Nutashkuan, il fait bon se retrouver!

Si tu roules encore et encore sur la 138, tu arrives, presque à bout de route, à la charmante Natashquan. Bien connue pour sa mer, ses paysages, son patrimoine et ses charmantes maisons colorées. Elle est pittoresque la Natashquan, mais à quelques mètres de là, longeant la mer se trouve Nutashkuan, une communauté innue qui veille sur le bout de la Côte-Nord. Entre Nustashkuan et Trickster, c’est loin d’être une nouvelle histoire, c’est la cinquième fois qu’une équipe se fait accueillir chaleureusement par cette magnifique communauté.

Cette fois, c’est Manu, Cyril et Jani qui débarquent pour 3 semaines afin de créer un spectacle avec les jeunes, mais aussi partager et échanger des outils d’animation, médiation, cirque, théâtre et création, dans le but d’une formation à l’approche Trickster. Pour Manu, c’est sa quatrième visite et Cyril sa deuxième, on retrouve de vieux amis.

Déjà entrée dans l’école, l’équipe se fait saluer et  reconnaître autant par le personnel que les adolescents. Une traversée de corridor se résume à plusieurs highfives, des sourires, des rires et des questions à savoir où sont Anne et Lili, les artistes-médiatrice de l’an passé. Tout le monde se souvient et autant pour les Tricksters que les jeunes, c’est une joie de se retrouver.

(c) Exeko

Ce n’est pas avec les jeunes que nous commencerons notre aventure, mais avec des professeurs, intervenants en loisirs et anciens participants qui souhaitent en apprendre plus sur l’approche, les jeux, les techniques d’animation et « le pourquoi du comment du quessé » d’un Trickster. Avec eux, on joue, on rie, on leur fait vivre un atelier vitesse grand V en leur partageant, en toute transparence, les raisons des jeux choisis et de la manière de les animer. Déjà, l’équipe revient à son camp de base, la tête pleine de nouvelles idées et d’apprentissages. Le projet de formation étant un pilote, les participants sont nos phares dans cette expérience.

En pleine formation Trickster! (c) Exeko

Enfin, mercredi, on rencontre une quinzaine de jeunes qui savent très bien ce qu’ils sont venus faire avec nous.

(c) Exeko

« On joue au chasseur innu !?! »

« On fait du trapèze !?! »

« T’es qui toi ? »

« Toi, qu’est-ce que tu vas nous apprendre ? » (Très bonne question, j’avoue que celle-ci m’a laissée bouche bée !)

« C’est quand le spectacle ? »

« Je peux faire du diabolo ? »

« Moi j’étais dans le spectacle l’an passé, tu me reconnais ? »

(c) Exeko

Ce qu’il y a de magique c’est qu’il reste encore deux semaines. Deux semaines de magnifiques rencontres. Deux semaines à travailler avec les jeunes, mais aussi les enseignants et le personnel de soutien de l’école qui nous épaulent merveilleusement. Sans eux, rien ne serait possible. Participants à la formation, ils nous apprennent continuellement sur les jeunes, sur leurs techniques, sur la communauté, sur nous-mêmes et bien plus encore. Ces deux semaines promettent d’être riches en rencontres, partages et échanges. Nutashkuan, encore une fois, tu nous charmes et fais grandir les projets.

Cynthia s'amuse avec le tissu! (c) Exeko

Un grand merci à l'École Uauitshitun et au Centre de santé Tshukuminu Kanani pour leur accueil.

Merci aussi à la Fondation Québec Jeunes, Telus Rimouski et au Secrétariat des affaires autochtones pour leur soutien financier au projet.

Pour en savoir plus sur Trickster, c'est ici!

Pêche sur glace dans le Vieux-Montréal

  Par Marie-Pierre Gadoua, médiatrice

Pour nous médiateurs, les ateliers idAction sont une éternelle boîte à surprises, une grande source de défis et apprentissages tant du point de vue humain que professionnel. La semaine dernière, je crois que nous avons atteint des sommets dans ce domaine, avec un atelier de médiation intellectuelle et culturelle autour d’une partie de pêche sur glace avec des Inuit en milieu urbain.

Depuis octobre 2014, nous organisons des ateliers idAction au Module du Nord Québécois (MNQ). Les participants sont des Inuit du Nunavik en visite médicale à Montréal, et nos ateliers visent à faciliter leur inclusion sociale lors de leur séjour. Même s’ils connaissent la ville, même s’ils y sont déjà venus plus d’une fois, les résidents du MNQ ne trouvent pas toujours leur compte dans la grande ville. En séjour obligé pour des raisons de santé, ils attendent patiemment leur retour à la maison, à leur vie familiale et communautaire, aux grands espaces du Nunavik, la mer, les rivières, les lacs, les montagnes, la toundra… la chasse et la pêche. Mais Montréal n’est-elle pas une île dont l’occupation fut, pour la plus longue période de son histoire, celle des autochtones à des fins de pêche sur le fleuve Saint-Laurent? Nous, Montréalais, semblons l’ignorer ou du moins, l’avoir oublié.  

« Nous étions préparées à apprendre lors de cette sortie »

C’est avec ces idées en tête que nous avons organisé un après-midi de pêche blanche dans le Vieux-Montréal avec des résidents du Module du Nord. Découvrir Montréal autrement, prendre l’air, échanger, avoir du plaisir en discutant… et en pêchant la truite mouchetée.

Avec mes collègues médiatrices, nous étions préparées à apprendre lors de cette sortie. Première leçon : chez les Inuit, la pêche est autant (sinon plus) une affaire de femmes que d’hommes. La majorité des participants à notre sortie furent donc des participantes. Marie-Paule Grimaldi, médiatrice, raconte : « Il y a eu un très beau moment au début, quand le garçon [le seul participant masculin, un jeune homme dans la début vingtaine] a insisté pour que Sarah [une aînée] commence la pêche. On la regardait faire, et il y a eu comme un petit moment de sacré empreint de respect pour elle, en silence et en attention. »  

La belle prise! (c) Exeko

Nous avons appris qu’il ne faut pas remettre le poisson pêché à l’eau, sous peine de ne plus en attraper de la journée. À la façon typiquement inuite d’enseigner les choses de la vie aux plus jeunes, Sarah (l’aînée du groupe) nous a laissé expérimenter, faire notre erreur et en subir les conséquences avant de nous dire plus tard : « Vous n’auriez pas dû le remettre à l’eau. C’est pour ça qu’on n’attrape plus rien. ». J’ai demandé alors « Pourquoi exactement? ». Pour seule réponse de sa part : un regard appuyé, bienveillant, mais un tantinet intimidant. Ce regard m’a poussé à réfléchir moi-même à la réponse. Sans doute une question de respect envers le poisson. Il aurait fallu le manger, car c’est une façon de l’honorer. Il s’est donné à nous, ce poisson, et nous lui avons manqué de respect en le rejetant. Le jeune participant inuit a parlé poésie avec Marie-Paule (les deux se sont découvert une passion et une pratique en commun) et a enseigné une chanson traditionnelle en Inuktitut à Alexandra. Ensemble, tout en pêchant, nous avons aussi visionné des vidéos filmées plus tôt cette semaine-là au Centre d’amitié autochtone de Montréal (CAAM) pour un projet avec idAction mobile, et mettant en vedette des chanteuses de gorges du Nunavik, un danseur/percussionniste du Nunavut, et un groupe de percussionnistes mixte (Premières Nations et Inuit). Ce fut une belle découverte pour ces participants de voir que de telles prestations artistiques et musicales autochtones avaient lieu régulièrement à Montréal.  

Complicité entre Iqiquq et Marie-Paule (c) Exeko

À la fin de la journée, toutes les participantes et le participant nous ont dit à quel point c'était apprécié, que ce fut bon de sortir, de vivre quelque chose de positif à Montréal. Une des femmes nous a confié qu'elle ne comprenait pas que les résidents qui ont hésité à se joindre à nous se soient privés de passer un si bon moment. Nous parlons alors de toutes les autres sorties qu'il serait intéressant de faire (tout ce qui touche la nature et le hockey!) et à quel point il est important de profiter du séjour à Montréal pour tirer avantage de la ville.

Nos ateliers idAction se poursuivent au Module du Nord tous les mardis soir, avec un atelier de couture et des soirées cinéma inuit, notamment la série Unikkausivut de l’Office National du Film.           

Pêche sur glace dans le Vieux-Montréal

  Par Marie-Pierre Gadoua, médiatrice

Pour nous médiateurs, les ateliers idAction sont une éternelle boîte à surprises, une grande source de défis et apprentissages tant du point de vue humain que professionnel. La semaine dernière, je crois que nous avons atteint des sommets dans ce domaine, avec un atelier de médiation intellectuelle et culturelle autour d’une partie de pêche sur glace avec des Inuit en milieu urbain.

Depuis octobre 2014, nous organisons des ateliers idAction au Module du Nord Québécois (MNQ). Les participants sont des Inuit du Nunavik en visite médicale à Montréal, et nos ateliers visent à faciliter leur inclusion sociale lors de leur séjour. Même s’ils connaissent la ville, même s’ils y sont déjà venus plus d’une fois, les résidents du MNQ ne trouvent pas toujours leur compte dans la grande ville. En séjour obligé pour des raisons de santé, ils attendent patiemment leur retour à la maison, à leur vie familiale et communautaire, aux grands espaces du Nunavik, la mer, les rivières, les lacs, les montagnes, la toundra… la chasse et la pêche. Mais Montréal n’est-elle pas une île dont l’occupation fut, pour la plus longue période de son histoire, celle des autochtones à des fins de pêche sur le fleuve Saint-Laurent? Nous, Montréalais, semblons l’ignorer ou du moins, l’avoir oublié.  

« Nous étions préparées à apprendre lors de cette sortie »

C’est avec ces idées en tête que nous avons organisé un après-midi de pêche blanche dans le Vieux-Montréal avec des résidents du Module du Nord. Découvrir Montréal autrement, prendre l’air, échanger, avoir du plaisir en discutant… et en pêchant la truite mouchetée.

Avec mes collègues médiatrices, nous étions préparées à apprendre lors de cette sortie. Première leçon : chez les Inuit, la pêche est autant (sinon plus) une affaire de femmes que d’hommes. La majorité des participants à notre sortie furent donc des participantes. Marie-Paule Grimaldi, médiatrice, raconte : « Il y a eu un très beau moment au début, quand le garçon [le seul participant masculin, un jeune homme dans la début vingtaine] a insisté pour que Sarah [une aînée] commence la pêche. On la regardait faire, et il y a eu comme un petit moment de sacré empreint de respect pour elle, en silence et en attention. »  

La belle prise! (c) Exeko

Nous avons appris qu’il ne faut pas remettre le poisson pêché à l’eau, sous peine de ne plus en attraper de la journée. À la façon typiquement inuite d’enseigner les choses de la vie aux plus jeunes, Sarah (l’aînée du groupe) nous a laissé expérimenter, faire notre erreur et en subir les conséquences avant de nous dire plus tard : « Vous n’auriez pas dû le remettre à l’eau. C’est pour ça qu’on n’attrape plus rien. ». J’ai demandé alors « Pourquoi exactement? ». Pour seule réponse de sa part : un regard appuyé, bienveillant, mais un tantinet intimidant. Ce regard m’a poussé à réfléchir moi-même à la réponse. Sans doute une question de respect envers le poisson. Il aurait fallu le manger, car c’est une façon de l’honorer. Il s’est donné à nous, ce poisson, et nous lui avons manqué de respect en le rejetant. Le jeune participant inuit a parlé poésie avec Marie-Paule (les deux se sont découvert une passion et une pratique en commun) et a enseigné une chanson traditionnelle en Inuktitut à Alexandra. Ensemble, tout en pêchant, nous avons aussi visionné des vidéos filmées plus tôt cette semaine-là au Centre d’amitié autochtone de Montréal (CAAM) pour un projet avec idAction mobile, et mettant en vedette des chanteuses de gorges du Nunavik, un danseur/percussionniste du Nunavut, et un groupe de percussionnistes mixte (Premières Nations et Inuit). Ce fut une belle découverte pour ces participants de voir que de telles prestations artistiques et musicales autochtones avaient lieu régulièrement à Montréal.  

Complicité entre Iqiquq et Marie-Paule (c) Exeko

À la fin de la journée, toutes les participantes et le participant nous ont dit à quel point c'était apprécié, que ce fut bon de sortir, de vivre quelque chose de positif à Montréal. Une des femmes nous a confié qu'elle ne comprenait pas que les résidents qui ont hésité à se joindre à nous se soient privés de passer un si bon moment. Nous parlons alors de toutes les autres sorties qu'il serait intéressant de faire (tout ce qui touche la nature et le hockey!) et à quel point il est important de profiter du séjour à Montréal pour tirer avantage de la ville.

Nos ateliers idAction se poursuivent au Module du Nord tous les mardis soir, avec un atelier de couture et des soirées cinéma inuit, notamment la série Unikkausivut de l’Office National du Film.           

Exeko x Club des petits déjeuners @ Island Lake

Exeko et le Club des petits déjeuners du Canada seront au Nord du Manitoba pour tenir des projets avec des jeunes de 3 communautés Oji-Cree @ Island Lake du 2 au 21 mars 2015. Alessia De Salis, artiste-médiatrice pour le projet nous a écrit un petit mot en direct de Saint Theresa Point!
Par Alessia De Salis @ Island Lake

Départ pour Island Lake. Bruno, Cathia et moi même nous rencontrons à l’aéroport de Montréal pour le grand départ. Au total, 15 bagages. Pourtant, Cathia n’a pas caché son mari dans sa valise, Bruno n’emmène pas le Labo Crack Boom au grand complet…..Bref, des combines en mérinos et des bobettes… Le reste…de l’équipement de jonglerie et de la bouffe pour 3 semaines! BOUM pour 1000 kilos sur 4 chariots trainés par 3 médiateurs!

Départ pour le Costa Rica dernier appel…non, cette aventure c’est vers Island Lake!

Une nuit à Winnipeg, et le jour suivant, un mini-avion de Perimeter Airlines  nous accueille, avec Tobby comme agent de bord. Difficile de se concentrer pour donner les conseils de sécurité quand les deux médiatrices applaudissent à tout ce qu’il dit. Par le hublot, une étendue de blanc suivit d’une forêt sans fin de conifères, encore entouré de tout ce blanc. Bruno, Cathia et moi, en route vers une place qu’on appel Island Lake.  Premier arrêt; Saint-Theresa Point.

(c) Exeko

 

Tout de suite en sortant de l’avion, nous tombons face à face avec un très charmant hélicoptère. Par chance, le lift pour Saint-Theresa se trouve à Winnipeg, ce qui donne l’occasion aux deux médiatrices de quêter un tour d’hélicoptère à Jeff, le pilote. Il ne suffit que de demander, et les voilà à 100 mêtres au dessus de cette place magique et encore inconnu. C’est un premier contact aérien avec cet immense lac gelé qui encadre les îles et ouvre les routes de glace entre les communautés.  De retour à l’aéroport, Cornélius nous accueille pour nous reconduire dans cette magnifique petite maison ou nous dormirons à 5 dans un salon.   

 

 

(c) Exeko

Puis, Freddy, un homme au cœur immense qui tient la sagesse dans ses mots, nous raconte son amour pour sa communauté et sa culture. Il partage les besoins de celle-ci avant humilité et humanité. Émus et transportés par cette rencontre, nous réalisons lentement que cette aventure sera plus belle et plus grande que toute attente.  Le même soir, il nous invites pour une balade nocturne sur la route de glace, une route sur un lac, faite en glace ou les voitures peuvent rouler d’une communauté à l’autre. Au milieu du lac, au milieu de la route, une aurore boréale illumine le ciel et les yeux des médiateurs.

 

(c) Exeko

 

Jour 1 à l’école secondaire de Saint-Theresa Point. Une liste de 40 étudiants inscrits pour le projet. Un souvenir du dernier projet @ Garden Hill en 2013 oû le grand nombre d’inscriptions avait dupé les médiateurs qui s’étaient retrouvés avec un beaucoup plus petit groupe. Aller pour le tour des classes et le recrutement des participants.  L’atelier débute avec un total de 51 étudiants. Le local déborde de sourires et d’énergie. Les jeunes participent avec entrain. Nous sommes remplis et subjugués par cette ouverture et cet engagement. Des jeux de Samourai à la princesse, les jeunes sont prêts à tout.  Dans un circuit de jonglerie ils expérimentent les différentes disciplines. À la fin de l’atelier, un petit retour avec un immense groupe. Nous ne trouvons qu’une seule chose à dire :

« Merci. On a hâte à demain! »

Merci au Club des petits déjeuners du Canada et à la Winnipeg Foundation (Edward Dock Fund) pour leur soutien dans le cadre de ce projet.

Découvrez le programme Trickster ici ---> exeko.org/trickster

 

Pages

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

Nous recherchons une personne afin d’assurer le développement, la planification, le déploiement et le suivi de nos projets de médiation et...

  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue. »

    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain

  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre…  »

    Nadia Duguay, directrice du projet

  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants. »

    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente

  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir.  »

    Sophie Poucachiche, participante

  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir »

    Jimmy, participant

  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?" »

    Tony, participant idAction

  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir »

    Jo, participant idAction

  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté. »

    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi

  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être. »

    François-Xavier Michaux, directeur du programme

  • « On a appris à affronter nos peurs. »

    Cynthia, participante Trickster

  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie! »

    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster

  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle. »

    Nadia Bastien, directrice générale AMDI

  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur. »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver »

    Un visiteur, D'un oeil différent 2013

  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun »

    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013

  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête. »

    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013

  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir

  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire! »

    Elie, participante

  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir. »

    Participant en milieu carcéral

  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur. »

    Louise Chabot, Présidente CSQ

  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider. »

    Participant en milieu carcéral

  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants. »

    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir

  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées... »

    Participant, idAction Mobile

  • «  Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ? »

    Nathaniel, participant, Trickster

  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant. »

    Directrice d'une école partenaire

  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime »

    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice

  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres. »

    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013

  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire. »

    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013

  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis. »

    Bulletin des YMCA

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil ! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses

  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation. »

    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal

  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière. »

    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI

  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant... »

    Larry, participant

  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait. »

    Eva, participante

  • « Nous sommes vraiment heureux de conjuguer nos actions à celles d'Exeko; nous avons ainsi l'assurance que la jeunesse autochtone en bénéficiera de façon significative.»
    Marie-Josée Coutu, Présidente de la Fondation Marcelle et Jean Coutu
  • « J'ai toujours été imprégnée du désir de justice sociale et je croyais ne pas avoir de préjugés...mais je dois dire que mon expérience chez Exeko a transformé ma vision des personnes en marge.»
    Muriel Kearney, bénévole depuis septembre 2015
  • « Je ne suis que la courroie de transmission, je ne fais que retranscrire ce que les gens m'ont donné dans la rue.»
    Stéphane Dionne, artiste co-créateur pour métissage urbain
  • « I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer»
    A participant, idAction Mobile
  • « Pourquoi t'aime ça peindre? J'aime ça Parce que personne peut m'enlever ça dans la tête.»
    Diane, exposante à D'un oeil différent 2013
  • « Comment te sens tu quand tu vois ta toile accrochée à un mur? Bien en dedans, c'est le fun»
    Dan, exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Quelle belle exposition ! Ça nous a fait rêver un peu ! J’ai appris que y’a beaucoup de personnes qui peuvent faire des œuvres magnifiques, différentes, ça nous a fait rêver»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Ça fait longtemps que j’ai pas été dans un évènement qui m’ai apporté autant de bonheur.»
    Un visiteur, D'un oeil différent 2013
  • « Collaborer avec l’équipe de Exeko a clairement amélioré la portée de nos projets. Par leur vision de la mixité et de la médiation culturelle, Exeko s’est démarqué dans leur façon de faire valoir l’intégration des personnes vivant avec une déficience intellectuelle.»
    Nadia Bastien, directrice générale AMDI
  • « La formule ; des ateliers quasi « intensifs », pour arriver à un résultat concret en seulement 2 semaines. Une réussite dont les élèves se rappelleront toute leur vie!»
    Marie-Ève Gagnon, professeure d’Art, à propos de Trickster
  • « On a appris à affronter nos peurs.»
    Cynthia, participante Trickster
  • « Notre objectif : Tisser des liens solides avec les communautés, travailler main dans la main, apporter notre pierre à l'édifice, et transmettre le plus que nous pouvons, en espérant que, dans l'avenir, notre programme n'ait plus sa raison d'être.»
    François-Xavier Michaux, directeur du programme
  • « C'est un excellent programme qui permet aux enfants de connaître leurs traditions et d'accroître leurs interactions avec les aînés dans la communauté.»
    Erika Eagle, Assistante en développement social, Grandir Ensemble Waswanipi
  • « Y'en a qui ont la soif du pouvoir, ben moi c'est la soif du savoir»
    Jo, participant idAction
  • « On a besoin de tout le monde; si on a juste des ingénieurs et des architectes, on va manger quoi? Des plans et des schémas?"»
    Tony, participant idAction
  • « Tel un arbre, à chaque fois que quelqu'un apprend et transmet quelque chose, y en a un autre en arrière qui va grandir»
    Jimmy, participant
  • « Les ateliers idAction m'ont permis de me voir autrement de celle que j'aurais du être. Et je vais le devenir. »
    Sophie Poucachiche, participante
  • « Les discussions sur les sujets amenés durant les ateliers sont positives et intéressantes, l’animateur réussit à ouvrir des débats, à allumer les esprits sur des sujets importants.»
    Johanne Cooper, directrice générale, La Maison Tangente
  • « On y apprend, entre autres que même si nous ne sommes qu'une infinitésimale partie de la planète, nous ne sommes pas insignifiants, on peut faire quelque chose, on peut comprendre quel peut y être notre rôle.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Faire confiance et donner aux jeunes autochtones marginalisés le pouvoir de se faire comprendre et entendre… »
    Nadia Duguay, directrice du projet
  • « Son but? Développer le raisonnement, la pensée critique, la logique, et augmenter la participation citoyenne de ces groupes marginalisés.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir
  • « Les gens ne pensent pas à me donner des livres alors que j'aime tellement lire!»
    Elie, participante
  • « Merci de parler avec moi! Aujourd'hui je me sentais complètement seule, personne ne me parlait.»
    Eva, participante
  • « C'était un moment inoubliable : je suis tellement reconnaissant...»
    Larry, participant
  • « On voit [...]depuis quelques années plus de productions de grande qualité avec des personnes ayant une déficience intellectuelle qui sont des artistes à part entière.»
    Julie Laloire, Agente de sensibilisation à l'AMDI
  • « L'art a l'avantage de permettre [de] parler [de déficience intellectuelle] en termes de capacité plutôt que de limitation.»
    Delphine Ragon, Directrice des programmes communautaires aux Compagnons de Montréal
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil !»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « C'est terrible pour une société d'ignorer des gens avec un talent pareil!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses
  • « Exeko met en place des solutions créatives à différentes problématiques, donne une voix aux sans voix et de l'espoir aux plus démunis.»
    Bulletin des YMCA
  • « J’ai dessiné en t’écoutant, comme écouté de la musique. J’ai adoré. Je suis passée par beaucoup de stades, comme ton histoire.»
    Soufia Bensaïd à Edon Descollines, duo d'artistes Tandem Créatif 2013
  • « On a notre style, notre marque de commerce. On fait les choses différemment des autres.»
    Guillaume Lapierre, artiste exposant à D'un oeil différent 2013
  • « Es-tu un artiste? -Oui - Pourquoi? - Parce que j'aime»
    Gilles Grégoire, artiste, en réponse à notre médiatrice
  • « Depuis que vous êtes là, les jeunes rient, et il y en a même qu’on n'avais jamais vu sourire qui sourient maintenant.»
    Directrice d'une école partenaire
  • « Pourquoi ne restez-vous pas ici pour toujours ?»
    Nathaniel, participant, Trickster
  • « Vous donnez le goût aux gens d'avoir des idées...»
    Participant, idAction Mobile
  • « La caravane d’Exeko, qui distribue des livres, des cahiers et des crayons aux itinérants de Montréal, et plus particulièrement aux itinérants autochtones, sillonne les rues de Montréal, pour faire jaillir la participation culturelle de ces exclus de la société. Avec des résultats franchement étonnants.»
    Caroline Monpetit, Journaliste, Le Devoir
  • « J'ai appris que 80% des richesses de la planète sont détenues et gaspillées par 20% de celles-ci, [...] qu'un rire est universel et qu'il met un baume sur les souffrances de quiconque, [...] qu'il y a des gens qui souffrent et que je peux à ma manière les aider.»
    Participant en milieu carcéral
  • « Cet espace de savoir, nourrissant l’esprit et la créativité, ainsi que l’ouverture qu’offre idAction sont tout à votre honneur.»
    Louise Chabot, Présidente CSQ
  • « Je m'aperçois qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent à faire changer les choses et les attitudes, cela me donne un peu plus confiance dans l'avenir.»
    Participant en milieu carcéral