickster et membre de la nation Inuvialuit, a souligné l’importance de l’intégration de la sensibilité interculturelle comme étant au cœur de l’approche du projet.
 
Puis, Jani Greffe-Bélanger, coordinatrice terrain, entourée de Maxime Lee Larose et Emmanuel Cyr, artiste-intervenants, présentent tour à tour trois récits d’expérience en 8 images : Trickster@La Tuque, Trickster@Waswanipi et Trickster@Garden Hill. Ces témoignages ont d’autant mis en avant la multitude des approches et des enjeux qui font de chaque Trickster une expérience unique. De nombreux échanges avec les artistes ayant déjà une « expérience Trickster » permettent de sensibiliser les artistes venus assistés à la formation. François-Xavier Michaux  achève cette matinée par un panorama du rôle de l’artiste-intervenant dans le projet, le soutien dont il bénéficie et l’éthique dont il doit faire preuve.
 
Maxime présente son pecha kucha sur Trickster@Waswanipi (c) Exeko
 
Les jambes commencent à s’engourdir, la faim se fait ressentir… c’est l’heure d’une pause bien méritée autour d’un souper offert et partagé tous ensemble. Tout le monde reprend des forces car l’après-midi se veut active ! Par petits groupes, les artistes sont mis en situations concrètes. 
 
Plus qu’une simple audition, Jani, Maxime et Manu leur présentent les contextes, basés sur une situation vécue en communauté, l’objectif étant de tester la mise en œuvre et la compréhension des objectifs du programme. Sous le regard aiguisé d’observateurs tel que Jan-Rok, instigateur du cirque social au Québec, un temps est systématiquement accordé pour interroger et analyser ses pratiques, mettre en lumière ses actions positives et ses limites, partager des connaissances et savoir-faire.
 
 
Mises en situations et discussions (c) Exeko
Cette journée emplie de bonne humeur créative et de plaisir s’achève déjà. Nous remercions tous les artistes qui y ont participé, Widia Larivière de Femmes Autochtones du Québec, Jan-Rok et son œil aguerri ainsi que l’équipe d’Exeko qui a formidablement bien orchestré cette formation. On vous donne rendez-vous très prochainement pour des nouvelles fraîches sur le projet Trickster@Kanehsatake ! 
 
Un grand merci à Patrimoine Canadien, au CTREQ et au Secrétariat à la jeunesse pour leur soutien à la réalisation de la formation et du projet Trickster@Kanehsatake. 
 
Merci au Conseil de bande de la Nation Mohawk de Kanehsatake et l’École secondaire Ratihen:te pour leur soutien et leur accueil chaleureux.
 
 
 

 

 

 

 
Découvrez le programme Trickster ici!

Journée de formation et projet avec les jeunes de Kanehsatake

Par Agnès Lorgueilleux Agente de projet @Exeko

De belles équipes créatives d’artistes en vue des prochains groupes Trickster !

Plusieurs nouveaux départs en communautés sont prévus au cours des prochains mois grâce au soutien financier de Patrimoine Canadien. Un projet dans la communauté Mohawk de Kanehsatake est d’ailleurs en cours depuis début novembre en partenariat avec le Conseil de bande et se tient à l’École secondaire Ratihen:te avec un groupe de jeunes du secondaire 1 et 2!  

Dans le but d’enrichir et diversifier notre équipe Trickster, une journée de formation d’artiste-intervenants a eu lieu la semaine dernière.

Après un petit jeu d’ouverture et de présentation, échanges et partages se retrouvent au cœur de cette journée. Pour débuter, Widia Larivière, jeune femme Anishnabe et coordonnatrice jeunesse pour Femmes Autochtones du Québec, dresse un portrait socio-historique des Autochtones au Québec et de la diversité des réalités autochtones selon les contextes et les communautés. 

 

Widia et Mélanie parlent de réalités autochtones au Québec (c) Exeko
Widia s'exprime sur l’importance du bien-être chez les jeunes autochtones : « Les enfants et les jeunes représentent près de la moitié de la population autochtone. Il est primordial de miser sur eux en les outillant et en développant leur estime de soi car ils sont des porteurs d’espoir pour l’avenir de nos peuples. Et ce n’est surtout pas le potentiel ni le talent qui leur manque. » Puis, Mélanie Lumsden, chargée de projets Trickster et membre de la nation Inuvialuit, a souligné l’importance de l’intégration de la sensibilité interculturelle comme étant au cœur de l’approche du projet.
 
Puis, Jani Greffe-Bélanger, coordinatrice terrain, entourée de Maxime Lee Larose et Emmanuel Cyr, artiste-intervenants, présentent tour à tour trois récits d’expérience en 8 images : Trickster@La Tuque, Trickster@Waswanipi et Trickster@Garden Hill. Ces témoignages ont d’autant mis en avant la multitude des approches et des enjeux qui font de chaque Trickster une expérience unique. De nombreux échanges avec les artistes ayant déjà une « expérience Trickster » permettent de sensibiliser les artistes venus assistés à la formation. François-Xavier Michaux  achève cette matinée par un panorama du rôle de l’artiste-intervenant dans le projet, le soutien dont il bénéficie et l’éthique dont il doit faire preuve.
 
Maxime présente son pecha kucha sur Trickster@Waswanipi (c) Exeko
 
Les jambes commencent à s’engourdir, la faim se fait ressentir… c’est l’heure d’une pause bien méritée autour d’un souper offert et partagé tous ensemble. Tout le monde reprend des forces car l’après-midi se veut active ! Par petits groupes, les artistes sont mis en situations concrètes. 
 
Plus qu’une simple audition, Jani, Maxime et Manu leur présentent les contextes, basés sur une situation vécue en communauté, l’objectif étant de tester la mise en œuvre et la compréhension des objectifs du programme. Sous le regard aiguisé d’observateurs tel que Jan-Rok, instigateur du cirque social au Québec, un temps est systématiquement accordé pour interroger et analyser ses pratiques, mettre en lumière ses actions positives et ses limites, partager des connaissances et savoir-faire.
 
 
Mises en situations et discussions (c) Exeko
Cette journée emplie de bonne humeur créative et de plaisir s’achève déjà. Nous remercions tous les artistes qui y ont participé, Widia Larivière de Femmes Autochtones du Québec, Jan-Rok et son œil aguerri ainsi que l’équipe d’Exeko qui a formidablement bien orchestré cette formation. On vous donne rendez-vous très prochainement pour des nouvelles fraîches sur le projet Trickster@Kanehsatake ! 
 
Un grand merci à Patrimoine Canadien, au CTREQ et au Secrétariat à la jeunesse pour leur soutien à la réalisation de la formation et du projet Trickster@Kanehsatake. 
 
Merci au Conseil de bande de la Nation Mohawk de Kanehsatake et l’École secondaire Ratihen:te pour leur soutien et leur accueil chaleureux.
 
 
 

 

 

 

 
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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral