Le monde ne tourne pas assez, il faut tourner davantage

Fidèle au rendez-vous depuis  2012, Exeko s’est posé place Emilie Gamelin, pour célébrer les visages de la différence avec l’organisme Sans Oublier le Sourire, organisateur pour la treizième année consécutive, du rassemblement festif « Différents comme tout le monde », ceci dans le cadre de la Semaine québécoise des personnes handicapées. Une célébration en musique, danse, jeux et activités diverses par et pour les personnes ayant un handicap physique ou intellectuel. Un événement qui souligne l’importance de « défier l’indifférence » et de sensibiliser le public à l’inclusion sociale et à la diversité. 

Faire tomber les masques. Comment ? En célébrant les visages de la différence par la créativité et la réflexion critique.

Deux tables basses, des bancs, des livres, une « marelle de la différence », des livres, un arbre à vœux à garnir des souhaits de chacun.e pour une ville inclusive et accueillante, des poèmes collaboratifs à composer dédiés à Montréal, des feutres et crayons de couleur et…des masques prêt-à-colorier.

C’est tout naturellement que les participants à la fête se sont appropriés l’espace où Jose et Ducakis, deux de nos médiateurs, s’étaient installés :

« On s’est fait approprié par les gens » clament-ils.

- Avec eux l’espace prend vie et « se laisse exister ».
   Un, puis deux, puis trois…Voilà que les masques s’arrachent et font briller de mille étincelles les yeux des participant.e.s.   J.13 ans, raconte tout en dessinant sur son masque, qu’il aime la robotique et qu’il regrette que le programme ait été supprimé dans son école. "Ils sont bleu-vert" précise-t-il en parlant de ses yeux. Il rit comme seuls les rescapés de la vie savent le faire. Comme si rien n’était plus à craindre. Et pourtant. « À l’hôpital, on m’a surnommé "The King".»  Il y a de quoi. « J’ai deux tiges métalliques : je souffrais mais j’ai toujours gardé le sourire ». Il rit. Le Roi Illuminateur. Quelle rayonnante innocence et sacrée source d’inspiration.

À Montréal, il dédie ces vers (extraits) :  

Montréal veut être mieux 

Mais elle ne veut pas être polluée

Car Montréal est une belle ville

Puis, elle aspire à beaucoup de personnes  

Montréal ne veut pas que la nature soit détruite

Car ses citoyens travaillent fort pour la protection de la Terre

Puis, elle rêve GRAND

Un groupe de jeunes percussionnistes arrive. Les 3DOUMS de l’école secondaire Louis-Riel. Ils sont là « parce que c’est important ». « On se sent tous égaux malgré la différence » et chacun.e de prendre un masque et de se lancer dans sa création artistique.   Une jeune des 3DOUMS  confie : « Le monde ne tourne pas assez, il faut tourner davantage ». Et joignant le geste à la parole, elle se lève rieuse et esquisse une pirouette.  

Ensemble, ils composent  ce poème (extraits) :

Ma ville est spéciale

Elle n’est pas cannibale

Montréal est en travaux !  

Montréal veut être terminée

Mais elle ne veut pas être une ville de compétition

Car Montréal est vivante, originale, énergétique

Puis, elle aspire à être une ville multi-ethnique

Edon, ami d’Exeko, nous dédie son masque et compose une ode à Montréal :

Montréal

est une histoire 

qui fait rougir les temps

Elle rime 

à la clarté du temps

La fête bat son plein et l’espace Exeko ne désemplit pas. Une ribambelle de petits bouts de chou arrivent avec leurs éducatrices.Elles sont aussi aux petits soins d’un de leur camarade à besoins spécifiques. Celles-ci amusées se prêtent, entre deux pauses, au jeu de la poésie alors que la marmaille prend d’assaut masques et crayons de couleur :  

- Moi je veux un masque soleil ! 


-  Et moi un masque tout bleu comme le ciel et la mer !


- Avec des fleurs !


Montréal n’est pas inerte

Elle ne veut pas de malheureux

Car ses citoyens travaillent fort pour eux

Puis, elle rêve à ce qui se fait de mieux    

Qui dit mieux, lorsqu’un groupe de femmes anglophones accompagnées par leur intervenante se joignent à nous et armées de leur sourire, sans mot dire, s’approprient le matériel de dessin.  L’art a encore une fois bâti des ponts, au-delà de la différence linguistique.   Quelle douce chose que d’être conquis par les visages et les coeurs des participant.e.s de la journée.

Il faut davantage de la différence pour faire tourner le monde.

-----

Rédaction : Danielle Aznavourian en collaboration avec Jose Fucas et Ducakis Desinat

Crédit photos : Jose Fucas

Le monde ne tourne pas assez, il faut tourner davantage

Fidèle au rendez-vous depuis  2012, Exeko s’est posé place Emilie Gamelin, pour célébrer les visages de la différence avec l’organisme Sans Oublier le Sourire, organisateur pour la treizième année consécutive, du rassemblement festif « Différents comme tout le monde », ceci dans le cadre de la Semaine québécoise des personnes handicapées. Une célébration en musique, danse, jeux et activités diverses par et pour les personnes ayant un handicap physique ou intellectuel. Un événement qui souligne l’importance de « défier l’indifférence » et de sensibiliser le public à l’inclusion sociale et à la diversité. 

Faire tomber les masques. Comment ? En célébrant les visages de la différence par la créativité et la réflexion critique.

Deux tables basses, des bancs, des livres, une « marelle de la différence », des livres, un arbre à vœux à garnir des souhaits de chacun.e pour une ville inclusive et accueillante, des poèmes collaboratifs à composer dédiés à Montréal, des feutres et crayons de couleur et…des masques prêt-à-colorier.

C’est tout naturellement que les participants à la fête se sont appropriés l’espace où Jose et Ducakis, deux de nos médiateurs, s’étaient installés :

« On s’est fait approprié par les gens » clament-ils.

- Avec eux l’espace prend vie et « se laisse exister ».
   Un, puis deux, puis trois…Voilà que les masques s’arrachent et font briller de mille étincelles les yeux des participant.e.s.   J.13 ans, raconte tout en dessinant sur son masque, qu’il aime la robotique et qu’il regrette que le programme ait été supprimé dans son école. "Ils sont bleu-vert" précise-t-il en parlant de ses yeux. Il rit comme seuls les rescapés de la vie savent le faire. Comme si rien n’était plus à craindre. Et pourtant. « À l’hôpital, on m’a surnommé "The King".»  Il y a de quoi. « J’ai deux tiges métalliques : je souffrais mais j’ai toujours gardé le sourire ». Il rit. Le Roi Illuminateur. Quelle rayonnante innocence et sacrée source d’inspiration.

À Montréal, il dédie ces vers (extraits) :  

Montréal veut être mieux 

Mais elle ne veut pas être polluée

Car Montréal est une belle ville

Puis, elle aspire à beaucoup de personnes  

Montréal ne veut pas que la nature soit détruite

Car ses citoyens travaillent fort pour la protection de la Terre

Puis, elle rêve GRAND

Un groupe de jeunes percussionnistes arrive. Les 3DOUMS de l’école secondaire Louis-Riel. Ils sont là « parce que c’est important ». « On se sent tous égaux malgré la différence » et chacun.e de prendre un masque et de se lancer dans sa création artistique.   Une jeune des 3DOUMS  confie : « Le monde ne tourne pas assez, il faut tourner davantage ». Et joignant le geste à la parole, elle se lève rieuse et esquisse une pirouette.  

Ensemble, ils composent  ce poème (extraits) :

Ma ville est spéciale

Elle n’est pas cannibale

Montréal est en travaux !  

Montréal veut être terminée

Mais elle ne veut pas être une ville de compétition

Car Montréal est vivante, originale, énergétique

Puis, elle aspire à être une ville multi-ethnique

Edon, ami d’Exeko, nous dédie son masque et compose une ode à Montréal :

Montréal

est une histoire 

qui fait rougir les temps

Elle rime 

à la clarté du temps

La fête bat son plein et l’espace Exeko ne désemplit pas. Une ribambelle de petits bouts de chou arrivent avec leurs éducatrices.Elles sont aussi aux petits soins d’un de leur camarade à besoins spécifiques. Celles-ci amusées se prêtent, entre deux pauses, au jeu de la poésie alors que la marmaille prend d’assaut masques et crayons de couleur :  

- Moi je veux un masque soleil ! 


-  Et moi un masque tout bleu comme le ciel et la mer !


- Avec des fleurs !


Montréal n’est pas inerte

Elle ne veut pas de malheureux

Car ses citoyens travaillent fort pour eux

Puis, elle rêve à ce qui se fait de mieux    

Qui dit mieux, lorsqu’un groupe de femmes anglophones accompagnées par leur intervenante se joignent à nous et armées de leur sourire, sans mot dire, s’approprient le matériel de dessin.  L’art a encore une fois bâti des ponts, au-delà de la différence linguistique.   Quelle douce chose que d’être conquis par les visages et les coeurs des participant.e.s de la journée.

Il faut davantage de la différence pour faire tourner le monde.

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Rédaction : Danielle Aznavourian en collaboration avec Jose Fucas et Ducakis Desinat

Crédit photos : Jose Fucas

Le monde ne tourne pas assez, il faut tourner davantage

Fidèle au rendez-vous depuis  2012, Exeko s’est posé place Emilie Gamelin, pour célébrer les visages de la différence avec l’organisme Sans Oublier le Sourire, organisateur pour la treizième année consécutive, du rassemblement festif « Différents comme tout le monde », ceci dans le cadre de la Semaine québécoise des personnes handicapées. Une célébration en musique, danse, jeux et activités diverses par et pour les personnes ayant un handicap physique ou intellectuel. Un événement qui souligne l’importance de « défier l’indifférence » et de sensibiliser le public à l’inclusion sociale et à la diversité. 

Faire tomber les masques. Comment ? En célébrant les visages de la différence par la créativité et la réflexion critique.

Deux tables basses, des bancs, des livres, une « marelle de la différence », des livres, un arbre à vœux à garnir des souhaits de chacun.e pour une ville inclusive et accueillante, des poèmes collaboratifs à composer dédiés à Montréal, des feutres et crayons de couleur et…des masques prêt-à-colorier.

C’est tout naturellement que les participants à la fête se sont appropriés l’espace où Jose et Ducakis, deux de nos médiateurs, s’étaient installés :

« On s’est fait approprié par les gens » clament-ils.

- Avec eux l’espace prend vie et « se laisse exister ».
   Un, puis deux, puis trois…Voilà que les masques s’arrachent et font briller de mille étincelles les yeux des participant.e.s.   J.13 ans, raconte tout en dessinant sur son masque, qu’il aime la robotique et qu’il regrette que le programme ait été supprimé dans son école. "Ils sont bleu-vert" précise-t-il en parlant de ses yeux. Il rit comme seuls les rescapés de la vie savent le faire. Comme si rien n’était plus à craindre. Et pourtant. « À l’hôpital, on m’a surnommé "The King".»  Il y a de quoi. « J’ai deux tiges métalliques : je souffrais mais j’ai toujours gardé le sourire ». Il rit. Le Roi Illuminateur. Quelle rayonnante innocence et sacrée source d’inspiration.

À Montréal, il dédie ces vers (extraits) :  

Montréal veut être mieux 

Mais elle ne veut pas être polluée

Car Montréal est une belle ville

Puis, elle aspire à beaucoup de personnes  

Montréal ne veut pas que la nature soit détruite

Car ses citoyens travaillent fort pour la protection de la Terre

Puis, elle rêve GRAND

Un groupe de jeunes percussionnistes arrive. Les 3DOUMS de l’école secondaire Louis-Riel. Ils sont là « parce que c’est important ». « On se sent tous égaux malgré la différence » et chacun.e de prendre un masque et de se lancer dans sa création artistique.   Une jeune des 3DOUMS  confie : « Le monde ne tourne pas assez, il faut tourner davantage ». Et joignant le geste à la parole, elle se lève rieuse et esquisse une pirouette.  

Ensemble, ils composent  ce poème (extraits) :

Ma ville est spéciale

Elle n’est pas cannibale

Montréal est en travaux !  

Montréal veut être terminée

Mais elle ne veut pas être une ville de compétition

Car Montréal est vivante, originale, énergétique

Puis, elle aspire à être une ville multi-ethnique

Edon, ami d’Exeko, nous dédie son masque et compose une ode à Montréal :

Montréal

est une histoire 

qui fait rougir les temps

Elle rime 

à la clarté du temps

La fête bat son plein et l’espace Exeko ne désemplit pas. Une ribambelle de petits bouts de chou arrivent avec leurs éducatrices.Elles sont aussi aux petits soins d’un de leur camarade à besoins spécifiques. Celles-ci amusées se prêtent, entre deux pauses, au jeu de la poésie alors que la marmaille prend d’assaut masques et crayons de couleur :  

- Moi je veux un masque soleil ! 


-  Et moi un masque tout bleu comme le ciel et la mer !


- Avec des fleurs !


Montréal n’est pas inerte

Elle ne veut pas de malheureux

Car ses citoyens travaillent fort pour eux

Puis, elle rêve à ce qui se fait de mieux    

Qui dit mieux, lorsqu’un groupe de femmes anglophones accompagnées par leur intervenante se joignent à nous et armées de leur sourire, sans mot dire, s’approprient le matériel de dessin.  L’art a encore une fois bâti des ponts, au-delà de la différence linguistique.   Quelle douce chose que d’être conquis par les visages et les coeurs des participant.e.s de la journée.

Il faut davantage de la différence pour faire tourner le monde.

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Rédaction : Danielle Aznavourian en collaboration avec Jose Fucas et Ducakis Desinat

Crédit photos : Jose Fucas

Le monde ne tourne pas assez, il faut tourner davantage

Fidèle au rendez-vous depuis  2012, Exeko s’est posé place Emilie Gamelin, pour célébrer les visages de la différence avec l’organisme Sans Oublier le Sourire, organisateur pour la treizième année consécutive, du rassemblement festif « Différents comme tout le monde », ceci dans le cadre de la Semaine québécoise des personnes handicapées. Une célébration en musique, danse, jeux et activités diverses par et pour les personnes ayant un handicap physique ou intellectuel. Un événement qui souligne l’importance de « défier l’indifférence » et de sensibiliser le public à l’inclusion sociale et à la diversité. 

Faire tomber les masques. Comment ? En célébrant les visages de la différence par la créativité et la réflexion critique.

Deux tables basses, des bancs, des livres, une « marelle de la différence », des livres, un arbre à vœux à garnir des souhaits de chacun.e pour une ville inclusive et accueillante, des poèmes collaboratifs à composer dédiés à Montréal, des feutres et crayons de couleur et…des masques prêt-à-colorier.

C’est tout naturellement que les participants à la fête se sont appropriés l’espace où Jose et Ducakis, deux de nos médiateurs, s’étaient installés :

« On s’est fait approprié par les gens » clament-ils.

- Avec eux l’espace prend vie et « se laisse exister ».
   Un, puis deux, puis trois…Voilà que les masques s’arrachent et font briller de mille étincelles les yeux des participant.e.s.   J.13 ans, raconte tout en dessinant sur son masque, qu’il aime la robotique et qu’il regrette que le programme ait été supprimé dans son école. "Ils sont bleu-vert" précise-t-il en parlant de ses yeux. Il rit comme seuls les rescapés de la vie savent le faire. Comme si rien n’était plus à craindre. Et pourtant. « À l’hôpital, on m’a surnommé "The King".»  Il y a de quoi. « J’ai deux tiges métalliques : je souffrais mais j’ai toujours gardé le sourire ». Il rit. Le Roi Illuminateur. Quelle rayonnante innocence et sacrée source d’inspiration.

À Montréal, il dédie ces vers (extraits) :  

Montréal veut être mieux 

Mais elle ne veut pas être polluée

Car Montréal est une belle ville

Puis, elle aspire à beaucoup de personnes  

Montréal ne veut pas que la nature soit détruite

Car ses citoyens travaillent fort pour la protection de la Terre

Puis, elle rêve GRAND

Un groupe de jeunes percussionnistes arrive. Les 3DOUMS de l’école secondaire Louis-Riel. Ils sont là « parce que c’est important ». « On se sent tous égaux malgré la différence » et chacun.e de prendre un masque et de se lancer dans sa création artistique.   Une jeune des 3DOUMS  confie : « Le monde ne tourne pas assez, il faut tourner davantage ». Et joignant le geste à la parole, elle se lève rieuse et esquisse une pirouette.  

Ensemble, ils composent  ce poème (extraits) :

Ma ville est spéciale

Elle n’est pas cannibale

Montréal est en travaux !  

Montréal veut être terminée

Mais elle ne veut pas être une ville de compétition

Car Montréal est vivante, originale, énergétique

Puis, elle aspire à être une ville multi-ethnique

Edon, ami d’Exeko, nous dédie son masque et compose une ode à Montréal :

Montréal

est une histoire 

qui fait rougir les temps

Elle rime 

à la clarté du temps

La fête bat son plein et l’espace Exeko ne désemplit pas. Une ribambelle de petits bouts de chou arrivent avec leurs éducatrices.Elles sont aussi aux petits soins d’un de leur camarade à besoins spécifiques. Celles-ci amusées se prêtent, entre deux pauses, au jeu de la poésie alors que la marmaille prend d’assaut masques et crayons de couleur :  

- Moi je veux un masque soleil ! 


-  Et moi un masque tout bleu comme le ciel et la mer !


- Avec des fleurs !


Montréal n’est pas inerte

Elle ne veut pas de malheureux

Car ses citoyens travaillent fort pour eux

Puis, elle rêve à ce qui se fait de mieux    

Qui dit mieux, lorsqu’un groupe de femmes anglophones accompagnées par leur intervenante se joignent à nous et armées de leur sourire, sans mot dire, s’approprient le matériel de dessin.  L’art a encore une fois bâti des ponts, au-delà de la différence linguistique.   Quelle douce chose que d’être conquis par les visages et les coeurs des participant.e.s de la journée.

Il faut davantage de la différence pour faire tourner le monde.

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Rédaction : Danielle Aznavourian en collaboration avec Jose Fucas et Ducakis Desinat

Crédit photos : Jose Fucas

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Sous la responsabilité de la coordination générale, sous la supervision du responsable des partenariats et en étroite collaboration avec l’équipe...

 

 

En ce mois national de l'histoire autochtone, Exeko souhaite contribuer à faire connaître l’histoire des...

On cherche un.e étudiant.e collégial en analyse de données et en gestion de l’information qui a le souci du détail, qui voudrait développer son...

Nous recherchons une personne afin d'offrir un soutien à la coordination de la gestion administrative et les membres de l’organisation....

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • «  I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost. »

    Participant @PACQ

  • « Why use paper when it is as beautiful as this? »

    One of the co-creator for Métissage Urbain

  • « I Have my own identity ! »

    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain

  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent! »

    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects

  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability.  »

    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal

  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists.  »

    Julie Laloire @AMDI

  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged. »

    Bulletin des YMCA

  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups. »

    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)

  • « ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community. »

    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future

  • « We are not higher, we are not lower, we are equal. »

    Simeoni, participant idAction Mobile

  • « Receving is good, but giving is better »

    Participant idAction@Kanesatake

  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery »

    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle

  • «  I don't know everything, but while reading it, it always bring me one step closer »

    A participant, idAction Mobile

  • «  By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years. »

    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada

  • «  ...empowering the children, and giving them confidence »

    APTN National News

  • «  I was completely alone today, thanks for talking to me »

    Elie, participant @idAction Mobile

  • «  They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work. »

    Participant, idAction@Accueil Bonneau

  • «  Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself. »

    André Frossard

  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « Exeko implements creative solutions to several problematic, gives a voice to those we don't hear and hope to the underprivileged.»
    Bulletin des YMCA
  • « Over the past few years, we have been seeing more and more high quality productions by people with an intellectual disability who truly are artists. »
    Julie Laloire @AMDI
  • « Art has the advantage to make people talk about abilities rather than limitations, when confronted with an intellectual disability. »
    Delphine Ragon, Community Programs Manager, Les Compagnons de Montréal
  • « It is terrible for a society to ignore people with such talent!»
    Hélène-Elise Blais, les Muses about ART and ID projects
  • « I Have my own identity !»
    Putulik, Inuit participant, Métissage Urbain
  • « Why use paper when it is as beautiful as this?»
    One of the co-creator for Métissage Urbain
  • « I write my thoughts in my head, not on paper, and my thought is not lost.»
    Participant @PACQ
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Its goal? To develop reasoning, critical thinking, logic, and increase citizen participation of these marginalized groups.»
    Caroline Monpetit, Le Devoir (free translation)
  • « Today, the power acquired through knowledge is more far-reaching than knowledge itself.»
    André Frossard
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « They're both people. We're not looking enough after people with problems, and mostly with mental health issues. Then we would have more people able to work.»
    Participant, idAction@Accueil Bonneau
  • « We are not higher, we are not lower, we are equal.»
    Simeoni, participant idAction Mobile
  • « I was completely alone today, thanks for talking to me»
    Elie, participant @idAction Mobile
  • « Receving is good, but giving is better»
    Participant idAction@Kanesatake
  • « What better way to strengthen intergenerational ties? [...] A meeting between peers, a place for expression, learning and recovery»
    Chantal Potvin, reporter at Innuvelle
  • «  ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News
  • « By engaging with people on a deep level, we see Exeko reinvigorating individual spirit to rebuild society in a new way. Exeko's work is not about small projects, but about achieving full social inclusion at a systemic level. [...] we believe that Exeko will reach a level of systemic impact with Quebec, Canada and the world within 5-10 years.»
    Elisha Muskat, Executive Director, Ashoka Canada
  • « It’s a great program for children to learn about their traditions and to increase their interaction with Elders in the community.»
    Erika Eagle, Social Development Assistant with Waswanipi Brighter Future
  • « ...empowering the children, and giving them confidence»
    APTN National News