IdAction/Trickster à La Tuque: les expériences qui rendent fort

Mission accomplie! Le projet pilote du métissage IdAction et Trickster à La Tuque s’est conclu le dimanche 9 mars sur une note positive et un constat de succès. Notre indicateur? Les jeunes, les 10-14 ans de Trickster comme les 18-25 ans d’IdAction/Amiskw, qui nous disent être satisfaits, heureux, inspirés par l’expérience. Le plaisir fut au rendez-vous et les apprentissages ont été nombreux, pour tous les participants comme pour l’équipe. Chacun a dû être généreux et donner le meilleur de soi pour la réalisation du projet, et chacun l’a fait.

Trickster et Amiskw entremêlés dans un noeud humain (c) Exeko

L'affiche du spectacle (c) Exeko

De mercredi à samedi, la création du spectacle Trickster intensifiait le rythme des journées! Pour la confection des décors et des costumes, il fallait rester au La Tuque High School bien après l’atelier… Heureusement, nous avons pu compter sur les doigts de fée de Laurianne, intervenante du Centre d’amitié autochtone, et sur l’appui des jeunes du groupe Amiskw alors que les gars se sont appliqués à faire le canot et les filles à tracer sur la grande toile le croquis d’Eden, l’une des leurs. L’expérience leur a tous permis d’être initié aux métiers de la scène, mais pour Eden, c’était un peu plus : « Je n’avais pas touché à un crayon à dessiner depuis deux ans », nous dit-elle pendant que son talent et sa passion pour l’art nous sautent aux yeux…

Les gars d'Amiskw pendant la confection du canot (c) Exeko

Eden d'Amiskw donne les indications pour la toile (c) Exeko

Tous mettent une touche de pinceau (c) Exeko

Confection des têtes de brochets (c) Exeko

On s'amuse pendant la confection de décors et d'accessoires! (c) Exeko

Rodney, à la fois du groupe IdAction/Amiskw et stagiaire au sein de Trickster, s’est fait porte-parole du spectacle et a donné deux entrevues, l’une pour l’Écho de La Tuque et l’autre pour la radio locale. Mais le jeudi était déjà le dernier jour d’atelier IdAction, juste le temps de faire un dernier tour de piste sur la manipulation du discours à travers l’analyse de publicités, et de faire le bilan sur l’expérience, sur les attitudes et les aptitudes acquises individuellement et en groupe. Les participants se sont vus remettre un épais bilan soulignant les apprentissages et le plaisir partagé, un certificat et un petit cadeau-souvenir, une plume fontaine pour continuer à s’inscrire dans leur monde… L’émotion était au rendez-vous et deux du groupe sont allés rejoindre les jeunes de Trickster pour leur prêter main forte.

Dernière rencontre IdAction avec le groupe Amiskw (c) Exeko

À chaque jour, les scènes du spectacle Atisokan: les légendes qui rendent fort se concrétisaient de plus en plus, prenaient forme, prenaient vie. Vendredi, après avoir travaillé chaque partie, le groupe a pu faire un premier enchaînement. Samedi, c’était déjà le grand soir, mais en après-midi, le groupe a pu faire un autre enchaînement et une véritable générale, devant public même grâce à des enfants qui fêtaient un anniversaire dans l’école ce jour là. Kena et Cyril donnaient leurs derniers conseils, voyaient avec les jeunes aux derniers ajustements, car pendant le spectacle, ils seraient seuls en coulisse! Entre les répétitions et l’arrivée du public, Exeko offrait la pizza à tous et l’heure étaient aux préparatifs, maquillage et dernier cercle pour se concentrer, vivre ce moment unique, de trac, certes, mais ensemble.

Répétitions d'Atisokan (c) Exeko

Répétitions d'Atisokan (c) Exeko

Préparation en vue du spectacle, même Cyril y passe! (c) Exeko

Laurianne-aux-doigts-de-fée, du CAALT, s'occupe des costumes et du maquillage (c) Exeko

Le Doré et le Brochet d'Atisokan (c) Exeko

Dès 18h30, le public commence à arriver pour la représentation de 19 h, et on doit courir chercher plus de chaises pour accueillir tout le monde! Plus de cinquante personnes se sont déplacés pour applaudir les efforts et la création des jeunes, un bon public pour un spectacle annoncé si rapidement. Pendant leur entrée, on fait jouer le conte du Brochet et du Doré raconté en atikamekw par Marcel Petiquay. Puis les lumières se ferment et les deux bancs de poissons (Brochets et Dorés) fait par les enfants se faufilent autour du public jusqu’à l’espace scénique. Avec une belle ardeur, ils nous racontent l’histoire du grand-père Brochet qui n’aimait par le Doré que sa fille avait épousé et qui cherchait à lui jouer des tours pour l’éliminer. Mais le Doré, avec son pouvoir de métamorphose, son courage et sa malice, finit par l’emporter. Ensuite, c’est Rodney qui entre en scène dans le rôle du conteur pour enchaîner avec l’histoire des Deux loups, le lumineux et le ténébreux qui mènent un combat en chacun de nous. Lequel gagne? «Celui que tu nourris», nous dit la légende. Les applaudissements fusent, les jeunes ont tout donné! Suite au spectacle, les jeunes ont tous reçu leur certificat de participation, leur nez de clown et leurs balles à jongler, dans la tradition Trickster.

Le public attentif d'Atisokan (c) Exeko

Confrontation Doré-Brochet dans Atisokan (c) Exeko

Mésaventure du Brochet et du Doré-Goéland... (c) Exeko

L'histoire des Deux Loups (c) Exeko

Le salut devant des applaudissements dythirambiques (c) Exeko

Le dimanche était le temps d’un dernier au revoir avec les jeunes de Trickster, d’un dernier partage pour examiner ce que l’expérience a laissé en chacun, ce qu’elle a semé en ce premier jour à l’heure d’été qui commençait à sentir le printemps, un peu… Et une belle nouvelle flotte dans l’air: le spectacle sera peut-être remonté prochainement par le Centre d’amitié autochtone de La Tuque, et les jeunes sont tous partants pour recommencer l’expérience, les stagiaires prêts à guider l’aventure! C’est à suivre, mais dans tous les cas, les liens ont été créés et une belle trace a été laissée, colorée par les talents et la personnalité de tous. 

Merci au Centre d'amitié autochtone de La Tuque et au La Tuque High School.

Découvrez les programmes idAction et Trickster

IdAction/Trickster à La Tuque: les expériences qui rendent fort

Mission accomplie! Le projet pilote du métissage IdAction et Trickster à La Tuque s’est conclu le dimanche 9 mars sur une note positive et un constat de succès. Notre indicateur? Les jeunes, les 10-14 ans de Trickster comme les 18-25 ans d’IdAction/Amiskw, qui nous disent être satisfaits, heureux, inspirés par l’expérience. Le plaisir fut au rendez-vous et les apprentissages ont été nombreux, pour tous les participants comme pour l’équipe. Chacun a dû être généreux et donner le meilleur de soi pour la réalisation du projet, et chacun l’a fait.

Trickster et Amiskw entremêlés dans un noeud humain (c) Exeko

L'affiche du spectacle (c) Exeko

De mercredi à samedi, la création du spectacle Trickster intensifiait le rythme des journées! Pour la confection des décors et des costumes, il fallait rester au La Tuque High School bien après l’atelier… Heureusement, nous avons pu compter sur les doigts de fée de Laurianne, intervenante du Centre d’amitié autochtone, et sur l’appui des jeunes du groupe Amiskw alors que les gars se sont appliqués à faire le canot et les filles à tracer sur la grande toile le croquis d’Eden, l’une des leurs. L’expérience leur a tous permis d’être initié aux métiers de la scène, mais pour Eden, c’était un peu plus : « Je n’avais pas touché à un crayon à dessiner depuis deux ans », nous dit-elle pendant que son talent et sa passion pour l’art nous sautent aux yeux…

Les gars d'Amiskw pendant la confection du canot (c) Exeko

Eden d'Amiskw donne les indications pour la toile (c) Exeko

Tous mettent une touche de pinceau (c) Exeko

Confection des têtes de brochets (c) Exeko

On s'amuse pendant la confection de décors et d'accessoires! (c) Exeko

Rodney, à la fois du groupe IdAction/Amiskw et stagiaire au sein de Trickster, s’est fait porte-parole du spectacle et a donné deux entrevues, l’une pour l’Écho de La Tuque et l’autre pour la radio locale. Mais le jeudi était déjà le dernier jour d’atelier IdAction, juste le temps de faire un dernier tour de piste sur la manipulation du discours à travers l’analyse de publicités, et de faire le bilan sur l’expérience, sur les attitudes et les aptitudes acquises individuellement et en groupe. Les participants se sont vus remettre un épais bilan soulignant les apprentissages et le plaisir partagé, un certificat et un petit cadeau-souvenir, une plume fontaine pour continuer à s’inscrire dans leur monde… L’émotion était au rendez-vous et deux du groupe sont allés rejoindre les jeunes de Trickster pour leur prêter main forte.

Dernière rencontre IdAction avec le groupe Amiskw (c) Exeko

À chaque jour, les scènes du spectacle Atisokan: les légendes qui rendent fort se concrétisaient de plus en plus, prenaient forme, prenaient vie. Vendredi, après avoir travaillé chaque partie, le groupe a pu faire un premier enchaînement. Samedi, c’était déjà le grand soir, mais en après-midi, le groupe a pu faire un autre enchaînement et une véritable générale, devant public même grâce à des enfants qui fêtaient un anniversaire dans l’école ce jour là. Kena et Cyril donnaient leurs derniers conseils, voyaient avec les jeunes aux derniers ajustements, car pendant le spectacle, ils seraient seuls en coulisse! Entre les répétitions et l’arrivée du public, Exeko offrait la pizza à tous et l’heure étaient aux préparatifs, maquillage et dernier cercle pour se concentrer, vivre ce moment unique, de trac, certes, mais ensemble.

Répétitions d'Atisokan (c) Exeko

Répétitions d'Atisokan (c) Exeko

Préparation en vue du spectacle, même Cyril y passe! (c) Exeko

Laurianne-aux-doigts-de-fée, du CAALT, s'occupe des costumes et du maquillage (c) Exeko

Le Doré et le Brochet d'Atisokan (c) Exeko

Dès 18h30, le public commence à arriver pour la représentation de 19 h, et on doit courir chercher plus de chaises pour accueillir tout le monde! Plus de cinquante personnes se sont déplacés pour applaudir les efforts et la création des jeunes, un bon public pour un spectacle annoncé si rapidement. Pendant leur entrée, on fait jouer le conte du Brochet et du Doré raconté en atikamekw par Marcel Petiquay. Puis les lumières se ferment et les deux bancs de poissons (Brochets et Dorés) fait par les enfants se faufilent autour du public jusqu’à l’espace scénique. Avec une belle ardeur, ils nous racontent l’histoire du grand-père Brochet qui n’aimait par le Doré que sa fille avait épousé et qui cherchait à lui jouer des tours pour l’éliminer. Mais le Doré, avec son pouvoir de métamorphose, son courage et sa malice, finit par l’emporter. Ensuite, c’est Rodney qui entre en scène dans le rôle du conteur pour enchaîner avec l’histoire des Deux loups, le lumineux et le ténébreux qui mènent un combat en chacun de nous. Lequel gagne? «Celui que tu nourris», nous dit la légende. Les applaudissements fusent, les jeunes ont tout donné! Suite au spectacle, les jeunes ont tous reçu leur certificat de participation, leur nez de clown et leurs balles à jongler, dans la tradition Trickster.

Le public attentif d'Atisokan (c) Exeko

Confrontation Doré-Brochet dans Atisokan (c) Exeko

Mésaventure du Brochet et du Doré-Goéland... (c) Exeko

L'histoire des Deux Loups (c) Exeko

Le salut devant des applaudissements dythirambiques (c) Exeko

Le dimanche était le temps d’un dernier au revoir avec les jeunes de Trickster, d’un dernier partage pour examiner ce que l’expérience a laissé en chacun, ce qu’elle a semé en ce premier jour à l’heure d’été qui commençait à sentir le printemps, un peu… Et une belle nouvelle flotte dans l’air: le spectacle sera peut-être remonté prochainement par le Centre d’amitié autochtone de La Tuque, et les jeunes sont tous partants pour recommencer l’expérience, les stagiaires prêts à guider l’aventure! C’est à suivre, mais dans tous les cas, les liens ont été créés et une belle trace a été laissée, colorée par les talents et la personnalité de tous. 

Merci au Centre d'amitié autochtone de La Tuque et au La Tuque High School.

Découvrez les programmes idAction et Trickster

IdAction/Trickster à La Tuque: les expériences qui rendent fort

Mission accomplie! Le projet pilote du métissage IdAction et Trickster à La Tuque s’est conclu le dimanche 9 mars sur une note positive et un constat de succès. Notre indicateur? Les jeunes, les 10-14 ans de Trickster comme les 18-25 ans d’IdAction/Amiskw, qui nous disent être satisfaits, heureux, inspirés par l’expérience. Le plaisir fut au rendez-vous et les apprentissages ont été nombreux, pour tous les participants comme pour l’équipe. Chacun a dû être généreux et donner le meilleur de soi pour la réalisation du projet, et chacun l’a fait.

Trickster et Amiskw entremêlés dans un noeud humain (c) Exeko

L'affiche du spectacle (c) Exeko

De mercredi à samedi, la création du spectacle Trickster intensifiait le rythme des journées! Pour la confection des décors et des costumes, il fallait rester au La Tuque High School bien après l’atelier… Heureusement, nous avons pu compter sur les doigts de fée de Laurianne, intervenante du Centre d’amitié autochtone, et sur l’appui des jeunes du groupe Amiskw alors que les gars se sont appliqués à faire le canot et les filles à tracer sur la grande toile le croquis d’Eden, l’une des leurs. L’expérience leur a tous permis d’être initié aux métiers de la scène, mais pour Eden, c’était un peu plus : « Je n’avais pas touché à un crayon à dessiner depuis deux ans », nous dit-elle pendant que son talent et sa passion pour l’art nous sautent aux yeux…

Les gars d'Amiskw pendant la confection du canot (c) Exeko

Eden d'Amiskw donne les indications pour la toile (c) Exeko

Tous mettent une touche de pinceau (c) Exeko

Confection des têtes de brochets (c) Exeko

On s'amuse pendant la confection de décors et d'accessoires! (c) Exeko

Rodney, à la fois du groupe IdAction/Amiskw et stagiaire au sein de Trickster, s’est fait porte-parole du spectacle et a donné deux entrevues, l’une pour l’Écho de La Tuque et l’autre pour la radio locale. Mais le jeudi était déjà le dernier jour d’atelier IdAction, juste le temps de faire un dernier tour de piste sur la manipulation du discours à travers l’analyse de publicités, et de faire le bilan sur l’expérience, sur les attitudes et les aptitudes acquises individuellement et en groupe. Les participants se sont vus remettre un épais bilan soulignant les apprentissages et le plaisir partagé, un certificat et un petit cadeau-souvenir, une plume fontaine pour continuer à s’inscrire dans leur monde… L’émotion était au rendez-vous et deux du groupe sont allés rejoindre les jeunes de Trickster pour leur prêter main forte.

Dernière rencontre IdAction avec le groupe Amiskw (c) Exeko

À chaque jour, les scènes du spectacle Atisokan: les légendes qui rendent fort se concrétisaient de plus en plus, prenaient forme, prenaient vie. Vendredi, après avoir travaillé chaque partie, le groupe a pu faire un premier enchaînement. Samedi, c’était déjà le grand soir, mais en après-midi, le groupe a pu faire un autre enchaînement et une véritable générale, devant public même grâce à des enfants qui fêtaient un anniversaire dans l’école ce jour là. Kena et Cyril donnaient leurs derniers conseils, voyaient avec les jeunes aux derniers ajustements, car pendant le spectacle, ils seraient seuls en coulisse! Entre les répétitions et l’arrivée du public, Exeko offrait la pizza à tous et l’heure étaient aux préparatifs, maquillage et dernier cercle pour se concentrer, vivre ce moment unique, de trac, certes, mais ensemble.

Répétitions d'Atisokan (c) Exeko

Répétitions d'Atisokan (c) Exeko

Préparation en vue du spectacle, même Cyril y passe! (c) Exeko

Laurianne-aux-doigts-de-fée, du CAALT, s'occupe des costumes et du maquillage (c) Exeko

Le Doré et le Brochet d'Atisokan (c) Exeko

Dès 18h30, le public commence à arriver pour la représentation de 19 h, et on doit courir chercher plus de chaises pour accueillir tout le monde! Plus de cinquante personnes se sont déplacés pour applaudir les efforts et la création des jeunes, un bon public pour un spectacle annoncé si rapidement. Pendant leur entrée, on fait jouer le conte du Brochet et du Doré raconté en atikamekw par Marcel Petiquay. Puis les lumières se ferment et les deux bancs de poissons (Brochets et Dorés) fait par les enfants se faufilent autour du public jusqu’à l’espace scénique. Avec une belle ardeur, ils nous racontent l’histoire du grand-père Brochet qui n’aimait par le Doré que sa fille avait épousé et qui cherchait à lui jouer des tours pour l’éliminer. Mais le Doré, avec son pouvoir de métamorphose, son courage et sa malice, finit par l’emporter. Ensuite, c’est Rodney qui entre en scène dans le rôle du conteur pour enchaîner avec l’histoire des Deux loups, le lumineux et le ténébreux qui mènent un combat en chacun de nous. Lequel gagne? «Celui que tu nourris», nous dit la légende. Les applaudissements fusent, les jeunes ont tout donné! Suite au spectacle, les jeunes ont tous reçu leur certificat de participation, leur nez de clown et leurs balles à jongler, dans la tradition Trickster.

Le public attentif d'Atisokan (c) Exeko

Confrontation Doré-Brochet dans Atisokan (c) Exeko

Mésaventure du Brochet et du Doré-Goéland... (c) Exeko

L'histoire des Deux Loups (c) Exeko

Le salut devant des applaudissements dythirambiques (c) Exeko

Le dimanche était le temps d’un dernier au revoir avec les jeunes de Trickster, d’un dernier partage pour examiner ce que l’expérience a laissé en chacun, ce qu’elle a semé en ce premier jour à l’heure d’été qui commençait à sentir le printemps, un peu… Et une belle nouvelle flotte dans l’air: le spectacle sera peut-être remonté prochainement par le Centre d’amitié autochtone de La Tuque, et les jeunes sont tous partants pour recommencer l’expérience, les stagiaires prêts à guider l’aventure! C’est à suivre, mais dans tous les cas, les liens ont été créés et une belle trace a été laissée, colorée par les talents et la personnalité de tous. 

Merci au Centre d'amitié autochtone de La Tuque et au La Tuque High School.

Découvrez les programmes idAction et Trickster

D'un œil différent remplit l'Écomusée du fier monde !

Par Marie Nowak, assistante de projet

Ça y est ! Après des mois et des mois de préparation, D'un œil différent 2014 a débuté mercredi dernier à l'Écomusée du fier monde après un vernissage éclatant par le nombre de sourires qu'on a pu y rencontrer. Merci aux 650 personnes présentes à cette magnifique soirée : 650 envies d'être là ensemble, 650 curieux, merci pour votre chaleur et votre bonne humeur!

Ce vernissage, en résumé, a été le moment où l'on a pu se rencontrer, écouter l'histoire, la technique et l'inspiration des différents artistes, celui aussi de la remise des prix Janine Sutto remportés par Gabrielle Marion-Rivard, comédienne professionnelle et par le projet Oîkos des Compagnons de Montréal. Ça a aussi été le temps de prendre une des délicieuses bouchées concoctées par l'équipe du Café Jarry 2ème (on en salive encore!) tout en écoutant D’une oreille différente, une expo dans l’expo sous forme de douches sonores mettant à l'honneur les différents artistes. Entre temps, La Gang à Rambrou et les bonimenteurs ont animé la soirée dans une bonne humeur communicative. 

 

Gabrielle reçoit le Prix Janine Sutto (c) Aurélien Chartendrault

Dans tout ça, je retiens notamment la rencontre d'une artiste que j'avais déjà croisée lors de la prise de son de D'une oreille différente avec Edon, dans son atelier. Devant sa toile, nous discutons et elle me confie : 

" Vous savez, l'artiste ce n'est pas moi.

- Ah bon ? Pourquoi ça ?

- L'artiste c'est le pinceau, je pense à la chose que je veux peindre et le pinceau le fait. L'artiste, c'est le prolongement de moi-même"

De belles rencontres lors de cette soirée qui est passée trop vite au goût de tout le monde et que Frédéric Péloquin a brillamment clôturée du souffle rassembleur de son accordéon.

 

Les danseurs improvisés de Frédéric Péloquin (c) Aurélien Chartendrault

Ce n’est pas la fin des festivités, bien au contraire : les jours suivants ont été très riches et le seront plus encore :

Jeudi, une création de broderie d'art s'est faite l'après-midi devant nos yeux, tandis que le matin Edon Descollines offrait une visite guidée inclusive tout en performance. Vendredi, Sans Oublier le Sourire et la Bibliothèque Père Ambroise nous ont offert un conte des plus participatifs autour de la Différence d'Anatole. Traduit en langue des signes et joué par une comédienne en simultané, le conte a plu aux petits comme aux grands. 

 

Anatole (c) Aurélien Chartendrault

Samedi, ça bougeait à l'Écomusée ! L'atelier d'improvisation de danse a fait grand succès, une vingtaine de personnes sont venues se défouler au rythme de la musique de la Gang à Rambrou et des techniques d’Au nom de La Danse, alors que Dimanche, l'Association des arts-thérapeutes sans frontières proposait deux ateliers en simultané. Les percussions, le didgeridoo et le yukulélé se sont accordés et ont donné le la aux danseurs tandis que d'autres créaient une fresque géante.

Une première semaine déjà bien chargée et remplie de bonheur est passée, mais D’un œil différent se poursuit! Prochain rendez-vous demain avec les classes ouvertes du cours de danse, pensez à venir partager ce bonheur avec nous au Studio Bizz des Muses !

À ne pas manquer:

- L'avant-première d'AVALe de Joe Jack et John au Théâtre Aux Écuries, demain soir.

- La projection du film Gabrielle de Louise Archambault, au Centre de loisirs Ste-Catherine d'Alexandrie, au profit de la Gang à Rambrou, ce mercredi,

- Et bien sûr d’autres activités à retrouver sur dunoeildifferent.com

Envie de voir tout cela en images? Visionnez les premières photos ici!

Un immense merci à tous nos bénévoles, du bar à la photo, de l'accompagnement des visiteurs jusqu'au sondage pendant le vernissage, nos bénévoles qui sont, nous ne le répèterons jamais assez, des membres de l'équipe à part entière, et sans qui nos programmes, projets, événements ne pourraient être ce qu'ils sont aujourd'hui et seront demain.

 

Pages

Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • «  I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost. »

    Participant @PACQ

  • « Why use paper when it is as beautiful as this? »

    One of the co-creator for Métissage Urbain

  • « I Have my own identity ! »

    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain

  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects

  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability.  »

    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal

  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists.  »

    Julie Laloire @AMDI

  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged. »

    Bulletin des YMCA

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • « ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community. »

    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future

  • « We are not higher, we are not lower, we are equal. »

    Simeoni, participant idAction Mobile

  • « Receving is good, but giving is better »

    Participant idAction@Kanesatake

  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery »

    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle

  • «  I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer »

    A participant, idAction Mobile

  • «  By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • «  ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • «  I was completely alone today, thanks for talking to me »

    Elie, participant @idAction Mobile

  • «  They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • «  Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself. »

    André Frossard

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged.»
    Bulletin des YMCA
  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists. »
    Julie Laloire @AMDI
  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability. »
    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal
  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects
  • « I Have my own identity !»
    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain
  • « Why use paper when it is as beautiful as this?»
    One of the co-creator for Métissage Urbain
  • « I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost.»
    Participant @PACQ
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself.»
    André Frossard
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « We are not higher, we are not lower, we are equal.»
    Simeoni, participant idAction Mobile
  • « I was completely alone today, thanks for talking to me»
    Elie, participant @idAction Mobile
  • « Receving is good, but giving is better»
    Participant idAction@Kanesatake
  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery»
    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle
  • «  ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News
  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community.»
    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future
  • « ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News